Le Feu sacré

Bleu de Kandinsky A : Biographie de Vassily Kandinsky (Page 5) B : Étude du tableau Jaune, Rouge, Bleu de Kandinsky (Page 6-7) 4. Partie III : La musique abstraite, Le Sacre du Printemps de Stravinsky A : Biographie d'Igor Stravinsky (Page 8) B : Étude du morceau Le Sacre du Printemps de Stravinsky (Page 9) 5. Conclusion (Page 10) 2 1. Introduction Chacun à leur manière, les mouvements et les avant-garde du début

percevait mieux ce qui est humain ». En disant ces mots, l’écrivain résume parfaitement une sensation que peut provoquer ce milieu. Avec son roman Désert, l’écrivain nous permet d’appréhender ce lieu. Il nous montre les nomades, les coutumes, les valeurs sacrées du désert. Dans le livre, la traversée du désert est rythmée par le silence et la solitude. Ces deux composantes permettent à l’humain de mieux se comprendre. Nour évolue tout au long de l’histoire dans le désert. Il est obligé de fuir les soldats

guerre avait arraché  Bien des enfants et bien des pères ...   La neige posait lentement  Ses flocons sur les branches mortes ;  La bise au long gémissement  Pleurait par les fentes des portes Les deux foyers se ressemblaient,  Et devant le feu des broussailles,  Deux mères, dont les doigts tremblaient  Songeaient aux lointaines batailles. Leur esprit voyageait là-bas :  Point de lettre qui les rassure !  Quand les enfants sont au combat !  Pour les mères tout est blessure Et j'entendais

l’avance que Clerval et Elizabeth vont mourir. Frankenstein ne peut échapper à un destin funeste. d/Thème principal : jusqu’où peut aller la science ? Le savant cherche à rivaliser avec les dieux, le créateur est coupable car a attenté au domaine sacré. Frankenstein refuse à sa créature l’amour auquel elle a droit. Qu’est ce qu’un humain, l’apparence ou le fond ? Il façonne un humain que d’apparence mais oublie son âme. Dans le roman, la science outrepasse les limites éthiques, la recherche devient

l’autorité (police et marine) Bleu foncé = une bonne éducation, rang sociale, dignité. Bleu foncé métallisé = luxe réussite et pouvoir Bleu clair = douceur, associé au goût sucré. fraicheur Egyptiens = couleur sacré Italie = yeux bleu = mauvaise vie ROUGE orgueilleuse, pouvoir, feu, sang, l’amour et l’enfer, énérgie, courage. Coloratus colorado= « rouge et coloré» Adaus = « rouge + vivant » Krasmoï = « rouge » = « beau » Couleur facile à produire. Esprit de mauvais présage (annotations

clair obscur , la lumière = le foyer et la lampe, la scène nocturne donc cernée par la nuit. c) Des notions complémentaires : - des notions sonores : Antithèse entre le silence de la maison (vers 5) et le monde extérieur emplit de coup de feu. Les coups de feu équivaux à un monde encore menaçant. - Malgré la sobriété, on comprend la situation dans laquelle se trouvent les personnages ( ambiance pesante) qui donne lieu au pathétique. 2) La sobriété s’accorde a) La syntaxe

hannetons de l’espérance. » « […] j’entendais monter de l’autre côté du désastre un fleuve de tourterelles et de trèfles de la savane que je porte toujours dans mes profondeurs […] » « […] des ambiances crépusculaires, arpentée nuit et jour d’un sacré soleil vénérien » « Au bout du petit matin bourgeonnant d’anses frêles les Antilles qui ont faim, les Antilles grêlées de petite vérole, les Antilles dynamitées d’alcool, échouées dans la boue de cette baie, dans la poussière de cette ville sinistrement

lumière pour devenir épi qui Moissonné, Moulu en farine, Mouillée par l’eau, Brassée par l’air, Cuite par le feu, Deviendra ce pain doré qui chante à la sortie du four. Ce pain allie ainsi les quatre éléments fondamentaux A la main de l’homme, A son travail, A son observation, A son ingéniosité. Le pain est le témoin de l’action de l’homme sur la nature et la maitrise du feu. Symbole de vie, de mort et de renouveau. Le Profane ne meurt pas, Lui aussi, Il renaît Mais en tant

une centaine de charbonniers en tête (car fournissent le bois du bûcher), puis Dominicains et familiers. Ils vont planter une croix, face au balcon du roi. * La procession part de la CASA SANTA. → Les condamnés ont revêtu un SANBENITO (de « sacre benedito » = tunique en toile de sac des moines, bénie par l’Église. Peu à peu ce vêtement de PÉNITENCE devint vêtement de HONTE, au début avec une croix droite devant et derrière puis une grande croix de Saint-André). Chaque sanbenito est particulier

à la notion de passage. Un janus c’est une porte voûtée, qui ouvre ou ferme les voies publiques romaines. C’est un tympan ; comme celui de l’oreille sépare le milieu externe de l’intérieur, sur un édifice, le tympan sépare le milieu profane du sacré, le sauvage de l’ordonné. C’est ce passage à deux façades qui a donné naissance : à l’arc de triomphe. Et quand les généraux victorieux passaient sous ce janus les jours de cérémonie, ils étaient toujours accompagnés d’un esclave qui leur rappelait