Le Fléau

la ville est confrontée à un terrible fléau : la Sphinx. Cette créature pose une énigme et tue tous ceux qui ne parviennent pas à la résoudre. Seul Œdipe trouve la réponse et la Sphinx se suicide. Accueilli en héros, Créon le frère de Laïos et le roi temporairement lui offre la veuve Jocaste en épouse, qui est donc la mère d’Œdipe. Jocaste et Œdipe se marient et donnent naissance à quatre enfants : Etéocle, Polynice, Ismène et Antigone. Mais un nouveau fléau s’abat sur Thèbes et le seul moyen de

de sortir . Rieux revoit Grand , l’employé de la mairie, qui se concentre sur l'écriture d'un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase, Tarou, Rieux et lui-même méditent ensemble sur le sujet. Le père Paneloux lors d’une messe ,fait du fléau l'instrument du châtiment divin et appelle ses fidèles à méditer sur cette punition adressée à des hommes privés de tout .ce discours a bouleversé la ville , beaucoup se sont mis à prier pour éviter que la peste frappe à leur porte , Rieux lui dit

situe à l’Opéra municipal ; Camus utilise un schéma narratif fréquent : bien des scènes romanesques se situent à l’opéra ou au théâtre. Mais  ici l’Opéra a une fonction particulière : les Oranais y viennent chercher l’oubli, au moins momentané, du fléau qui les accable. Tarrou et Cottard font partie ce soir-là du public et assistent à la représentation d’Orphée et Eurydice jouée depuis plusieurs mois puisque les comédiens ne peuvent plus quitter Oran. 5. C’est l’occasion, pour le romancier, de

très développée, du vers 1 au vers 14. Il s’agit, pour le narrateur, de mettre en évidence le pouvoir de la peste et de susciter chez lui terreur et pitié. À cette fin, il utilise d’abord une périphrase pour nommer la peste (v. 1 à 3) qui nomme le fléau par ses conséquences sur les hommes et son origine divine : « Un mal qui répand la terreur.. ». Cette périphrase est sans doute un moyen de reculer devant l’horreur du nom, et l’on remarque d’ailleurs la force expressive de ces vers, due en partie

bouleverse son quotidien (« « il y a ceux qui sont dehors et libres, et ceux qui sont dedans et enfermés. » ) «  Mais ce vertige ne tenait pas devant la raison. Il est vrai que le mot “peste” avait été prononcé, il est vrai qu’à la minute même le fléau secouait et jetait à terre une ou deux victimes. Mais quoi, cela pouvait s’arrêter. Ce qu’il fallait faire, c’était reconnaître clairement ce qui devait être reconnu, chasser enfin toutes ces ombres inutiles et prendre les mesures qui convenaient.

Les autres mois de l’année, il occupait les tâches respectives suivantes : « continuer les travaux en vue de la prochaine récolte, récolter le blé et le foin avec une faux, moissonner les céréales avec une faucille, battre les épis de céréales au fléau, labourer avec l’ariane et semer des graines « à la volée », fouler le raisin avec le pied, pratiquer la glandée et tuer les cochons ». La vie de travail des paysans est une vie difficile, avec des outils pas toujours adaptés à la tâche, rythmée par

l'extermination systematique ou encore des désastres nucléaires comme Hiroshima et Nagasaki ? De plus l'humanisme de l'avant seconde Guerre Mondiale se trouve discreditée , car ses valeurs c-à-d les idées des lumières , Raison et Culture , n'ont su arreter de fleau que deviendra le nazisme mais aussi les camps de la mort ou les bombes Atomiques . *- CONCEQUENCES : Ces causes ont eu pour effet de créer le mouvement de pensé Absurde qui se divisera en deux grandes catégories : La philosophie Absurde et la Littérature

les deux documents, les auteurs évoquent la misère des enfants en Afrique, ces enfants qui sont les premières victimes des violences de leur pays. 4. Comparaison des documents Les documents font tous référence aux « enfants sorciers », un fléau qui ne cesse de se développer en Afrique. La violence dont sont victimes les enfants dans de nombreux pays d’Afrique, en effet, des maltraitances de tous genres qui peuvent aller jusqu’au décès sont évoqués chaque jour. Ils montrent, à travers de

emphatiques Personnalisations : « faire la guerre » Procédé hyperbolique « l’Achéron » (fleuve de l’Enfer) Lexique de la tragédie «terreur» … Vocabulaire terrifiant pour recréer la peste « mal » … - La crainte religieuse du fléau Interprétation religieuse dès le 2e vers : « ciel ». Maladie => punie. Elle signale la culpabilité des hommes qui perdurent pendant toute la fable. Le nom de la maladie n’est pas désignée tout de suite : périphrase de 3 vers Pronoms

déclarée et les autorités forment la ville pour ne pas « transporter » la peste. Ainsi la ville s’installe peu à peu dans l’isolement. Cependant le Docteur Rieux va lutter contre ce fléau et va rencontrer toutes sortes de personnages qui l’aideront. L’été arrive et l’épidémie est à son sommet. Enfin, à la fin du roman le fléau régresse puis disparaît et au mois de février les portes de la ville s’ouvrent à nouveau. Le roman est rédigé comme une chronique. Le narrateur relate les événements observés