Le Fmi Et L Evolution

internationaux (ouverture depuis fin WW2), pour éviter conflit = commerce et échanges (FMI, GATT, OMC) • Les demandes spontanées 1.2°) Les échanges internationaux 1.2.1°) La mesure des échanges Demande intérieur = P° + I° - X° Le taux de couverture (X° ÷ I°) = balance com excédentaire ( >1) déficitaire (>1) Le taux de pénétration 1.2.2°) Le cadre des échanges Au niveau mondial : FMI, OMC Au niveau régional : UE, Mercosur, Alena, Asean 1.2.3°) Les limites

II. Politiques et plans de sauvetage pour limiter la crise a) Plan de sauvetage b) Politiques de FMI et BCE c) Œil sur l’actualité III. Le rôle des agences de notations a) Standard & Poor's b) Moody’s c) Fitch Ratings. IV. Quelle solution ? Conclusion Introduction : La crise de la zone euro est le résultat d’une série des évolutions et des mutations dont notre monde vit aujourd’hui, et qui entre dans le cadre de la globalisation qui fait réunir

Graphique 9 Graphique 10 Graphique 11 Graphique 12 Graphique 13 Graphique 14 Evolution de l’encours du crédit bancaire Evolution du taux d’inflation au Maroc 1990-2008 Evolution du déficit budgétaire en % du PIB Demande étrangère adressée au Maroc Evolution mensuelle des recettes MRE Evolution des IDE au Maroc Impact des canaux de transmission de la crise Dépenses d’investissement Evolution des prévisions de croissance du FMI pour 2009 Taux prévisionnels d’évolution du PIB en France, Espagne et Italie

mondiale World Economic Outlook, April 2014 (French) FMI AVR La reprise s’affermit, mais reste inégale La reprise s’affermit, mais reste inégale F O N D S M O N É T A I R E I N T E R N A T I O 14 N A L Études économiques et financières PERSPECTIVES DE L’ÉCONOMIE MONDIALE Avril 2014 La reprise s’affermit, mais reste inégale Fonds monétaire international ©2014 Fonds monétaire international Production : FMI, Division des services multimédias Couverture et conception

|Franc « Communauté Financière Africaine » | |FED : |Federal Reserve System ou Banque Centrale des Etats-Unis | |FMI : |Fonds Monétaire International | |IADM : |Initiative de l’Allègement de la Dette Multilatérale

- Chiffres clés Population (millions, 2007) (1) : 1 318,31 Taux de croissance du PIB (2) : 2009 : 6,5 % (estim.) 2008 : 9 % Revenu national/hab. en parité de pouvoir d’achat (USD, 2007) (1) : 5 420 Échanges de marchandises (2008, Mds USD, évolution sur 2007) (3) : Export : 1 428,869 (+17,30 %) Import : 1 131,468 (+18,32 %) Cinq premiers fournisseurs (3) (avec part de marché) : 1 - Japon 13,31 % 2 - Corée du Sud 9,91 % 3 - Taïwan 9,13 % 4 - Hong Kong 8,16 % 5 - États-Unis 7,20 % (France

caste system, honor code, kinship ties, etc. What is the economic and political role of these institutions ? How do they function ? Do they evolve under the pressure caused by economic changes and formal legal reforms ? How does this evolution occur ? Is such evolution beneficial for all the groups of the population ? This thesis will address one of these questions, using both theoretical and case-study approaches, complementing them with empirical work, wherever possible. Everyday observation

récessions sont plus rares. A l’échelle mondiale on a connu une seule récession (recul du PIB mondial) en 2009.  La France n’a connu que trois récessions : en 1974 (crise du choc pétrolier) en 1993 (recul de 0,9 % du PIB) et en 2009 (-2,6 %). Evolution du PIB en France Source : Insee, compte nationaux - base 2005 Le graphique ci-dessus retrace l’évolution annuelle du taux de croissance en France depuis 1950. D’une part en volume (courbe orange) c’est-à-dire déduction faite de la hausse des

finalités. Ainsi les institutions financières ont pour fonction de procéder au financement de l’économie en jouant le rôle d’intermédiaire financier entre les agents économiques (ménages, entreprises), de réguler la sphère financière internationale (FMI, Banque mondiale), de garantir la stabilité des prix (BCE) ou de stimuler la relance économique (Réserve Fédérale)…. - On appelle institutions financières, des entreprises qui produisent et vendent des services financiers, il s’agit notamment des banques

comme en 2011 face à la Libye, historiquement armée par l'URSS. C'est dire si les bombardements et la destruction d'avions et de blindés multiples en Libye n'a pas réjoui Moscou ! Qui se rattrape aujourd'hui sur le dossier syrien en bloquant toute évolution « militaire » par interposition de forces neutres ou issues de l'ONU. -On y associe ainsi un pouvoir visible et fort (jugé comme tel), « un numéro de téléphone » évidemment, ce qui place l'UE à cet égard dans une position singulièrement inconfortable