Le Fmi Et L Evolution

Monétaire International  1. L’historique du FMI.................................................................................................................3  2. Structure et fonctionnement......................................................................................................7 3. Les fonctions du FMI..............................................................................................................10 4. Les ressources du FMI..........................................

modèle de Mundell – Fleming 25 25 29 39 47 55 55 60 Section 2 : les régimes de taux de change 97 §2-A) L’historique de régime de change et son évolution dans les 97 4 64 66 70 71 74 74 78 88 PVD §2-A-1) L’historique de régime de change §2-A-2) Les différents types de régime des changes §2-A-3) Evolution des régimes de change dans les pays en voie de développements (PED) §2-B) Choix du régime de change §2-B-1) choix de régime de change optimal §2-B-2) Les

2011 Sommaire [masquer] 1 Causes de la crise 2 Pays à risque élevé 2.1 Grèce 2.2 Irlande 2.3 Portugal 3 Autres pays à risque 3.1 Espagne 3.2 Italie 3.3 France 3.4 Tableau des dettes et déficits publics 4 Réformes institutionnelles 4.1 Évolutions nées de la crise grecque 4.2 Renforcement du pacte de stabilité 4.3 Pacte pour l'euro 4.4 Traitement des crises pour 2013 5 Les résultats des négociations d'octobre 2011 5.1 L'accord 5.2 La réception de l'accord et projet de référendum 6

deuxième lieu, le régime de change défini est un système de parités fixes articulé sur un étalon. Enfin Bretton-Woods met en place un mécanisme de crédit destiné à financer des déficits extérieurs, dans le cadre d’un organisme financier international, le FMI. Cette représentation d’un dispositif cohérent, conçu dans le cadre d’une concentration internationale, doit être fortement nuancée par la prise en compte du fonctionnement effectif du Gold Exchange standard : sa cohérence tient au moins autant

exclut donc en pratique du système financier international) est l’aboutissement d’un long processus, qui a commencé par l’offre de prêts en dessous des conditions du marché. Cet article analyse les implications de cette évolution et chercher à évaluer dans quelle mesure cette évolution est favorable pour les pays pauvres. Avant d’aborder ces divers aspects de la question, nous examinerons une objection de base : le système “ dons seulement ” résulterait simplement du fait que les pays les plus pauvres

quelques tentatives de constructions d’alternatives au Sud visant à s’affranchir de la tutelle des institutions financières internationales et des pays occidentaux (action du G3, du G22, du groupe de Cairns, attitude de l’Argentine et du Brésil face au FMI, OMC…) ? Est-ce que l’aide peut elle contribuer à un développement endogène ? Quel type de partenariat peut conduire à une meilleure efficacité de l’aide dans un contexte multipolaire de ressources financières ? 2. Croissance et développement. L’objectif

et de progrès. Depuis 1983, le Maroc s'est lancé dans une série de mesures de stabilisation macro-économique et a mis en place des programmes d'ajustement structurel, soutenu en partie par des prêts de la Banque Mondiale et les aides financières du FMI. A partir de 1985, ce fut le tour du secteur agricole de s'inscrire dans un programme sectoriel d'ajustement structurel visant l'amélioration de sa productivité et une gestion plus rationnelle des ressources par le biais de la libéralisation, de la

SES : DOSSIER 4 L’économie mondialisée : facteur de cr. & dvpmt ? PLAN : I) La réalité de la mondialisation (M°) A) Evolution des échanges et croissance de la P° B) Les traits caractéristiques de l’évolution des échanges 1) Les échanges de marchandises 2) Les échanges de services 3) Les IDE C) La nouvelle polarisation des échanges ? D) Les développement des FMN 1) Qu’est-ce qu’une FMN ? 2) Des FMN de plus en plus puissantes Introduction : Quels sont les enjeux de la M° ? M° = réalité incontournable

internationaux aboutit à deux conclusions fortes pour l’Europe : la faiblesse de la croissance potentielle actuelle (de 2,1 à 2,3 % l'an) et le bas niveau de l’écart de production en 1995 (– 0,3 % pour la CE, – 1,5 % pour l’OCDE, – 2,2 % pour le FMI). Mais ces évaluations sous-estiment les disponibilités tant en ce qui concerne le facteur travail, que le facteur capital et le progrès technique. Quatre causes peuvent être évoquées pour expliquer le ralentissement de la croissance potentielle

adopté un calendrier pour l’élaboration du plan d’action 2011 de mise en œuvre de notre Cadre pour une croissance forte, durable et équilibrée et de suivi de la mise en œuvre des engagements. Ainsi que nous l’avons décidé à Séoul, nous demandons au FMI de nous fournir lors de notre réunion d’octobre, dans le cadre du processus d’évaluation mutuelle, une évaluation des progrès réalisés en matière de viabilité de la position extérieure et de cohérence des politiques. À cette occasion, nous examinerons