Le Fonction Social De La Pension Vauquer

comme pensionnaire au collège des Oratoriens à Vend (1807 — 1813), il achève ses études à Paris (1814 - 1816), puis commence le droit tout en travaillant chez un homme de loi. De plus, fortement influencé par son père qui s’intéresse aux problèmes sociaux, et se croyant destiné à la philosophie, il suit des cours à la Sorbonne. En 1819, il annonce à ses parents son désir de devenir écrivain et obtient l’autorisation de vivre seul, à Paris, dans une petite chambre. Il commence, en 1821, à publier des

À la Précédé par d'or maison Vauquer, il rencontre Jacques Collin, alias Le Colonel Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Suivi par Chabert Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime Delphine de Nucingen, fille du père Goriot, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison Nucingen). Il devient

grande partie biographiques, l’auteur s’analyse et se juge, son attitude est toujours lucide, détaché, ironique, il a le goût pour les introspections et les explications psychologiques. Il déteste les comportements artificiels et les conventions sociales, qui sont pour lui des bêtises voulues par la monarchie. Ses héros lui ressemblent. Ils s’inspirent à devenir quelqu’un. Les héros recherchent le bonheur, ce sont des êtres passionnels et lucides, qui aiment se défier, ils sont souvent victimes

jardinage pour qualifier les actes de Colin « laboureur, tailla, repoussaient, pulvérisa »  un héros narcissique « satisfait » Un personnage caractérisé par ses actes et son comportement par focalisation externe (behaviorisme) Pas de caractérisation sociale explicite mais milieu aisé « salle de bains, baignoire »  signe de richesse dans la France de l’après-guerre, objets marquant l’aisance « ample serviette, peigne d’ambre » Un personnage aisé et oisif « le reste du temps il dormait » c) L’importance

de roman peut assumer cette fonction de miroir plus ou moins déformant, nous verrons ensuite qu’il ne peut être qu’un miroir sans quoi il se ne distinguerait pas alors du simple documentaire. Il peut tout simplement refléter ce que la société pense d'elle-même. C'est ce qui sera examiné dans une troisième partie. Les hommes sont dans l’Histoire, presque prisonniers de la société à laquelle ils appartiennent, qu’ils y occupent des fonctions privilégiées, qu’ils la contestent

apporte au lecteur d’hier et d’aujourd’hui des informations et détails très précis concernant le cadre spatial et le cadre temporel. C’est d’ailleurs une des caractéristiques du naturalisme : tout montrer. Les descriptions dans La Curée ont une fonction réalistes puisqu’elles ancrent la narration dans le réel, Zola a dans son livre voulu faire ressentir ou faire imaginer au lecteur chaque scène au lecteur grâce à ses minutieuses descriptions. On peut prendre l’exemple de la description faite de

contre la peste dans l’extrait proposé de La peste. 1. 1. 2. Le roman peint les difficultés des conditions de vie : Ex. : les difficultés pour réussir socialement de Julien Sorel, dans Le rouge et le noir de Stendhal ; la dureté des relations sociales dans La Comédie humaine de Balzac. Ex. : la misère des mineurs dans l’extrait proposé de Germinal. 1. 1. 3. Le roman peint les difficultés relationnelles : Ex. : les relations entre les deux frères, dans Pierre er Jean de Guy de Maupassant ; les

romanesques : La Physiologie du Mariage, essai psychologique et social, et Le Dernier Chouan..., roman historique. Pendant vingt ans, il produit sans interruption une œuvre qu'il regroupe dès 1830 sous un premier titre générique, Études sociales, réparties en Scènes de la vie privée, Études de mœurs, etc. À l'intérieur du monde romanesque qu'il crée, le retour de certains personnages donne l'impression d'un monde exactement calqué sur le milieu social où vit l'homme réel. Il bâtit roman après roman cet ensemble

il ne se passe rien. Cependant, loin de ralentir le récit comme le jeune lecteur le croit souvent, la description peut faire percevoir au lecteur de nombreux éléments essentiels à l’intrigue comme une situation historique particulière, un milieu social ou encore le caractère d’un personnage. Les descriptions dans un roman peuvent être objectives mais elles sont le plus souvent subjectives et dévoilent la vision qu’a l’écrivain de l’homme et du monde. Dans quelle mesure le font-elles ? Nous analyserons

qui agitaient leur âme. Tandis que Balzac attache une grande importance à l’apparence de ses personnages car elle est révélatrice de l’appartenance sociale et de l’évolution de leur existence. La corrélation entre une physionomie et un milieu lui paraît forte. Il écrit à propos de Mme Vauquer : « Toute sa personne explique la pension, comme la pension explique sa personne. »  Diderot insiste pourtant sur l’importance du petit fait vrai dans la description du personnage de roman. Une tête idéale