Le Formalisme De Validité Du Contrat De Travail

RECOMMANDATION Droit de la consommation appliqué au commerce électronique 31 août 2007 www.foruminternet.org Le Forum des droits sur l’internet 1 6, rue Déodat de Séverac 75017 PARIS 31 août 2007 Introduction PREMIÈRE PARTIE – LA FORMATION DU CONTRAT I. – L’information précontractuelle A. – L’information relative au commerçant électronique 5 8  9  10  1. – Rappel des obligations légales et réglementaires 10  a. – Obligations résultant du droit des affaires général 10  b. – Obligations résultant

Droit des obligations Semaine 1 Introduction L’objet de ce cours est le contrat et la responsabilité civile. Ces deux pôles peuvent être résumés à quelques phrases. Le contrat : Article 1134 alinéa 1 du code civil: "les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites". "Pacta sunt servanda" La responsabilité civile Principe de la force obligatoire des conventions légalement formées. Article 1382 du code civil: tout fait quelconque de l'Homme, qui cause à autrui

commerçants. è Le Code du commerce prévoit d’appliquer le droit commercial uniformément à certains actes quelque soit la qualité de ses signataires (Ex : lettre de change). Mais cette conception a des limites : en effet, il existe de nombreux actes, contrats courants comme la vente par exemple qui sont très fréquemment conclu entre des parties de qualités différentes (commerçant et non-commerçant). Est-il juste d’appliquer le droit commercial seulement parce que l’une des parties à la qualité de commerçant

| | |CONTRATS SPECIAUX | |Fréderic DANOS | |

prévenir son exécution (exception d’inexécution). La première catégorie des sûretés est qu’elles s’ajoutent toujours au rapport d’obligation. La sûreté n’est pas une conséquence de l’obligation elle – même. Elles naissent d’une source différente, le contrat ou la loi. La seconde caractéristique, en principe les sûretés sont l’accessoires d’une créance. Dans tous les cas cette exigence entraîne la création d’un régime spécifique. Il existe un lien de dépendance avec la créance garantie. Leur existence

commerce que les meubles affectés à l’exercice de l’activité commerciale. L’article suivant rappelle encore que seul le mobilier commercial nécessaire à l’exploitation fait partie du fonds de commerce. En définitive, seules les clauses explicites du contrat de nantissement peuvent couper court à la discussion. 2- Fonds de commerce en phase de création : L’assise de la garantie assurée par le nantissement se concrétise par un fonds de commerce déjà existant et en fonctionnement, parce que c’est là l’unique

 Chapitre 1 : La nature de la vente. 6 Introduction 6 Section 1: Un contrat synallagmatique. 7 Section 2 : Un contrat commutatif. 7 Section 3 : Un contrat consensuel. 7 Section4 : Un contrat translatif. 8 4.1 La vente et la mise à disposition : 8 4.1.1 La vente et le bail 9 4.1.2 Deuxième distinction : la vente est différente d’un prêt. 10 4.2 La vente et les contrats de représentation : 11 Section5 : Un contrat onéreux. 12 5.1 La vente et l’apport en société : 13 5.2 Vente et échange : 13

: cond susp quand lavenement de lobligation est subordonnée à un evenement futur et incertain ex une vente subordonnée à lobtention d'un crédit, ou donation soumise à la condition d'un mariage engagement ferme et définitif l'effectivité du contrat est suspendu jusqu'a la réalisation de la condition b) Condition résolutoire lorsque la disparition d'une obligation dépend de la realisation de levenement qui a été érigé comme condition : vente soumise à la cond resolutoire du non paiement

faire produire des effets de droit, le contrat). 3 temps : Précisé la notion même de contrat Suivre le processus de formation de ce contrat Envisager son exécution. Chapitre I : La notion de contrat En tant qu’acte juridique le contrat est une manifestation de volonté, mais dans la pratique on constate que la volonté qui est le fondement principal du contrat peut être à l’origine d’une infinité de contrat Section I : Définition du contrat. La définition légale est donnée par

parties, c’est commode car ça réduit le champ de l’erreur, mais c’est discutable car cela procède d’une confusion entre la formation du contrat et son exécution. Si l’on exige que l’erreur porte toujours sur une qualité convenue entre les parties, alors si la qualité fait défaut ça n’est plus un problème de formation du contrat mais d’exécution, puisque dans le contrat même le débiteur s’était engagé à fournir la qualité attendue, par conséquent la sanction ne devrait plus être la nullité pour erreur