Le Genre Picturale Des Vanités

RepÈRes Page 18 Le réalisme à l’époque de maupassant D’importants éléments de contextualisation sont proposés dans ces pages afin d’ancrer l’étude de cette    nouvelle dans une problématique à la fois générique  – les particularités du genre de la nouvelle – et esthétique – le réalisme littéraire. Guy de maupassant Les élèves trouveront une approche rapide de la biographie  de  Maupassant,  à  la  suite  de  laquelle  on  leur  demande de chercher la date de publication de « La  Parure »

que l’expression remplace l’imitation. Suppose le culte du moi (qui a commencé avec Rousseau). Vigny : Sa poésie a mal vieillit. «poème» au début du XIX siècle = récit en vers, forme abrégé du poème épique. L’ode, l’élégie : appartiennent au genre lyrique. Avec la révolution, ce que l’écrivain gagne en liberté, indépendance, il le perd en revenu. Vigny milite en faveur du droit d’auteur. Dans le contexte d’un écrivain qui n’a pas vraiment de revenu, Vigny écrit sa préface à Chatterton. Selon

coupé net, comme affaissé sous son poids, et d’une scie ironique. Si son spectacle parle en faveur d’une efficacité de l’intuition poétique, doublée d’ingéniosité ludique, une autre interprétation privilégierait-elle, le regard d’un anthropologue d’un genre un peu particulier, attaché à de curieux rituels où percerait toujours la fantaisie, synonyme de drôlerie, et de menace sourde. Le calme apparent n’est ici qu’effet de l’art, les objets eux cependant ne perdent pas de leur malignité. Gare !...

dans la case des contestataires. « la réalité n’est pas l’art, l’art c’est le choix, le discernement, mr courbet a peint des haillons déchirés. » ce qui scandalise le plus n’est pas le sujet mais la manière de le peindre, œuvre appartient au grand genre par son format de 3m pour faire de ces hommes des héros, comme un roi. C’est la première fois qu’on peint ces figures si grandes. Millet, Le Casseur de pierres, 1849, Milan Enracinement de l’homme dans la nature. La bêche, la gamelle sur un morceau

dans toutes les civilisations dès l’Antiquité. De nombreux écrivains ont chanté depuis son origine les louanges de ce «divin nec- tar», de ce «breuvage d’immortalité», intemporel comme l’art et les manifestations artis- tiques de divers ordre : picturales, sculpturales, littéraires, musicales... dont le vin a constitué sans doute une source d’inspiration inépuisable. L’analyse du terme vin nous permettra finalement de conclure comme la culture n’existe que particularisée en fonction de la diversité

tableaux dans les Pays-Bas. L'ancêtre du tableau c'est le livre, un objet de très grand prix : cuir, des copistes. La peinture est initialement religieuse. Exple : le diptyque Carrand, vers 1390-1400 : 1 forme curieuse, forme d'église, empruntée au genre architectural. L'objet s'ouvre et se ferme comme un livre > Objet de synthèse : On se tient devant cet objet comme devant une église et un livre + thème de l'église, il renvoie à une intériorité, objet de dévotion. Plusieurs indices qui renvoie à cette

peinture de nu ; paysage ; roman. Nécessité, dans l'œuvre ; et volonté ; roman. Nu, expression ; enfant ; négation ; peinture ; dessin. Objet, régulateur ; couleur ; personnages de roman. Observation Oedipe Oeuvre Ogive Olympe Ombre, sculpturale ; picturale ; dessin. Orateur Orchestre Ordre Orgue Ornement, trace d'outil ; musical ; architecture ; libre ; matière ; utile ; écrit. Orphée Outil Parade Parodie Parure Pascal Passion, croyance ; physiologie ; délire ; vaincue ; gymnastique ; gestes ; éloquence

qui rit (roman, 1869), L'année terrible (1872), Quatre-vingt-treize (1874), l'Art d'être grand-père (1877), Religions et religion (1880), Les Quatre Vents de l'esprit (1881), Choses vues (1887). Milords, je viens vous apprendre une nouvelle : le genre humain existe. Un frémissement indescriptible courut sur tous les bancs. Ces cheveux en forêt, ces enfoncements noirs sous les sourcils, ce regard profond d'un oeil qu'on ne voyait pas, le modelé farouche de cette tête mêlant hideusement l'ombre

Des motifs, comme des fils :  Une scène intime. Le poète observe et décrit d’abord une scène apparemment inspirée de la vie quotidienne : une femme est assise à son miroir et se coiffe, dans l’intimité d’une chambre. On retrouve ici un motif pictural qui peut rappeler certaines toiles de Renoir (La Toilette : femme se peignant ou Jeune fille se peignant) ou de Degas (Femme à sa toilette). Une impression de durée, portée par l’imparfait, est renforcée par le vers 2 (« Et pendant un long jour

sombre, humide9 � et, de mani�re g�n�rale, Henri voit dans les valeurs des deux branches de sa famille deux mondes que tout oppose : � Le c�t� Beyle, c'est le pouvoir, l'avarice, l'insensibilit�, l'ombre, le froid, la tristesse, le p�dantisme, la vanit�, [�] l'affection des parents et les � dangers de la libert� �. Contre eux (les Gagnons), la culture, la gaiet�, la lumi�re, le plaisir, la beaut�, la tendresse, la g�n�rosit� et la fiert�, la folie des chim�res, rattach�s � cette � Italie � dont l'enfant