Le Gone Du Chaâba

l’écriture, pleine de courage et d’envie de vivre ayant des souhaits et des rêves d’avenir. VI) Je sais conclure mon exposé : J'ai trouvé que l’œuvre collée bien avec la problématique qui est de Grandir parmi les déchirures du monde contemporain . Le Gone du Chaâba, d'Azouz Bégag colle lui aussi à cette problématique car c'est un roman autobiographique qui témoigne bien des difficultés liées à l'identité culturelle et la difficulté à s'intégrer lorsqu'on fait partie d'une culture qui n'appartient pas au

DE LECTURE LE TITRE: Quand on est mort, c'est pour toute la vie DATE DE PREMIERE PUBLICATION: 1998 EDITEUR: Gallimard NOMBRE DE PAGES: 137 L'AUTEUR: Azouz Begag NATIONALITE: Française NE EN: 1957 à Villeurbanne AUTRES OEUVRES: - Le Gone du Chaâba - Un train pour chez nous - La guerre des moutons - Les temps des villages GENRE LITTERAIRE: Roman NARRATEUR: Je de personnage

Séquence 1 – Lectures autour de l’altérité   AJAR E., La Vie devant soi.   AVRIL N., La Disgrâce.   AYME M., Le Passe-muraille.   BAZIN H., Vipère au poing.   BEECHER-STOWE H., La Case de l’oncle Tom.   BEGAG A., Le Gône du Chaâba ; Quand on est mort, c’est pour toute la vie.   BEN JELLOUN T., Le Racisme expliqué à ma fille ; Harrouda...   BONA D., Le Manuscrit de Port-Ebène.   BOULLE P., La Planète des singes.   BOURAOUI N., La Voyeuse interdite.   BRINK A., Une saison blanche et sèche ;

malgré l’hétérogénéité de leurs cultures , est manipulé par des enjeux socio-économiques. En quatrième point, l’auteur met l’accent sur l’impacte de ce métissage entre l’Arabe et le Français sur la littérature. On trouve en premier lieu « La gone du chaaba », œuvre du Azouz Begag, considérée comme la meilleur preuve qui témoigne de ce mélange. Dans cette œuvre on trouve l’utilisation de mots proprement arabes injectés dans le discours,d’un coté. Et d’un autre coté, on remarques des variations au

tout est contrôlé et de comprendre alors comment sont réprimés les opposants au gouvernement. L'auteur peut aussi très bien faire intervenir deux personnages lors d'un choc de culture différente, tout d'abord dans le roman d'Azouz Begag, Le gone du Chaâba, on assiste à une discussion dans une cour de récréation entre le frère ainé des Taboul et l'auteur qui lui demande s'il « est arabe ou juif ? », cela témoigne du racisme présent à l'école, surtout lorsqu'il dit « Si j'avais avoué que j'étais

la discrimination raciale et sexuelle. Le malaise identitaire sous-jacent à cette dénonciation s’exprime de plusieurs façons différentes dans les romans beurs. Cela est évident, par exemple, lorsqu’on compare le discours du petit Azouz dans Le Gone du Chaâba d’Azouz Begag, publié en 1986, à celui de la petite narratrice de Georgette !, publié la même année par Farida Belghoul. Si le petit Azouz cherche à s’intégrer dans la société française en surpassant les Français dans la réalisation de leurs ambitions

livre de tous les fils. Et tout fils pleurant sa mère disparue y retrouvera les reproches qu'il s'adresse à lui-même lorsqu'il pense à telle circonstance où il s'est montré ingrat, indifférent ou incompréhensif. (Folio, 174 pages). Le Gone du Chaâba, Azouz Begag * Le Chaâba ? Un bidonville au bord du Rhône, près de Lyon, il n'y a pas si longtemps... Un amas de baraques en bois, trop vite bâties par ces immigrants qui ont fui la misère algérienne. Pour les enfants, grâce à l‘école, de nouveaux horizons

l'égalité des chances, dans le gouvernement De Villepin de 2005 à 2007. Azouz Begag est l'auteur de plus d’une vingtaine de livres, dont plusieurs romans s'inspirant de son enfance et traitant de l’intégration comme Béni ou le paradis privé ou Le Gone du Chaâba, tous deux parus en 2001. Béni ou le paradis privé, Seuil, 2001. Ce roman autobiographique retrace les difficultés quotidiennes de Béni, jeune adolescent de seize ans, d’origine maghrébine, mal dans sa peau et qui rêve de s’intégrer à la vie française

leur place, sont généralement des Unités de Formation et de Recherche de littérature maghrébine. Ainsi, ce corpus, pourtant appartenant à la littérature française, n’est pas reconnu comme tel. Ce fut le cas par exemple du texte d’Azouz Begag, Le Gone du Chaaba (1986), qui a été retiré de certaines écoles françaises. La protestation à l’égard de la littérature d’immigration n’est qu’un prolongement d’une campagne raciste faite à l’encontre des immigrés maghrébins. La littérature issue de l’immigration

France» et le Harrap’s «explique les gros mots pidgin à tout francophone qui ne comprend rien au pidgin». Il s’agit d’un français «colonisé» à la limite même du lisible. Azouz Begag, écrivain français de parents algériens, écrit son roman Le gone du Chaâba dans un français qui est le résultat du parler des natifs de Sétif (Algérie) et le parler des natifs de Lyon. Incorporant à la fin du livre un petit dictionnaire, l’auteur fournit une brève explication de ce qu’il nomme la phraséologie bouzidienne