Le Grand Blond avec une chaussure noire

possession vingt ans avant que je ne fusse encore né, en plus, quelque mille francs auxquels il faut encore ajouter les petits louis provenant des économies de ma mère. Mon père était officier dans les armées du roi. C'était un homme grand, maigre, chevelure noire, barbe, yeux, peau de même couleur... Quoiqu'il n'eût guère, quand j'étais né, que 48 ou 50 ans, on lui en aurait certainement bien donné 60 ou... 58. Il était d'un caractère vif, bouillant, souvent en colère et ne voulant rien souffrir

lui donnait le privilège de rentrer chez elle avec les grandes de l'Externat de Rosewood, qui écoutaient JayZ à fond dans leur Cherokee et l'aspergeaient de parfum avant de la déposer pour ne pas que ses vêtements empestent la fumée de clope. — Qu'est ce que j'ai loupé? s'enquit Spencer Hastings en se faufilant par une brèche dans la haie pour rejoindre les autres. Spencer était la voisine d'Ali. Elle rejeta sa longue queue de cheval blond foncé derrière son épaule et but une gorgée de sa bouteille

tard. Cela m’étonna, moi qui croyais qu’elle me connaissait bien. Au regard des personnes étrangères, je paraissais calme. Enfant, je ne pleurais pas. Seule ma mère remarquait la façon dont je contractais la mâchoire et j’écarquillais des yeux déjà grands. J’étais à la cuisine en train de hacher des légumes quand j’entendis des voix provenant de l’entrée, la voix d’une femme, aussi étincelante que cuivre bien astiqué, et celle d’un homme, aussi dense et sombre que le bois de la table sur laquelle je

avaient un fils. Le roi était un grand roi : son verre était le plus profond de son empire ; son épée, la plus lourde ; il tuait et buvait royalement. La reine était une belle reine : elle usait tant de fard qu’elle n’avait guère plus de quarante ans. Le fils était un niais.Mais un niais de la plus grosse espèce, disaient les gens d’esprit du royaume. À seize ans, il fut emmené en guerre par le roi : il s’agissait d’exterminer certaine nation voisine qui avait le grand tort de posséder un territoire

la seconde ou je l'ai vu on s’est vite attachés l’un a l’autre.Il avait des cheveux châtains clairs que j’adorais toucher avec mes doigts,il avait des yeux bleu électrique et un corps qui faisait jalouser les mannequins.Quand à moi,je reste la mi-blonde mi-brune avec des yeux marrons noisettes et je suis la capitaine de l’équipe de basket-ball du lycée ,ce qui laissait paraitre quelques muscles sur mes bras ,et mon ventre.J’étais plutôt baraquée pour une meuf et on me comparait souvent a Amanda qui

avaient un fils. Le roi était un grand roi : son verre était le plus profond de son empire ; son épée, la plus lourde ; il tuait et buvait royalement. La reine était une belle reine : elle usait tant de fard qu’elle n’avait guère plus de quarante ans. Le fils était un niais.Mais un niais de la plus grosse espèce, disaient les gens d’esprit du royaume. À seize ans, il fut emmené en guerre par le roi : il s’agissait d’exterminer certaine nation voisine qui avait le grand tort de posséder un territoire

«Cette nuit-là m’a donc ramené à l’autre. La nôtre sœur Lucie. Dans les deux cas, la nuit de guérison, la nuit de création - où Neumann avait venté une toile qu’Adolf avait peinte pendant une nuit d’insomnie, estimant qu’il s’agissait de la toile d’un grand peintre – j’ai été incapable de comprendre ce qui arrivait. Chaque fois que quelque chose d’important passe par moi, il faut que les autres – vous ou Neumann – me nomment ce qui m’arrive. Plus je suis gâté, plus je suis ingrat. Je n’arrive pas à admettre

ont quitté les innocents. Yvan Goll La Grande Misère de France Nous n'irons plus au bois ma belle Les lauriers sont coupés les ponts Aussi : les arcs-en-ciel Et même le pont d'Avignon Jeanne d'Arc mortelle statue Un peu de bronze ensanglanté Dans cette France qui s'est tue Ton coeur a cessé de chanter Jeanne dans sa jupe de bure Assise sous les framboisiers Se prépare une confiture Avec du sang de cuirassiers La poule noire des nuages Pond les oeufs pourris de la mort

instituto. L'enseignement = la enseñanza. La sonnerie = el timbre. La salle de classe = el aula / la clase. Le bureau = el despacho (del director). Une feuille de papier = la hoja de papel. L'encre = la tinta. Une calculatrice = la calculadora. Les grandes vacances = las vacaciones de verano. L'emploi du temps = el horario. Demi-pensionnaire = mediopensionista. Une matière = una asignatura. La récréation = el recreo. Faire l'appel = Pasar lista. Lever le doigt = levantar la mano. Présent / Absent =

soubresauts d'une voiture fortement cahotée. Ce jour était un de ceux qui, pendant le mois de septembre, achèvent de mûrir les raisins par des feux équatoriaux. Le temps annonçait un orage. Quoique plusieurs grands espaces d'azur séparassent encore vers l'horizon de gros nuages noirs, on voyait des nuées blondes s'avancer avec une effrayante rapidité, en étendant, de l'ouest à l'est, un léger rideau grisâtre. Le vent, n'agissant que dans la haute région de l'air, l'atmosphère comprimait vers les bas-fonds les