Madame du Deffand

s’occupa des enfants qui l’adoraient; ce qui suscita la jalousie des parents. Traitée de plus en plus mal, parfois même humiliée, considérée comme la dernière des servantes, elle décida d’entrer pensionnaire dans un couvent. C’est alors qu’arriva Mme du Deffand, soeur de du comte Gaspard Nicolas de Vichy. Seule la rencontre avec Julie rendit supportable à la Marquise le séjour dans sa famille. Elle fut touchée de la tristesse de Julie et frappée par sa remarquable intelligence, sa sincérité, par ce mélange

Le salon de madame Lambert 1710: Elle accueille rue de Richelieu un salon plus "sérieux" qu'à la Cour de Sceaux. Elle désapprouve le libertinage de l'époque et essaie de s'entourer de personnes plus réservées. Sur ce point, à lire la liste des habitués, ce n'est pas une réussite ! Les participants : Le président Hénault qui devient le maître des lieux. Fénelon Fontenelle La Motte Houdart Montesquieu Marivaux L'Abbé de Saint Pierre Le marquis D'Argenson dit la bête Madame De Caylus la

illégitime du comte Gaspard de Vichy. Son père épousa sa sœur. Sa mère s’occupa d’elle jusqu'à sa mort puis elle retourna chez son père pour servir de gouvernante pour les enfants de sa sœur. Par la suite elle se fit reccueullir par sa tante Marie du Deffand qui commencer a perdre la vue. Elle prit alors Julie comme lectrice dans le salon qu’elle tient à Paris et qui est connu en 1757. Le salon de sa tante était fréquenté par des écrivains et des philosophes comme Fontenelle, Montesquieu, Marivaux, Marmontel

Essais Ensuite reformuler le sujet : Dans ce passage d’une lettre Mme du Deffand recommande à son ami anglais Horace Walpole la lecture des Essais de Montaigne. Le sujet nous invite à confronter Il s’agit dans ce sujet de confronter la présentation des Essais de Madame du Deffand avec notre propre lecture . Plan :1. Mme du Deffand rassure Horace Walpole en l’encourageant à lire les Essais – « je suis sure que vous vous accoutumerez

femmes. Deux femmes s’imposent : Madame Geoffrin et Madame Tencin mais aussi Madame Ferté-Imbault et Madame Du Deffand. Les sortes de personne qui fréquente le salon de Madame Geoffrin sont les poètes, les philosophes, les gens de lettres, les artistes, les peintres, les graveurs et les collectionneurs. Le destin de Reinette ou l’ascension d’une jeune fille. L’origine sociale de Reinette est la petite bourgeoisie et noblesse. Par son mariage, elle devient Madame D’Etiolles. Une fois mariée, elle

et Chaulieu. La femme de chambre de la duchesse, Marguerite de Launay, future baronne de Staal, se fit bientôt remarquer et joua son rôle dans celle aimable société dans laquelle on pouvait également côtoyer Voltaire, Émilie du Châtelet, Marie Du Deffand, Montesquieu, d’Alembert, le président Hénault, le futur cardinal de Bernis, Henri François d'Aguesseau, le poète Jean-Baptiste Rousseau, le dramaturge Antoine Houdar de la Motte, Sainte-Aulaire, l’abbé Mably, le cardinal de Polignac, Charles Auguste

du temps à recevoir la future Mme de Pompadour et accepte mal Diderot, qu’elle juge manquer d’usages. Les salons littéraires féminins du XVIIIème siècle sont ceux de : Mme Geoffrin (Marie-Thérèse) Mme de Tencin Mme de Lambert Mme du Deffand (Marie) Mlle de Lespinasse (Julie) Mme Helvétius (Anne Catherine) Mme Quinault, dite «Quinault cadette» la duchesse du Maine (Anne Louise) Mme d’Arnould (Sophie) Mme D'Épinay (Louise) Mme de Graffigny (Françoise) Mme de Condorcet (Sophie)

2)Mme de Tencin 3)Mlle de Lapinasse 4)Mme du Deffand 5)Autre salons B) Les cafés : -s’oriente autour de Paris (300) -Les grands cafés et qui les côtoyées: 1)Café le Procope

ses entraves Madame du Deffand, madame Geoffrin et Julie de Lespinasse entretenaient toutes les trois de très bonnes relations avec les philosophes de l’époque. Ces derniers ce rendaient dans leurs salons, les clubs ou encore les Cafés, comme le Procope, qui s’inspiraient de la mode anglaise. Les philosophes s’y rendaient pour parler de culture, se nouer de relations avec d’autres personnes du même secteur et débattre de sujets politique par exemple. Madame du Deffand, madame Geoffrin et Julie

elle fait une sélection parmi les personnes qui désirent rentrer dans son salon. Participants : Fénelon, Fontenelle, la Motte Houdart, Montesquieu, Marivaux Son salon prend fin en 1733 à sa mort et ses participants rejoignent le salon de Madame de Tencin. Madame de Tencin : appelé le Bureau d’esprit de 1726 à 1749 rue Saint Honoré C’est le premier salon philosophique à proprement parler. Participants : Duclos, Marmontel, l’abbé Mably, Helvétius (philosophes), l’abbé Prevost, Piron(hommes de lettres)