Le Génie Selon Kant

« l'esprit français », bien plus que la littérature du Moyen Âge qu'ils avaient oubliée et reniée. À leur tour, les autres nations imitèrent la littérature française duxviie siècle et, par cette imitation de seconde main, ne firent qu'affaiblir leur génie propre pendant une période plus ou moins longue. La littérature française était devenue, au regard des autres littératures européennes, une littérature prolongeant l'Antiquité classique. En effet, les esprits français et italien sont les seuls dans

sens, aux émotions et à l'intellect. Les définitions de ce concept varient largement selon les époques et les lieux, et aucune d'entre elles n'est universellement acceptée. Ainsi, pour Marcel Mauss[1], « un objet d'art, par définition, est l'objet reconnu comme tel par un groupe. » C'est pourquoi les produits et pratiques artistiques, ou plutôt les collections de ces objets, peuvent être classés diversement selon les cultures, les auteurs et les institutions. Depuis la fin du XVIIIe siècle[2] et

impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. Épicure (3eme s. av JC)[modifier | modifier le code] Selon Épicure, le bonheur a deux faces : une face négative

la raison est éternelle (Socrate) ⇒ Recherche de ce qui est vrai, beau et bien. Comme Empédocle et Démocrite, il est d'accord qu'il y a des choses qui changent, et des choses essentielles qui ne changent pas. ⇒ Pour lui les transformations se font selon un moule, intemporel et immuable (ex : ce que les chevaux ont en commun). Les atomes se recombinent, mais pas n'importe comment (pas de croco-phant ni d'élé-dile à partir de crocodile & éléphant). ⇒ Ces moules sont appelés "idées". Platon soutenait

appartient au réel A. L’art imite la nature. L’œuvre d’art est un objet technique, produit selon un processus matériel similaire à toutes les productions techniques. Elle appartient au réel et donc ne nous y détourne pas puisqu’au contraire elle nous y maintient. Référence possible : Aristote, La Physique, les quatre causes, Nietzsche, Humain trop humain, l’idée de génie est une idée fallacieuse qui ignore la quantité de travail qu’il faut fournir pour créer. B. L’art comme

mais la conscience humaine). Il a dû fuir la France et partir en Hollande, mais il fut autant persécuté dans ce pays donc il partit en Suède à la demande de la Reine (de Suède) de l’époque. Mort là-bas d’une pneumonie. Quand la France reconnut son génie, elle voulut récupérer son corps. La Suède lui rendit MAIS la France ne récupèrera la tête qu’après la 2ème Guerre Mondiale. → mettre en questionnement, philosopher = dangereux car mal vu. Descartes et Socrate inaugurèrent des ères importantes

peut-être parce que nous serions bien dans la difficulté de définir le bonheur que nous aimerions vivre. Ah ! Qu’est-ce que je serais heureux, si j’étais heureux ! (Woody Allen) Et je serais heureux à partir de quoi ? A partir de quel instant ? Selon quel critère : L’argent ? L’amour ? Ou simplement en réussissant la vie choisie dans le meilleur équilibre possible ? Y-a-t-il seulement un critère commun à tous pour définir ce qu’est le bonheur ? Serions-nous déjà capables de le définir pour nous-mêmes

processus démocratique. Les sophistes personnes cultivées et compétentes (enseigner = rémunération) Les sophistes s’intéressent à l’homme et à sa place dans la société. Ils parcourent le monde et jettent les basent d’une critique de la société athénienne. Selon les sophistes, les normes, les lois, le vrai, le faux, le bien, le mal, dépendent de la société dans laquelle on vit. (La pudeur est fonction de la société) Socrate ? Enigme, mystérieux, pas d’écrit (comme Jésus). On connaît Socrate par Platon (dialogue)

sexes : « Ce n’est point pour cette fin que nous sommes nées. » Les valeurs morales sont également mises en avant dans De l’Allemagne de Mme de Staël, qui fut aussi une femme érudite et qui s’appuie sur un autre philosophe du siècle des Lumières : « Kant est bien loin de considérer cette puissance du sentiment comme une illusion, il lui assigne au contraire le premier rang dans la nature humaine. » Ces œuvres nous prouvent que la Philosophie des Lumières donnent de l’importance aux sentiments, et

conditions pour être juger digne (ou indigne) d’une telle qualification. D’abord on exigera d’un tel individu qu’il justifie son artistité par une œuvre. Mais pas n’importe quelle œuvre, une œuvre qui possède les déterminations d’une œuvre d’art (Cf. Kant, Critique de la faculté de juger, § 44 de l’analytique du sublime où il distingue les arts mécaniques des arts esthétiques et parmi ces derniers les arts d’agréments (dont la fin est que le plaisir accompagne les représentations en tant que simples