Le Horla Spatio Temporel

indirectement. « style indirect libre », marques d’oralité, récit de paroles. • Actes de paroles. • Explicite et implicite. • Effets des discours : persuader, dissuader, convaincre, émouvoir, amuser, inquiéter. b) Texte • Le paragraphe. • Connecteurs spatio-temporels et logiques. • Reprises pronominales et reprises nominales. • Formes de progression. • Organisation des textes : formes cadres et formes encadrées. c) Phrase • Phrase simple et phrase complexe : – fonctions par rapport au nom (expansion nominale

si profonde, d’une sincérité si poignante que Le Lac est devenu le poème immortel de l’inquiétude humaine devant le destin, de l’élan vers le bonheur, et de l’amour éphémère aspirant à l’éternité - champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d’adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé

référents des pronoms (à qui ou ààquoi ils renvoient) Identi er les types et les formes de phrases Identi er les types et les formes de phrases Identi er les valeurs des temps Identi er les valeurs des temps Identi er les connecteurs temporels Identi er les connecteurs temporels Comprendre les liens logiques (cause, conséquence, opposition) Comprendre les liens logiques (cause, conséquence, opposition) Identi er un complément du verbe (COD, COI) et un complément de la phrase (CC) Identi er un complément

première personne) ; le temps dominant est le présent de narration. Cet extrait mêle passages narratifs, descriptifs, réflexions et commentaires du narrateur. En général, les questions portent sur les caractéristiques du récit : personnages, cadre spatio-temporel, sentiments, etc. Il faut mobiliser les outils d’analyse qui correspondent au roman. Questions I. Le cadre 1. Les personnages principaux sont le narrateur et Jamal. Ils sont frères. 2. À partir du troisième paragraphe, les deux personnages

séduisante, P. Bayard sape son approche en pointant l’aporie que cette méthode de lecture provoque. En évoquant son travail sur Maupassant, P. Bayard avoue ceci : « Théorie jalonnée de quelques mots-clés, que nous avons appelés des "préconcepts" – comme "Horla" ou "Autre" –, suggérée par quelques scènes traumatiques répétitives, et pourtant jamais directement écrite. Mais le regroupement de ces données éparses et la désignation de ces préconcepts demeurent les nôtres et ne sont pas les seuls envisageables

Fournier, Grammaire du français classique, p. 49 : « le locatif est un complément du verbe être, prépositionnel (ce qui l’oppose à l’attribut) et essentiel (= non suppressible, ce qui l’oppose au circonstant), qui dénote une localisation spatio-temporelle ou notionnelle du sujet : Paul est à Paris, en Italie, en colère. 060 a. Ambiguïté d’incidence : a.1. à l’adjectif/au nom occurrence 7 (v. 2) : « d’ouvrages (divers) » : 3 analyses étaient ici possibles : - (1) « d’ouvrages » est

confondre le registre merveilleux et le registre fantastique. Le registre fantastique a pour critère l’incertitude. Le lecteur ne peut jamais vraiment savoir si l’événement a une origine surnaturelle ou une explication rationnelle. C’est le cas dans Le Horla de Maupassant. Ce jeu avec un cadre en apparence réaliste est capital. Le merveilleux, au contraire, nous plonge dans une atmosphère complètement surnaturelle où les événements arrivent parfois par magie, où les personnages sont totalement imaginaires

d’elle. Cette œuvre symbolise les luttes pour la libération des femmes et ses avancées signi- Les sciences humaines dans la littérature et les arts 87 4. Les bouleversements du xxe siècle sont résumés dans le document 7. Les connecteurs spatio-temporels (« après », l. 1 ; « derrière nous », l. 2 ; « puis… en-dessous », l. 3 ; « au-dessus », l. 4) ; « devant nous », l. 5) guident le lecteur. Le postmodernisme est la période qui suit le modernisme. Elle débuterait vers les années 1980. Bruno Latour

de temps, de lieu): selon cette règle, l'intrigue forme un tout organique (unité d'action). De plus, elle préconise, pour une «imitation» parfaite, d'éviter la rupture spatio-temporelle: la scène ne représente qu'un seul lieu (unité de lieu), l'entrée et la sortie des personnages se fait de façon à marquer l'enchaînement temporel des scènes (liaison des scènes), le temps de la fiction se rapproche du temps de la représentation en n'excédant pas vingt-quatre heures (unité de temps). S'ajoutent à ces

de temps, de lieu): selon cette règle, l'intrigue forme un tout organique (unité d'action). De plus, elle préconise, pour une «imitation» parfaite, d'éviter la rupture spatio-temporelle: la scène ne représente qu'un seul lieu (unité de lieu), l'entrée et la sortie des personnages se fait de façon à marquer l'enchaînement temporel des scènes (liaison des scènes), le temps de la fiction se rapproche du temps de la représentation en n'excédant pas vingt-quatre heures (unité de temps). S'ajoutent à ces