Le Journal du hard

espérer un important potentiel de croissance en misant sur des changements d'habitudes de consommation. Cependant, dans l'analyse du marché, il faut tenir compte du poids des circuits de vente (Vente Par Correspondance , pharmacies, parapharmacies, hard discount) qui représentent désormais 28 % du segment des bains/douches et 21 % de celui des savons. 3 Analyse des valeurs En 2008, en France, le marché des Savons et Bains représentait 410 686 319 € (source : stage chez Unilever avec AC/Nielsen)

clientèle leur permettraient de réagir sur des demandes qui évoluent en lançant des marques là où il existe un vide lorsqu'il y a une difficulté d'approvisionnement. Toutefois, les marques distributeurs sont menacées par les marques nationales et le « hard discount », étant une stratégie de vente basée sur un prix extrêmement bas et d'une qualité pouvant être médiocre. Créées dans le but de supprimer les intermédiaires, afin de proposer des prix encore plus attractifs, la progression des MDD n’est

concentration activities. 3.1.1. Protectionism and economic patriotism The contestability of the banking market in the euro zone has been weakened by the existence of imphcit or informal barriers to acquisition. These barriers to crossborder mergers are hard to assess, and relatively few studies have attempted to do so (Barth et al. (2001), Carletti etal. (2007), Koehler (2007)). These indicators pose the problem of taking into account the behaviour ofgovernment representatives and state employees who

consommateur brésilien plusieurs formats de magasins (172 hyper­ marchés, 49 supermarchés et 376 hard dis­ count en 2009)7. Le multiformat permet au groupe d ’adapter sa stratégie d’expansion aux spécificités du marché brésilien. Depuis la crise née en 1998, Carrefour a commencé à se développer en supermarché, avec les magasins « Carrefour Bairro » qui ont rem­ placé les supermarchés Champion en 2006 et en hard discount avec l’enseigne « Dia ». Quant à l’enseigne locale Extra, elle appar­ tient au Groupo

vocabulaire Bac STG Mercatique Session 2010 Épreuve écrite de spécialité Coeff. : 7 Durée : 4 Heures Repère : Page 2 sur 12 7 SPMEG11 Annexe 1 - Baisse de la teneur en sucre Sur son bureau, Anthony Francheterre étale les coupures de journaux. Une revue de presse consacrée à l’obésité infantile que le directeur général d’United Biscuits (UB) France consulte régulièrement. Pour ce dernier, pas de doute : « Cette récente prise de conscience, avec la multiplication d’articles depuis un an

spectacle (football américain, pompom girls, percussions…). Diverses idées sont ressorties : - importation de cette discipline étrangère dans un grand stade français (Charléty, 22000 places) - Associer les grandes enseignes américaines (Hummer, Hard Rock Café, Pepsi…) et européennes (BNP, Groupe Accord…) - Proposer une animation qui permette de dépasser le simple cadre de match de Football américain (concert, démonstrations de danses, percussions…) - « Habiller » le stade (écran géant

de ce temps. Plusieurs artistes influants du Pop art proviennent d'Amérique. Les origines du Pop art en Amérique et en Grande-Bretagne se sont développées légèrement différemment. En Amérique, le Pop art a marqué un retour à la composition plus « hard-edged » et à l'art représentatif par les artistes employant la réalité mondaine, l'ironie et l'impersonnel pour répandre le symbolisme personnel et le relâchement de l'expressionnisme abstrait. En revanche, l'origine du mouvement en Grande-Bretagne

moyen de communication. On distingue : * La presse quotidienne et les magazines : Le but principal de Monoprix est de communiquer dans des magazines lus par sa clientèle : les citadins. Pour cela, le groupe a choisit de se montrer dans des journaux quotidiens comme « 20minutes », « Direct Matin » et « Métro ». Mais également dans certains magazines comme « Elle », « Marie-Claire »… * L’affichage : Le groupe est présent sur les quais du métro ou alors sur les abribus afin de toujours toucher

concept : le magasin populaire, calqué sur le type de magasin à prix unique, ce qui permet d’étendre les ventes aux villes moyennes, les magasins sont moins coûteux, moins de produits, moins de coûts, surface adroite, à l’époque ce sont les premiers hard discounts. Les nouvelles galeries et les galeries Lafayette se sont regroupé et ont crée Uniprix en 1928, le Printemps crée Prix Unique, puis Monoprix pour les Galeries Lafayette. Autre évolution : l’apparition du LS, qui vient de Clarence Saunders

de fidélisation, dans différents pays, européens et nord-américains, et secteurs d’activité, allant 1 2 Le « Food Marketing Institute » estime que 71% des distributeurs américains possédaient en 1999 un programme de fidélisation. Wall Street Journal (2000), New York, Jun 19th . Asda est possédé par le géant américain Wal-Mart 3 2 de la distribution aux services, et d’une série d’étude de cas portant sur une douzaine de ces entreprises, les pratiques réelles des entreprises seront présentées