Le Juge Et Le Contrat

1 : Le droit objectif Règles de droit : obligatoire (forme de commandement) et générale (cad impersonnelle). Elle s’applique à un type de situation et non à une personne donnée. Existence d’une contrainte étatique, ouvre le droit d’aller devant le juge pour demander l’application → sanction. (Article 203 du code civil : nourrir, entretenir les enfants.) 2 types de règles : Les règles impératives ; obligatoire et on ne peut y déroger. Les règles supplétives ; il est possible d’y déroger par

C’est cette légalité qui s’applique en temps normal et dont doit respecter l’action de l’administration. Cette légalité veut que toute action de l’administration soit conforme au droit sous peine d’annulation des actes non con forme par le juge administratif sur la base d’un recours pour excès de pouvoir. La légalité en période normale consiste en ce que toute action de l’administration soit conforme au droit. Ce droit provient des différentes sources 2/ Les sources de la légalité *

l’économie du 4 août 2008 a réformé les dispositions de l’article L. 132-1 du code de la consommation qui pose le principe de l’interdiction dans les contrats de consommation des clauses « qui ont pour objet ou pour effet de créer, au détriment du non professionnel ou du consommateur, un déséquilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat » en supprimant la liste exemplative de clauses susceptibles d’être déclarées abusives annexée à cet article. Il a été décidé de la création

1er juge : jugement (l4) L4 : Faits (raconter dans l’ordre chronologique) litige L7/8 : dispositif du 1er juge : M. X est condamné à payer la facture. Le juge considère que M.X a bien conclu un contrat et que ce contrat a été exécuté. La facture doit être payée. Le juge s’appuie sur une attestation. Motifs du 1er juge (L9-11)  Il n’y a pas de cour d’appel car c’est un jugement en 1er et dernier ressort L12-14 : réponse de la CC avec ses motifs. De plus on apprend que le 1er juge est un juge de proximité

l’étudier ce semestre. §3. 3ème branche : Le droit des conflits de lois Lgt vue comme la branche reine de la matière. Plus on avance plus il y a des règles de conflits de loi st d’origine €. Cette matière consiste à se demander sur la loi que le juge french (JF) doit appliquer pour trancher un litige. La théorie générale des conflits de loi est une présentation de ttes les méthodes et techniques qui vont désigner la loi applicable à une situation présentant 1 ou plusieurs éléments d’extranéité

classifications des contrats 2. Distinction des nommés et innommés 3. Distinction contrats principaux et contrats accessoires 4. Distinction contrat consensuel et non consensuel 5. Distinction des contrats synallagmatique et les contrats unilatéraux 6. Distinction des contrats négociés et d’adhésion 7. Distinction des contrats intuitu personae et impersonnel 8. Distinction des contrats entre professionnel et de consommation 9. Distinction des contrats à titre gratuit et

d’assurance‑vie Appelante et Connie Fidler Intimée Traduction française officielle Coram : La juge en chef McLachlin et les juges Major*, Bastarache, Binnie, LeBel, Deschamps, Fish, Abella et Charron Motifs de jugement conjoints: (par. 1 à 76) La juge en chef McLachlin et la juge Abella (avec l’accord des juges Bastarache, Binnie, LeBel, Deschamps, Fish et Charron) * Le juge Major n’a pas pris part au jugement. ______________________________ Fidler c. Sun Life du Canada,

est relatif au recours pour excès de pouvoir contre les clauses règlementaires d’un contrat administratif. Cet arrêt est un arrêt d'assemblée qui opère un revirement de jurisprudence en ce qui concerne l'irrecevabilité du recours pour excès de pouvoir exercé contre un contrat administratif. Le recours pour excès de pouvoir est une action en justice par laquelle toute personne y ayant un intérêt peut demander au juge administratif d’annuler toute décision administrative qu’elle estime illégale. En

Commentaire de l’arrêt du 1er décembre 2005 : On assiste de nos jours à de nouvelles formes de travail, les litiges relatifs à la qualification des contrats en contrat de travail se sont donc multipliés comme en témoigne l’arrêt de la chambre sociale de la Cour de cassation en date du 1er décembre 2005. Plusieurs chauffeurs de taxi ont conclu des contrats de « location de véhicule équipé-taxi » avec différentes sociétés moyennant une redevance mensuelle. Les chauffeurs de taxi ont saisi la juridiction

vente. M. Y.. assigne Mme X.. Au paiement de la facture devant une juridiction de premier degré. Il a obtenu une ordonnance d'injonction de payer de la part du juge du fond. Mme X fait appel, M. Y.. est donc l'intimé, il n'obtient pas gain de cause, en effet il est débouté de sa demande en paiement, car la cour d'appel estime que le contrat de vente avait une cause illicite, se référant à une infraction pénale. M. Y... Forme un pourvoi en Cassation. Selon les deux branches du moyen, M. Y.. Prétend