Le Jugement De Julien Sorel

excite le lecteur. Effectivement, dans le document C, nous trouvons notre héros Julien Sorel au tribunal lors de son jugement et nous pouvons citer la phrase accusatrice de ce dernier « Voilà mon crime, messieurs, et il sera puni avec d'autant plus de sévérité, que, dans le fait, je ne suis point jugé par mes pairs. Je ne vois sur les bancs des jurés quelque paysan enrichi, mais uniquement des bourgeois indignés ». Julien Sorel dénonce clairement cette injustice inique du XIXème siècle et qu'il le révèle

et le noir I) Résumé du livre Julien Sorel, le fils d’un simple scieur, devient le précepteur des enfants de M. de Rênal, le maire de Verrières. Le succès de Julien auprès de ses élèves, et auprès de Mme de Rênal surtout, les soirées sous le tilleul, la stratégie amoureuse du jeune homme, finissent par éveiller des soupçons. Pour faire taire les rumeurs, Julien doit quitter son amante et sa position. Grâce à ses talents brillants au séminaire, Julien obtient une place de secrétaire à Paris

ANALYSE LINEAIRE 13 : CHAPITRE 41, « LE JUGEMENT »Publié en 1830, au moment où le romantisme connait son apogée, le Rouge et le Noir, écrit par Stendhal, va dépeindre une société dans laquelle il vit. Ainsi, cette œuvre s’inscrit dans l’Histoire de France comme l’indique le sous-titre « Chroniques de 1830 » .Ce roman réaliste raconte l’ascension de Julien Sorel, fils de charpentier, qui s’élève dans la haute société grâce à son intelligence ambitieuse et sa beauté juvénile. Dans l’extrait que je

1ère traite du parcours de Julien Sorel de Verrière à Besançon + rencontre avec les De Rênal (passion avec Mme). 2e : sa vie à Paris avec les de La Mole (+passion avec la fille Mathilde)A propos du texte : Ce texte est un extrait du chapitre XI du livre 1er du RELN. Il se situe dans le Dans cet extrait nous allons voir comment l’auteur met en avant les sentiments de Mme de Rênal. Pour cela nous allons d’abord voir comment elle présente son amour envers Julien puis comment elle découvre

trouva dans ce journal un contrendu de procès en train de se dérouler dans l’Isère décembre 1827. Un certain Antoine Berthet est condamné à la peine capitale et il est exécuté en 1826. Antoine Berthet va anter l’esprit de Stendhal, Antoine va devenir Julien 2) genre du roman de formation qui présente l’itinéraire d’un héros qui t’en sont enfance et sa famille pour entrer dans le monde ce découvrir et évoluer à travers un parcourt sociale et sentimentale précision d’ordre historique liée au bouleversement

ligne 16 « un verre vert » Ces précisions permettent de définir le cadre spatio-temporel de cet extrait. Nous relevons différentes formes de dialogues ,premièrement on relève un discours direct aux lignes 17.18 ,un échange entre Mr Valenod et Julien qui est exprimé avec des tiret pour annoncer un changement de locuteurs,point exclamatif « parbleu! »,utilisation de la première personne « je le crois bien »ainsi qu'un temps au passé composé  « j'ai fait imposer silence aux gueux »qui exprime un

«mère » lorsque l’on parle d’elle aux autres. Comme un enfant, sa nature sensuelle le met en rapport intime avec le monde naturel : la mer, le ciel, le soleil. Il qualifie encore les gens de «gentils» comme Raymond ou de «méchants» au cours de son jugement. Tous ces marqueurs lexicaux de la candeur de son personnage nous le révèlent comme un nouveau Candide qui démontre les contrefaçons de la justice et de la comédie sociale. A l’exemple d’Uzbek, 88 L’absurde et l’humour dans l’Etranger de Camus

en deux parties. Une première où nous verrons que le jugement d’un personnage est important, et une seconde où nous concéderons qu’il n’est toutefois pas indispensable. Un personnage est modelé comme une personne. Il a un nom, une famille, des amis, un lieu de résidence, un métier, des biens qui lui sont propres. Il a également un physique, un caractère. «  Son caractère permet au lecteur de le juger, de l’aimer, de le haïr. » Le jugement vis-à-vis d’une personne réelle ou fictive est quelque

Cet homme, issu d’un milieu semblable à celui de Julien Sorel est engagé comme précepteur puis tente de faire carrière dans l’Eglise, en vain. Il ne connaîtra pas l’épisode brillant de l’amour avec une jeune aristocrate, comme Julien avec Mathilde de la Mole, mais comme lui, se sentant trahi par la femme qu’il aime, il lui tire dessus lors d’un office

époux discutent de savoir s’il faut « prendre chez [eux] Sorel, le fils du scieur de planches » afin d’en faire un précepteur pour leurs trois enfants, et faire pendant à M. Valenod, directeur du dépôt de mendicité et possesseur de deux beaux chevaux normands. La décision étant prise, M. de Rênal rend visite au père de Julien Sorel, qui prétend vouloir consulter son fils avant toute décision, ce qu’il fait après l’avoir fait tomber, car Julien, juché sur la scie, lisait le Mémorial de Sainte-Hélène