Le Jugement De Julien Sorel

En 1805, il devient l'amant de l'actrice Mélanie Guilbert et il la suit à Marseille et s'essaye au commerce, sans grande motivation, ni grand succès d'ailleurs. Mais, ces années d'apprentissage auront une grande influence sur le personnage de Julien Sorel dans le Rouge et le Noir. Il est nommé auditeur au Conseil d'État le 3 août 1810. À partir de 1810, il participe à l'administration et aux guerres napoléoniennes. En 1812, il travaille à l’Histoire de la Peinture en Italie. En août, il se rend

paternité entre Antoine et Henri et maintenir celui existant entre Antoine et Julien, émet l’avis suivant au regard de faits ci-après relatés : Antoine BERTHET a rencontré Mathilde DERVILLE en juin 2000, laquelle venait d’accoucher d’un petit Julien qui a été reconnu comme enfant naturel d’Antoine le 2 décembre 2000. Ils se sont mariés le 28 décembre de la même année. Antoine a quitté son épouse en septembre 2003 et Julien l’a suivi. En mars 2004 Antoine a fait la connaissance d’Elise, laquelle est

social classes , sociale , politiques. -plusieurs interprétations pour le titre : rouge => amour ou carrière militaire noir => la mort ou carrière ecclésiastique -Julien Sorel : héros , petit paysan ambitieux qui s'élève dans une société grâce aux femmes. Extrait 1 : (chap 6 , partie I) -première rencontre Julien/Mme Rénal : schéma type du romantisme rencontre amoureuse -discours direct : « Quoi , Monsieur , lui dit-elle enfin . » discours indirect libre : « Quoi , c'était là ce précepteur

d’un jeune journaliste dans la salle qui le contemple. Meursault explique « j’ai eu l’impression bizarre d’être regardé par moi-même ». Cette présence pourrait être interprétée comme celle de Camus lui-même au cours de ce procès. A l’énoncé du jugement Meursault constate « que le jeune journaliste avait détourné les yeux » comme si celui-ci avait conscience de ce que la peine de mort manifeste de provocant et de honteux. Camus écrit d’ailleurs dans réflexions sur la guillotine « de la peine de

pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole. Messieurs, je n'ai point l'honneur d'appartenir à votre classe, vous voyez en moi un paysan qui s'est révolté contre la bassesse de sa fortune. « Je ne vous demande aucune grâce, continua Julien en affermissant sa voix. Je ne me fais point illusion, la mort m'attend : elle sera juste. J'ai pu attenter aux jours de la femme la plus digne de tous les respects, de tous les hommages. Mme de Rênal avait été pour moi comme une mère. Mon crime

Noir » Introduction Le texte présenté est extrait du roman Le Rouge et le Noir de Stendhal, c’est un récit de première rencontre. Il fait partie du courant réaliste et artistique, les deux personnages sont très opposés dans la vie sociale, julien Sorel évoque la tristesse et la timidité alors que Mme de Rênal joue le rôle de la mère, seul et non rassurée ; c’est le signe du romantisme, de l’affectivité des personnages. Comment Stendhal arrive-t-il

centré sur julien Sorel. Ce dernier est précepteur des enfants de Mme de Rênal dont il tombe amoureux. Le Passage du texte que nous étudions est l’incipit du roman. Nous pouvons y découvrir la description de la ville de Verrières et de son maire M. de Rênal.] I. Les deux facettes de la ville et de son maire II. Le regard du voyageur I. Les deux facettes de la ville et de son maire a) La ville, Verrière b) Le maire, M. de Rênal a) Le voyageur lecteur b) Le jugement du voyageur

LE DOUBLE DESTıN D'UN INGENU, JULIEN SOREL Prof. Dr. Neriman ERA T ALA Y (*) i . Introduction Le Rouge et le Noir, le roman qui illustre fe mieux'l'egotisme de son auteur emprunte son sujet a un fait diyers. Le choix de Stendhal conduit inevitablement a la mort, le jeune Sorel, voue pourtant a une carriere brillante. Etait-ce vraiement la fidelite de rauteur a Larealite tragique du fait divers qui l'a amene a condamner le jeune ambitieux tout comme Antoine Berthet, son prototype, victime

ville. Ses jardins en terrasse descendent jusqu'à la rivière sur des terrains achetés à prix d'or au père Sorel qui y avait sa scierie. Dans cette ville, on ne pense qu'à l’argent ; et le pouvoir et la considération vont « aux gens sages et modérés » qui y exercent une véritable tyrannie. M. de Rênal annonce à sa femme qu'Il veut prendre comme précepteur de ses trois garçons le fils Sorel, latiniste et futur prêtre. Mme de Rênal, femme naïve, timide et réservée, semble approuver son projet.

(1839) établit une hiérarchie entre les caractères, c’est-à-dire l’évocation psychologique des personnages, et l’intrigue, le déroulement des événements qui toucheraient le lecteur sans lui apporter de matière à réflexion. Faut-il souscrire à un tel jugement de valeur ? L’intrigue qui captive tant, notamment dans les romans d’aventures ou les romans historiques, a-t-elle si peu d’importance et de sens ? Il convient de voir dans quelle mesure le roman met en avant l’étude des person- nages, de leur caractère