Le Langage Est La Peinture De Nos Idées

contemporains a) langage qui a vieilli (langue précieuse du XVIIème s, Corneille, Racine) b) les idées, les connaissances (Le Cid, La Princesse de Clèves, Andromaque) c) leur esthétique ( la symbolique des cathédrales, les règles des trois unités au théâtre) 2. Les œuvres contemporaines sont plus en accord avec notre vision du monde et notre conception du beau a) elles sont l’expression d’une réalité qui change vite alors qu’autrefois les modes de vie et de pensée évoluaient peu. (peinture abstraite,

communique aisément, elle comprend le langage verbal, mais, elle a des difficultés à exprimer ses idées. Elle a toutes ses capacités au niveau de la motricité, elle a juste besoin d’être guidée par la parole et les gestes. Mme « B » est âgée de 75 ans. Cette dame est diagnostiquée Alzheimer. Cette personne marche très bien et a une grande précision gestuelle. Elle communique facilement avec les autres résidents. Son discours est cohérent, elle comprend le langage verbal. Par contre, elle est souvent

mouvement est en premier lieu poétique, mais touche aussi la peinture et la musique. Dans le domaine théâtral, on retiendra le nom du Belge Maurice Maeterlinck (_Pelléas__ et Mélisande_). En musique, les artistes majeurs sont l’Allemand Richard Wagner et son œuvre magistrale _l'Anneau des Niebelungen,_ mais aussi Claude Debussy (qui met en musique l'Après-midi d'un faune sur un texte de Mallarmé), Maurice Ravel et Gabriel Fauré. En peinture, on peut citer Gustave Moreau, Odilon Redon, Puvis de Chavannes

La littérature Clés stylistiques et formelles I. La poésie La poésie est un art du langage qui frappe par la manière dont c’est écrit. La forme permet de transmettre ou de suggérer une impression, tout autant si ce n’est plus que le fond. Exploitation de tous les outils du langage pour créer : − Rythme du vers, marqué par les accents de la phrase, les pauses et les coupures (chantant ou grave, lent ou rapide) − Rimes − Longueur du vers − Sonorités suggestives, assonances ou allitérations « Pour

l’image En tout temps et dans tous les pays du monde, les hommes utilisaient les images pour faire passer un message, que ce soit les hommes de Cro-Magnon ou encore les peintres. De nos jours, avec le développement des nouvelles technologies, les idées et messages sont transcrit autrement et notamment grâce à la photographie. Mais, l’engouement créé depuis des siècles permet-il de dire que « l’image à un réel pouvoir » ? En tout premier lieu, l’image a un fort pouvoir de persuasion. Elle m’est

1910Tout comme la peinture cubiste, la sculpture cubiste trouve son origine dans la réduction par Paul Cézanne des objets peints en plans constitutifs et en solides géométriques ; cubes, sphères, cylindres et cônes. Présenter des fragments et des facettes d’objets qui pourraient être interprétés visuellement de différentes manières a eu pour effet de « révéler la structure » de l’objet. La sculpture cubiste est essentiellement le rendu dynamique d’objets tridimensionnels dans le langage de la géométrie

résistante, qu’il s’agit d’apprendre à maîtriser » (Hegel). La notion de « matière » se définit comme ce qui va permettre de donner une existence sensible mais aussi une forme aux idées de l’artiste et, enfin, comme ce qui donne à l’art son côté technique que l’artiste doit apprendre à maîtriser. Le génie a le pouvoir de donner aux idées, même indicibles, une présentation esthétique. La beauté doit s’incarner dans une forme pour accomplir sa vocation de communication : elle doit être perceptible. Cependant

affirmait en être détaché. Le surréalisme correspond à l’expression directe de la pensée, sans contraintes, sans limites, sans normes ni obstacle. Prévert exprime ainsi ses sentiments vis-à-vis de l’art et engage le lecteur à une réflexion sur la peinture non-figurative, en réinventant la poésie et en menant un réel travail d’écriture sur une œuvre où l’on retrouve la fantaisie dès le premier regard. A la première lecture, le poème Promenade de Picasso apparaît sous une forme très excentrique

« La République » critique l’art. Pour lui l’art imite la nature, le sensible et ce sensible imite lui-même les « Idées Fondatrices ». Le sensible et le monde des Idées ( ou le monde intelligible) sont deux mondes admis par Platon qui s’opposent. Le premier, le monde sensible est le monde du domaine du devenir, du changement perpétuel. Le second, le monde intelligible, est le monde des Idées, des concepts. Platon donne comme exemple le lit représenté par le peintre et il montre qu’il nous éloigne de

partir pour la guerre comme il le souhaitait ; il est incapable de prononcer un mot à l’oral de sa licence de philosophie et de nouveau lors de l’oral de l’école normale supérieure. Cela est vécu comme un drame intérieur et une véritable trahison du langage, lui qui, tout petit déjà était fasciné par la langue et notamment les dictionnaires comme Le Littré. Il lui semble donc que plus il maîtrise la langue, plus il se heurte à la difficulté de s’exprimer. Fasciné par la révolution russe, il devient communiste