Le Langage Impersonnel

une connaissance intime et neuve de l'objet élu en changeant le rapport du lecteur au langage ( par « pétrissage » et « primordial irrespect du mot »). Il discrédite non seulement l'usage journalier du langage de communication, « l'universel commerce » que stigmatisait Mallarmé » mais encore la parole poétique reconnue et ses vieilles antiennes lyriques. Il entend ainsi utiliser le langage véhiculaire et impersonnel pour créer l'objet poétique, non pas « nettoyer les écuries d'Augias mais les peindre

un poète du XXème siècle qui appartient au mouvement littéraire du surréalisme. C’est un poète révolutionnaire engagé au côté de la résistance, ce qui fait de lui un poète des résistants. La liberté est son idéal, qu’il s’agisse d’une liberté de langage ou poétique. « Le temps déborde » a été écrit en 1947 après la mort brutale de sa deuxième femme, Nush, en 1946. Paul Eluard exprime la douleur de la perte et la façon dont elle affecte la conscience, et en particulier, la perception du corps et

inquiétant qu’il est indéfini, inconnu). Nos vagabonds semblent prisonnier, soumis à une contrainte plus forte que leur liberté notons d’ailleurs que le pronom « nous » s’efface chez Vladimir au profit d’un « on » plus impersonnel (l.61, 69, 70,72, 79) de même les tournures impersonnels prolifèrent (« c’est vrai » l.22, 42, 48, 85, 45, 63) comme si la volonté et l’humanité s’estompaient par ailleurs la formule récurrente « c’est vrai » souligne une forme de soumission d’acceptation. Il y a une forme

subordonnée relative et les pronoms relatifs. 4) La subordonnée complétive. 5) Les discours rapporté. (Direct/Indirect) 6) Les modes en français. • Les modes personnels (Indicatif, Subjonctif, Conditionnel et Impératif. • Les modes impersonnels :( Infinitif et Participe). 7) La transformation Passive. 8) L’accord du participe passé. TROISIÈME PARTIE: SYSTÈME VERBAL. 1) Soyons Pratiques : Les auxiliaires être et avoir. 2) Groupes verbaux et modèle de conjugaison

est un recueil de poèmes en prose qui paraît en 1942. Titre contradictoire car les choses, objets sans conscience, ne peuvent prendre parti. Dans ce recueil, le poète décrit des objets banals, quotidiens. Il refuse le lyrisme, et l'utilisation d'un langage artificiel. La poésie doit venir de l'objet décrit. I. La découverte de l’huitre A. Une description organisée en trois temps Trois paragraphes de plus en plus petits qui correspondent à l'huître en fonction de sa grosseur. Le texte est construit

que ce n'est pas si mal que ça ! " (l. 10) ou " Je n'ai pas vos préjugés " (l. 45). De même, le recours au pronom " je " exprime parfois ses aspirations " J'y vivrai, j'y vivrai " (l. 22), " J'aime les changements " (l. 49). Les tournures impersonnelles abondent en revanche (" Il faut dépasser la morale ", l. 15-16 ; " La nature a ses lois... ", l. 20 ; " Il faut reconstituer les fondements de notre vie. II faut retourner à l'intégrité primordiale ", etc., l. 24). Elles indiquent son aliénation

constructions classiques. Le langage: la parodie s'inscrit dans le langage même. Personnages sont des brutes, langage de chartier, pas de romantisme de crime, pas de crime positif, on est dans la laideur et dans la bêtise: Père Ubu est une ordure. Invention poétique : ajouter un R dans MERDRE, ça le stylise ce n'est plus juste un gros mot, et tout la pièce va tourner autour de ça, invention de la langue surtout pour les jurons. Dimension ludique: rappel le langage français du 16e qui n'est pas

classique Les différences entre scène et une scène de tragédie sont sensibles au niveau du cadre, de certains éléments de l’action, du langage et des vers qui le mettent en forme. Alors que la tragédie classique se situe dans l’antiquité grecque, romaine ou orientale, Ruy Blas s’inscrit dans une époque moderne, le XVIIe siècle. Le cadre impersonnel et non décrit dans une tragédie classique se trouve bien défini et bien précis dans la didascalie initiale. Cette même modernité s’étend sur

LYRIQUE • Qu’est-ce que le registre lyrique ? C’est le langage de la sensibilité, de l’affectivité caractérisé par une forte implication du Moi et donc par la subjectivité du locuteur. • L’expression du Moi Le Je omniprésent évoque les joies et les souffrances personnelles. Il définit le locuteur mais atteint souvent une valeur universelle. Le lyrisme requiert la fonction injonctive du langage : le locuteur peut s’adresser à lui-même ; interpeller l’être aimé ;

on représente quelque chose qui n’est pas réelle, simulacre de la réalité) Ostentation *montrer quelque chose avec bcp d’insistance* Refus des règles Préciosité Mvt de transition : raffinement de la vie et du langage Femmes (surtout) : veulent se distinguer des hommes pour leur langage et leurs manières Se réunissent dans un salon et discutent d’art, de politique, de philo Idée de divorce, union libre, contrat de mariage annuel Simplifie les orthographes → nouveauté linguistique Aiment l’artificiel