Le Langage Impersonnel

humaniste pour postuler, s’inspirant des conceptions philosophiques de l’existentialisme, que notre présence sur terre n’a pas de sens. Dans le domaine du théâtre, ce mouvement portera l’absurde plus loin, en lui faisant saper les fondements mêmes du langage et en remettant en cause les conventions théâtrales héritées du classicisme (dont ils conservent cependant souvent l’unité de lieu et de temps), à savoir la dimension moralisante du théâtre et la recherche d’une illusion de réel qui entretient une

la fois éternelle et sensible. Le drame du bouffon est donc de ne pas émouvoir cette statue. I/ Une double définition du BEAU : => La Nature VIVANTE, ENCHANTERESSE => La STATUE A/ Les caractéristiques de la nature - Utilisation d’un langage de l’amour. - Description qui personnifie la nature (se pâme-extase des choses-endormies,excitées...désir... rivaliser) En même temps donc une définition en action du beau et de l’amour => Avec des mouvements contradictoires : force

l'exotisme et du pittoresque vers une poésie de plus en plus descriptive où l'art réside dans la perfection formelle. Le titre même du recueil Emaux et Camées (1852) suggère la délicatesse, la perfection du détail. Ce désir de travailler la forme du langage afin d'obtenir un objet esthétiquement parfait est à l'origine du mouvement poétique de «Art pour l'Art». LE PARNASSE Théophile Gautier, à qui Baudelaire a dédié ses Fleurs du Mal, est resté dans l'histoire littéraire comme un fougueux romantique

La mise en question du réalisme : précurseur du surréalismeb. La mise en scène des failles du langage c. Le videProblématique très contemporaine chez Flaubert1/Présentation d’un des personnages principaux : Charles a. Personnage grotesque · Dimension Carnavalesque : notation de couleur, plus costumé que vêtu. Grotesque dans sa manière de parler, prise

personnages », le dogmatisme théologique, qui affirme « un absolu, païen ou catholique », et le dogmatisme rhétorique, qui juge au nom des règles, des conventions, des convenances, de la tradition, et aussi le « réalisme », s’il doit n’être qu’une copie impersonnelle de la réalité. Zola, au nom de la modernité, rejette le romantisme qu'il cite de : "démodé comme un jargon que nous n'entendons plus" (cf. Mes Haines). Zola poursuit le but d'une littérature scientifique qui " obéisse à l'évolution générale du

LE LANGAGE I/ Si on parle cʼest parce quʼon pense - Langage : faculté humaine produit de la nature, innée & propre à lʼhomme. Au sens stricte = faculté dʼinventer un système de signes en vue de communiquer. Au sens large = tout système ou ensemble de signes permettant lʼexpression ou la communication ( ex: le langage informatique) - La langue : usage conventionnel du langage, produit de la culture, code propre à une communauté qui figure dans le dictionnaire & comportant des règles de grammaire

scientifique, familière, soutenue ou courante, afin de communiquer, elle est définie par le langage. Ce dernier est un ensemble de signes vocaux, gestuels, graphiques tactiles qui sont identifiés et permettent ainsi une communication entre une ou plusieurs entités. Chez l’homme, c’est la capacité à exprimer une pensée et à la communiquer grâce à un système de signes, à la parole ou encore à l’écriture. Le langage existe donc par la pensée. Au sens large, la pensée est l’activité psychique consciente

étudierons le projet autobiographique, puis dans un deuxième temps nous analyserons l'écriture poétique. I. Le projet autobiographique 1. Les origines -indice temporel vague « un jour » → soudaineté -« il te vient le désir » → présent, tournure impersonnelle = venu inconsciemment, « désir » = nécessité, besoin 2. Le contenu a. Portrait des mères -les mères sont les inspiratrices, jeu sur les antithèses → 2 mères différentes leurs destins ne se sont jamais croisés -parallélisme → mère naturelle

quoi avec ses yeux de marbre.      Charles Baudelaire | Annonce des axes Commentaire littéraire I. Une double définition du beau => La Nature vivante, enchanteresse => La statue1- Les caractéristiques de la nature- Utilisation d'un langage de l'amour.- Description qui personnifie la nature (se pâme - extase universelle des choses - endormies, excitées, désir, rivaliser)En même temps, une définition en action du beau et de l'amour.=> Avec des mouvements contradictoires : - force,

dure pas. Cela prouve encore que ce n’est pas un incident singulier. Ensuite nous allons analyser l’évocation des voyageurs et de leur réaction. Raymond Queneau ne donne aucun nom propre à ses personnages, ils sont indiqués de façon impersonnelle, par des surnoms « un plaisantin » (v.8), des pronoms indéfini « personne » (v.4), ou simplement par des prépositions indéfinie « quelqu’un » (v.23). Le fait que les voyageurs attendent que le métro reparte est signalé par des phrases comme