Le Libertinage Conclusion

extrait, suite à la présentation du personnage éponyme par son valet, on assiste à sa première apparition sur scène. Un décalage se créé : contrairement au personnage indigne auquel on s’attendait, un noble éloquent apparaît, faisant un éloge du libertinage et de sa condition dans une tirade. PB : Comment l’idéal du libertin passe par la forme provocante de l’éloge paradoxale ? I. La doctrine de Dom Juan en amour. A. Critique de la fidélité au nom de la liberté. Métaphore : « être

Le libertinage : " J’ai bien besoin d’avoir cette femme [la Présidente de Tourvel], pour me sauver du ridicule d’en être amoureux. ", lettre 4, du Vicomte de Valmont à la Marquise de Merteuil. Le libertinage est un courant de pensée qui naît en France au XVII ème siècle, s'épanouit durant tout le XVIIIe siècle, et se signale par une revendication de liberté prise par rapport aux mœurs et à la religion. La première moitié du XVII ème voit se développer le libertinage dit

du langage à effets.  IV/Le libertinage A/Le libertinage de pensée est un courant de pensée qui est apparu au XVIIème siècle qui a pris son essor en Italie.  Il est caractérisé par la prépondérance du matérialisme selon lequel tout dans l’univers répond de la matière et non d’un quelconque créateur.  Les libertins sont pour la plupart athées et considèrent que la raison est primordiale par rapport à la religion. B/Le libertinage de mœurs naît peu après le libertinage de pensée et ne se donne aucune

roman d’amour aujourd’hui, décédé à seulement vingt ans, ce qui fait de lui une icône de la littérature du XXe siècle. Bibliographie : Le Diable au corps (1923), Le Bal du Comte Orgel (1921), Mouvement littéraire associé : Romantisme/ Libertinage Œuvre : Progrès d’une passion amoureuse durant la guerre entre un jeune homme, et une femme, Marthe, déjà mariée, dont il deviendra l’amant. Texte : La première rencontre des deux amoureux. Point de vue : Interne, l’auteur est narrateur

l'amour peut renverser la vertu. Destiné à devenir un homme d'Eglise (rappelons l'éducation jésuite inculqué à Prévost au cours de son enfance), à ne pas trahir son devoir, la passion l'a mener à la déroute de ses sentiments et l'a ainsi conduit au libertinage. Les moments de doute de la part de Des Grieux nous rende compte de la situation « Je m'assis, en rêvant à cette bizarre disposition de mon sort. Je me trouvai dans un partage de sentiments, et par conséquent dans une incertitude si difficile à

conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec la statue du Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans le 15 février 1arelle, contre son créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée

"ne croit ni Ciel ni Enfer" --> libertinage * Tirade paradoxale introduisant l'oeuvre --> Tonalité ironique de la pièce. B\ Un cadre universel * Cadre atemporel : indéfinition du tps * Pas de notion de l'espace * Un seul personnage réellement mis en scène : le couple SG/DJ En conclusion il apparaît que cette oeuvre, en plus de proposer une nouvelle critique de sa société met en scène une disposition de pensée contemporaine à l'auteur : le libertinage attribué à un personnage complexe

de LACLOS Les Liaisons dangereuses Lecture analytique : Lettre 125 De « la voilà donc vaincue » à « exclusivement à tout autre » I. PRESENTATION • Le libertinage apparaît au siècle des Lumières comme un mode de vie d’émancipation par rapport au poids de la religion et des conventions sociales. Mais Laclos montre que ce libertinage n’est pas un jeu innocent mais un univers de perversion, de trahison et de souffrance. • Les Liaisons dangereuses est un livre paradoxale. C’est en effet un

Acte I, scène 1 Auteur : Molière (1622, 1673) Le plan du commentaire : I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal 2) Une scène pour exposer la situation 3) Le portrait de Dom Juan II. L’inscription de la pièce dans une idéologie 1) Libertinage et matérialisme 2) L’imitation inavouée du valet 3) La critique implicite de la religion Le commentaire rédigé : Introduction Ce texte est la scène d’exposition de Dom Juan de Molière. Molière, auteur de nombreuses pièces de théâtre au XVII°

une morale très personnelle. C’est un affront de deux opinions de l’au-delà totalement opposés. Le premier paragraphe est une remise catholique et la défense d’une morale laïque. Dans le second paragraphe l’auteur met en avant l’exhortation au libertinage. 1er axe : la critique religieuse le crime / la religion éloge de la raison et du cœur le paradoxe -> la religion pousse 2ème axe : la morale laïque au libertin définition du libertin (esprit/le corps) être heureux sur Terre -> principe