Le Libertinage Conclusion

toujours cet aristocrate hautain, qui est plein de dédain (Il "ne daignait rien voir"). La tête penchée ("courbé") signale le penseur, l’intellectuel qui considère son passé , ("le sillage", ou la trace laissée derrière soi) . 2- Une persistance du libertinage du personnage, qui dément le dénouement traditionnel du châtiment de Don Juan. Loin de se repentir dans l’au-delà, Don Juan revoit son passé de manière très sarcastique . Les personnages qu’il a rencontrés subissent une déformation par rapport à

» : vocabulaire de la guerre qui montre bien qu’elle perçoit la société comme un ennemi. Conclusion Approfondissement du portrait de Mme de Mertueil : elle apparaît égocentrique et son coté libertin est réellement mis en valeur (libertin au sens de "liberté" ici : sa valeur suprême). On voit également le coté roué avec le jeu sur les apparences. Comme c’est une femme, elle ne peut assumer son libertinage : elle doit donc passer pour vertueuse. Contrairement à Valmont qui fait cela pour le plaisir

par conséquent une sorte de nouveau départ. Il quitte ses parents pour rejoindre un nouveau cadre familial où il gagnera en maturité et en responsabilité, laissant derrière lui le libertinage: «Dans ce renouveau du coeur, j’oubliais ou je méprisais mes récentes découvertes. Je prenais(…)pour la fin du libertinage.»(l.54-57). Cette nouvelle situation opère un changement sur le narrateur. Nous retrouvons cette symbolique dans la «vigne vierge»(l.35) du jardin, qui représenterait en effet le renouveau

goûte une douceur extrême..." puis sous une forme adverbiale "mener doucement", enfin "il n'est rien de si doux". III- Le portrait du libertin 1. Le goût de la beauté - DJ illustre la figure de libertin du XVIIème siècle. Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière et que l'homme doit user de son raisonnement pour comprendre

Ex :Gongora réifie la femme alors que les objets sont personnifiés. -L’aiguille « boit » et a meme une ame perverse « insidieux » :montre un monde trompeur, à travers le topos baroque du monde inversé, ou il faut donc se méfier de tout=baroque. Conclusion :Par la glorification de Cloris placée au –dessus des dieux et par la mise en valeur de la grandeur de son amour, le poète nous offre à lire un exemple de galanterie parfaite.Mais nous ne pouvons qualifier ce sonnet de simple poème car il est un

cousins. De plus, dans sa tirade, Lorenzo essaie de flatter le Duc, « connaisseur » (ligne 17) qui peut se référer au Duc comme à Lorenzo. C'est un personnage qui apparaît comme immoral, cynique. Dans cet extrait, Lorenzo donne une leçon de vice, de libertinage au Duc : cf. l'emploi d'une succession de verbes à l'infinitif (lignes 17, 18, 20, 21) : « voir », « étudier », « ensemencer »,… Cela donne au texte une allure de mode d'emploi et de plus, son discours s'oppose totalement à la morale. Il y a un

- satire de la crédulité du public : en effet le prestige de l’autorité des médecins tient à l’habit. - satire sur les médecins et inefficacité médicaments - cet épisode a une valeur de fable : fonde fallacieusement des croyances et libertinage (thématique de la pièce) remise en cause de l’existence de Dieu. - Sganarelle reçoit le lien entre l’impiété de Dom Juan à l’égard de la médecine et du ciel : passage constant d’un sujet à un autre 3. Cette scène a scandalisé les dévots du temps

libertin auquel se livre deux membres de la noblesse, la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont. Dans cette lettre 81 située au milieu du roman, la Marquise de Merteuil répond à la lettre 79 du Vicomte de Valmont : toujours en rapport au libertinage et à la question des rapports entres les sexes, elle y explique pourquoi et comment elle a dû se forger ses propres armes dans un contexte où la domination masculine n’est jamais remise en question. Ainsi on peut se demander en quoi cette lettre

société. 3) Ironie qui introduit la critique Ironie « si aimable, si galante et si renommée » : répétition 3 adverbes intensifs « si » = exagération. Les adjectifs employés évoquent les centres d’intérêt de la cour : affaires de cœurs, libertinage, réputation. « devoir sacré » : exagéré, ironique « mais » première phrase, montre opposition radicale entre les deux femmes. Met en garde contre attitude de la bonne amie. « cette femme » : péjoratif « non moins indulgente que les Jésuites » :

importe le plus à ses yeux, ce sont ses gages non payés : « Mes gages ! Mes gages ! ». Conclusion : Dom Juan et Sganarelle sont deux personnages différents, mais complémentaires. Le couple formé oppose de 2 types sociaux, 2 types d'hommes, de caractères. On a une fonction comique importante, qui permet de faire débattre ses personnages sur des sujets sensibles à l'époque comme la morale, le libertinage et la religion. Dernier exposé a faire http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Dom-Juan-Classique-Ou-Baroque/191140