Le Libertinage Conclusion

Dubois. Faire en sorte que Dorante mérite son amour, par sa loyauté.) – le pardon d'Araminte (18-fin) (Enjeu : réconcilier amour et stratagème, en faisant du stratagème une étape de la conquête amoureuse et donc une garantie de l'amour.) Elements de conclusion : Cette scène est ainsi le triomphe des manigances de Dubois, l'aboutissement de tous les stratagèmes mis en place depuis le début de la pièce pour nourrir l'amour d'Araminte à l'égard de Dorante, afin qu'elle ne rejette pas l'amour de Dorante,

Clèves ? * Comment s’exprime le classicisme dans cet extrait * En quoi ce dilemme nous apporte t-il un éclairage sur l’esthétique classique ? Cet extrait de la princesse de Clèves sera étudié dans l’objet d’étude sur la fidélité et le libertinage au 17e et 18e siècle. C’est sous la plume de Madame de La Fayette que nait en 1678 La Princesse de Clèves, un roman classique qui peint la haute société du 17e siècle et les passions de l’héroïne éponyme. L’extrait met en scène Madame de Clèves

Molière, Dom Juan (toutes éditions, sauf Librio). Problématique : en quoi Dom Juan est-elle une pièce inclassable et qui trouve encore à s'actualiser de nos jours ? Lectures analytiques : Acte I, scène 1, en entier. Acte I, scène 2, la tirade du libertinage. Acte II, scène 4, depuis « Que faut-il que je vous dise ? » à la fin de la scène. Acte V, scènes 5 et 6, en entier. Lectures complémentaires : Libertin, libertins : Tristan L'Hermite, Profession de foi épicurienne. Maîtres et valets au théâtre :

emblématique : Alexandre le grand. - « conquête amoureuse » rapprochement de deus termes qui affirme de manière explicite la conception de l’amour. III) Le portrait de Don Juan a) Libertin - DJ illustre la figure de libertin du XVIIème siècle. Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière et que l'homme doit user de son raisonnement pour comprendre

lui valent des duels dont il ne se défile pas. Il affiche un certain cynisme dans ses relations avec ses proches notamment avec son père et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Dom Juan prône les plaisirs du libertinage, de l'inconstance amoureuse.Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Sganarelle : c'est le valet de Don

la situation misérable du pauvre et dérision de Dom Juan sur sa foi : de « Si vous vouliez Monsieur me secourir de quelque aumône » à « un morceau de pain à mettre sous la dent. » -La tentation : de « voilà qui est étrange » à « jure donc». -La conclusion : les deux dernières répliques. -La scène est construite comme un petit apologue, une fable, dans laquelle l’élément déclencheur est la rencontre, puis le dialogue s’installe entre les deux personnages avec l’enjeu du blasphème, enfin la morale

n’ayant ni croyance ni religion. Il est dans l’attitude de la provocation se qui attire Sganarelle. Celui-ci craint son maître. Cependant, en le décrivant, il se décrit lui-même. Il est en train d’annoncer l’aspect tragique de la pièce. B. Le libertinage L’église est contre cette façon d’être. C’est les dévots proches de l’église et du roi Louis XIV qui condamne les libertins, ils étaient souvent associer au diable et qui transgressaient la religion et la morale. Sganarelle craint pour sa place

Courant libertin Au XVIIe sicle, se dveloppe un courant rationaliste qui cherche ses rfrences dans la raison, la ralit. Il est philosophique mais laisse un peu de ct la morale en particulier celle de lglise. Don Juan est la reprsentation de ce libertinage qui est en fait un rejet de la religion et il nous montre que tout le plaisir de lamour est dans le changement. Ce personnage veut sopposer Dieu travers le mariage qui est un lien sacr. En ne respectant pas la fidlit envers les femmes, il trahit

tout d'abord. "On goûte une douceur extrême..." puis sous une forme adverbiale "mener doucement", enfin "il n'est rien de si doux". III- Le portrait du libertin 1. Le goût de la beauté - DJ illustre la figure de libertin du XVIIème siècle. Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière et que l'homme doit user de son raisonnement pour comprendre

appris que Mme de Volanges, qui connaît son libertinage (mais pas celui de Mme de Merteuil), I'a dénoncé auprès de Mme de Tourvel (lettre 9), il accepte d’obéir à la marquise afin de se venger lui aussi de Mme de Volanges : il poursuivra de front les deux projets. Mais Mme de Merteuil est agacée par l’intérêt qu’il porte à Mme de Tourvel («Déjà vous voilà timide et esclave ; autant vaudrait être amoureux»), et lui rappelle les principes fondamentaux du libertinage, lui en proposant une illustration en