Le Loup Garou

personnages associent a Halloween sont les fantomes ,les goules,les sorcieres,les vampires,les chauve-souris,les hiboux,les corbeaux,les vautours,les maisons hantées,les chats noirs,les araignes,les gobelins,les zombies,les momies,les squelettes,les loup-garous et les demons.En Amerique du Nord,le symbolisme est inspire par les classiques du cinema d’horreur(Dracula,Frankenstein….).Le l’orange et le noir sont les couleurs traditionnellemeny associes a Halloween.Les maisnons sont decores avec ses symboles

en animal et alter-égo. Ds l'ancien testament, A chaque fois qu'un prophète s'adresse à Dieu, c'est ds le sommeil. C'est ce qu'on appelle le corps astral ds l'hindouisme. Le mot "cauchemard" le représente. Ds la culture pop, on a au moyen age le loup-garou. Fija/Fiji: entités indépendantes qui ns habitent pendant notre vie. Mythe de l'ange gardien. L'impression du "déjà-vu" ENTREE DS L'HISTORIQUE OU L'IDOLATRE: urbanisation et besoins nouveaux. Une partie de la pop travail & une autre non. Il

tirade, passage long qui sert surtout à mettre en valeur un personnage. 2) Le ton de la provocation : Sganarelle est un mauvais défenseur de la religion. · - Il fait l’amalgame entre superstition et la religion. Vocabulaire outrancier : "Le loup garou" - "hérétique" - "Turc" -Éloge du tabac. -Il présente de façon accentuer Dom Juan comme un personnage diabolique et annonce déjà la fin, le dénouement. · Le châtiment de Dom Juan est évoqué, ce qui est rassurant mais on va avoir le spectacle

constitue l’intrigue principale de la pièce. Enfin, la tonalité comique apparaît à travers des expressions utilisées par Sganarelle, énumération hyperbolique « un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique » (l.63-64), des absurdités « ni loup-garou »(l.64), « épousé toi, son chien et son chat »(l.70)c) Le thème du libertinage et de l’envie de séduire de Don Juan est abordé avec insistance dès cette première scène : « pour attraper les belles »(l.72). II- Le portrait du libertin. a) Le libertinage

toujours sombre quand elle rentrait de l'école. Comme toujours, elle avait vérifié s'il y avait quelqu'un derrière elle, une vieille habitude de sa petite enfance, quand son père la poursuivait dans le noir en lui faisant croire qu'il était un loup-garou. A chaque fois il la rattrapait et la faisait sauter en l'air, et elle riait aux éclats. Mais depuis, chaque fois qu'elle passait devant un coin sombre, elle regardait derrière elle. Simplement pour vérifier. Elle était passée devant la ruelle et

s'est fait voler une bombe le soir du crime dans son restaurant. Il va même leur raconter l'histoire du pari. L'alibi de Quimby s'effondre et les policiers procèdent à son arrêstation. 5/ Derniers conseils * Les acteurs doivent jouer. Comme au loup-garou, les enquêteurs prendront plaisir à user de leur intuition pour savoir qui ment * Jouez en petit comité, idéalement, moins de 15 enquêteurs * Chaque acteur doit bien connaître son rôle. Il aura un aide mémoire avec son emploi du temps, son

Juan et sa piété est une forme de lâcheté, il s’accommoderait sans problème avec des compromissions pas trop voyantes pour son plaisir mais ne peut se décider à une forme de rébellion ostentatoire de crainte du « Ciel », de l’ « Enfer » ou du « loup-garou ». II. Une double épreuve 1) Une épreuve pour Dom Juan ? Rencontre faussement fortuite où un fort symbolisme nous laisse entendre qu’après s’être perdu, Dom Juan demande au Pauvre de lui indiquer le chemin, celui qui mène à sa destination

mais… Henri: vois-tu, le malheur avec toi, c’est que tu as la tête enflée, en plus du genou. Bousille: ca se pourrait bien. Henri: tu es le seul témoin, tu n’as aucune preuve de ce que tu avances, tu pourrais inventer la plus belle histoire de loup garou, que tout le monde serait force de te croire sur parole. Dans cette passage Henri fini le pot de vin que les deux hommes offre a Bousille, ils deviennent plus brute avec ce qu’ils veulent de lui en retour pour un nouveau emploi ou pour lui faire

les conquêtes féminines du séducteurs ainsi que ses multiples contrats de mariage sont vus tels des crimes au yeux de la sainte institution que celui-ci piétine. Le portrait continue toujours sur la religion « qui ne croit ni Ciel, ni enfer, ni loup garou » Dom Juan est un vrai libertin de pensée en plus d’être un libertin de mœurs puisqu’il croit parvenir au bonheur à travers le plaisir que procurent les sensations « pourceau d’Épicure », dom Juan se comporte comme tel! Dom Juan est ce qu’on appelle

Sganarelle de présenter Dom Juan, il met, en premier lieu, en avant son impiété par une nouvelle énumération « le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure ». C’est seulement après cette présentation qu’il peut évoquer ses actes, sa facilité à épouser car cela n’a aucune signification pour lui, comme Sganarelle le souligne en disant