Le Lâche Maupassant

sera pas venu pour rien. Le vieux décède pendant le repas, l’inhumation est reportée. Il faut préparer un nouveau repas. 8 Un lâche Un homme du monde, séducteur, toutes les qualités, s’offense parce qu’un rustre regarde de trop prêt une de ses amies. Il est volontaire pour aller jusqu’au duel, montrer aux autres son courage ; Mais il devient tremblant, peureux, lâche. Il se suicide. Peur de mourir, et plus encore, peur d’avoir peur : le trac tue. Le succès, l’efficacité de ce conte est là, dans

Louise Colet, sa maîtresse, une femme de lettre. Madame Bovary est son premier roman publié et lui vaut un procès pour immoralité. Dans ses dernières années, il se ruine pour sauver sa nièce de la faillite. Il assiste au succès de son filleul, Guy de Maupassant, et est reconnu par de jeunes écrivains « naturalistes » comme Emile Zola. Il meurt en 1880. Il a également écrit l’Education sentimentale ou encore Salammbô. Les thèmes : Le bovarysme est une maladie de la sensibilité, une insatisfaction, alimentée

Guy de Maupassant ; « Bel-Ami », édition Gallimard. « Bel-Ami est le roman d’un ambitieux qui réussit par tous les moyens. La réussite est son obsession, son guide, une sorte d’absolu tout au long d’un parcours placé sous le signe de la force tranquille et sûre d’elle-même. » Gérard Delaisement et Catherine Botterel Guy de Maupassant, l’auteur de Bel-Ami, est né en 1846 en Normandie. C’est un écrivain atypique et célèbre de la littérature française. Maupassant est devenu écrivain en ayant

D'Artagnan sauve le peuple. Tout ces héros sont des héros positifs car ils ont tout pour l'etre . Le personnage médiocre quand à lui nous aident a accepter nos faiblesses contrairement au héros positif qu'on est censé admirer. Lui est souvent faible , lache voir ignoble. Toutefois ce personnage evolue au fil de l'oeuvre et cela peut etre exemplaire car on voit qu'un personnage plus mauvais que nous ,ou tout aussi moyen que nous, peut devenir le héros d'une aventure . Parmi les personnages médiocres on

dans des situations que les autres ont déjà vécues. On peut passer d'une attitude à l'autre comme on marche en avançant un pied après l'autre, mais si on a un lecteur en tête, se demande ce qu'il attend maintenant de vous et ne veut pas qu'il vous lâche, il faut régler son pas sur ce qu'on imagine être le sien. La réalité est foisonnante, inorganisée et donc incompréhensible. Les personnes que nous y croisons nous sont souvent opaques et deviennent "dangereuses" par leur imprévisibilité. Ne pouvant

travers ses pensées et sa passivité. Ce personnage identifié toujours par son prénom, comme si son patronyme, Le Perthuis de Vaud ou son nom marital La comtesse de Lamare convenaient peu à "l' humble vérité" qu'elle incarne. Si le titre retenu par Maupassant préfère l'indéfini au défini, il n'en demeure pas moins que derrière la volonté de particularisation se cache (à peine) la volonté de faire de cette histoire particulière l'histoire de toutes les femmes qui ressemblent à Jeanne Avant que d'observer

misérable situation. Le tout enrobé d’une sale atmosphère lugubre en partie créée par l’histoire de la place : il s’y dressait autrefois le gibet : la potence : soit les exécutions par pendaison. 2. Dans l’incipit de Bel-Ami, Guy de Maupassant fait appel à l’odorat : « haleines empestées » « miasmes infâmes » et beaucoup à la vue pour tout ce qui est des descriptions des gens, des terrasses…Il veut au moyen de ces deux perceptions rendre le roman réel, faire en sorte que le lecteur plonge

progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard. La naissance d'une fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de Rodolphe. Elle veut s'enfuir avec son amant qui, lâche, l'abandonne. Emma croit en mourir, traverse d'abord une crise de mysticisme, puis plus tard, au théâtre de Rouen, revoit Léon, revenu de Paris. Elle devient très vite sa maîtresse, lors d'une promenade dans un fiacre. Installée dans sa liaison,

d'ailleurs ce formatage que le personnage principal soit un héros, il existe de nombreux antihéros. Le courant réaliste qui a été mené au 19eme siècle par Zola et Maupassant en est un exemple, tous les personnages étaient dotés de réels défauts et n'étaient pas maitre de leur propre destin ( exemple : Jeanne dans une vie de Maupassant ), toutes les classes sociales étaient décrites ( les prostituées dans Nana de Zola ). Les personnages n'étant pas dans l'obligation de devenir attachant, le sentiment

object mais surtout aimée par son amant. L’adultère est quand meme vu d’une facon très négative dans cette oevre puisque les deux amants sont chassés de la court à cause de leur rélation, qui les ménera enfin à la mort. PIERRE ET JEAN Guy de Maupassant Très frappant est le passage aux pages 116-117, dans lequel on comprends bien la vision que l’un des deux protagonistes, Pierre, a de la femme lors qu’il vient de trouver des preuves à ses supcons que sa mère ait commis un adultère : « Il