Le Maître du jeu

Quelles sont les différentes fonctions de ce déguisement dans les comédies ? Pour répondre à cette question, nous étudierons d’abord le jeu théâtral du travestissement. Puis nous aborderons les obstacles que constitue le déguisement. Enfin, pour finir nous réfléchirons sur le travestissement au service de la vérité. Le déguisement au théâtre est avant tout un jeu. Nous verrons dans cette première partie pourquoi. Pour répondre, il faut nous plonger dans le temps, remonter l’horloge et nous retrouver

est aux prises avec deux paysannes auxquelles il a promis de les épouser. On peut voir dans cet extrait comment Molière arrive t'il à rendre compte de la supériorité de son héros par sa classe sociale ? I°) La duplicité des paysannes A/ Le double jeu de Dom Juan → Don Juan glisse de nombreux apartés aux deux femmes → Il manipule les deux en créant la confusion chez elles → Les deux femmes étant présentes, la difficulté est maximale B/ Le langage → Il se répète lorsqu'il parle aux deux femmes

camarades (peuvent donc agir par imitation). Ils peuvent aider, parer en cas de nécessité. Ils sont responsabilisés. Ils peuvent tenir compte du résultat de leur action pour soit la stabiliser, soit la modifier. Le maître doit avoir l'œil sur tous les ateliers. En général le maître se place sur l'atelier qui présente le plus de danger ou sur lequel il présente un nouveau problème. Parcours Ils favorisent l’aspect quantitatif du travail Organisation Entre 4 et 8 postes de travail différents

Le Jeu de l’amour et du hasardMARIVAUX Le Jeu de l’amour et du hasard Présentation, notes, dossier et cahier photos par LAURENCE RAULINE, professeur de lettres Flammarion Meta-systems - 28-06-12 17:44:14 FL1487 U000 - Oasys 19.00x - Page 3 - BAT Le Jeu de amour et du hasard - Etonnants lycee - Dynamic layout 125x × 180xDu même auteur dans la collection « Étonnants Classiques » La Double Inconstance L’Île des esclaves © Éditions Flammarion, 2012. ISBN : 978-2-0812-4972-1 ISSN : 1269-8822 Meta-systems

(esclave) et le haut (maître). De plus on superpose le couple homme/femme. Le principe de Marivaux c’est le brouillage hiérarchique. Arlequin courtise Euphrosine. La spécificité de la pièce est que l’amour est esquissé: c’est l’amour humain, de l’humanité qui rythme la pièce. Il n’y a pas d’intrigue amoureuse. Scène1: arrivée sur l’île. Iphicrate révèle à Arlequin que les maîtres vont être puni. Arlequin est heureux d’être affranchi et déborde de son nouveau rôle de maître. Scène 2: arrivée

I. La duplicité de Don Juan A. Le double jeu de Don Juan • Il passe d’une femme à l’autre. • Les deux femmes sont présentes : nécessité d’un choix, risque d’être démasqué, possibilité de lutte. • La mise en scène : alternance Mathurine / Charlotte dans les didascalies. • Il promet la même chose aux deux femmes « une envie d’être ma femme » ; « voudrait bien que je l’épousasse ». B. Le double langage • Utilisation de synonymes pour dire la même chose : « folle » - « extravagante

DON JUAN, Acte II, Scène 4 Annonce des axes Commentaire des scènes I. La duplicité de Don Juan A. Le double jeu de Don Juan  Il passe d’une femme à l’autre.  Les deux femmes sont présentes : nécessité d’un choix, risque d’être démasqué, possibilité de lutte.  La mise en scène : alternance Mathurine / Charlotte dans les didascalies.  Il promet la même chose aux deux femmes « une envie d’être ma femme » ; « voudrait bien que je l’épousasse ». B. Le double langage

roman polyphonique A) Un roman polyphonique Deux dialogues : 1°) le narrateur et le narrataire : les 1ère premières lignes, jeu sur les attentes du lecteur. Présence explicite l49. Le récit ne débute qu’à la ligne 5 « la maître ne disait rien… », Présence implicite du narrateur l1 à 5 / présence explicite l49 « je suis en beau chemin ». 2°) Jacques et le maître : dialogue théâtralisé : présence de répliques et du nom des personnages avant chaque réplique/ un récit apparaît dans ce dialogue

Adam de la halle – jeu de robin et Marion Adam de la Halle (dit Adam d'Arras ou le Bossu d'Arras) est un trouvère de langue picarde né au XIIIe siècle (vers 1240) à Arras, mort vers 1287 dans le sud de l'Italie à Naples à la cour du comte d'Artois ou après son retour à Arras, en 1306. Rares sont les documents donnant des indications sur la vie de ce trouvère. Ce qui est connu est tiré des manuscrits de ses œuvres. Il est nommé Adam de la Halle et aussi Adam le bossu ou encore le "Bossu d'Arras"

valeur et le pouvoir procure a Scapin le statut de maitre lui procurent par la même occasion le pour pouvoir de se venger de son maitre a présent valet totalement a sa merci car il ne peut rien faire a part subir des coups de bâton bêtement dans son sac. De même dans « Ruy Blas », Les Bonnes, et même L’ile des Esclaves quoi que sensiblement différent dans la fonction de l’habit d’emprunt ont y retrouve néanmoins le changement de valeur ou les maitres sont les valets et vis-versa. Ceci dit on constate