Le Maître du jeu

dire : Messieurs, figurez-vous que ce n'est point moi, au moins ; ne me regardez pas ; remettez à me voir ; ne me jugez pas aujourd'hui ; attendez que j'aie dormi. J'entendais tout cela, moi ; car nous autres esclaves, nous sommes doués contre nos maîtres d'une pénétration... Oh ! ce sont de pauvres gens pour nous. Trivelin, à Euphrosine : Courage, Madame, profitez de cette peinture-là, car elle me paraît fidèle. Euphrosine : Je ne sais où j'en suis. | 10 | Cléanthis : Vous en êtes aux

1) Le double jeu de Dom Juan et Sganarelle. *Le double jeu de Dom Juan : Il passe d’une femme à l’autre. Il ment aux deux femmes. *Les deux femmes sont présentes : nécessité d’un choix, risque d’être démasqué, possibilité de lutte. *La mise en scène : alternance Mathurine / Charlotte dans les didascalies. *Il promet la même chose aux deux femmes « une envie d’être ma femme » ; « voudrait bien que je l’épousasse ». *Double jeu de Sganarelle : lâcheté devant son maître malgré sa bonté

croyait employé dans quelque bureau, à cent lieues de Séville. Mais ce dernier, après une brève carrière littéraire mouvementée, s’est établi comme barbier dans cette ville. Sa profession lui donne ses entrées chez Bartholo, et le voici prêt à aider son maître à tromper le vieillard et à enlever Rosine, contre espèces sonnantes et trébuchantes. Son ingéniosité se joue de toutes les «jalousies » et de toutes les « précautions » du tuteur. Tour à tour déguisé en soldat et en précepteur de musique, le Comte

La relation maître/valet Un peu d'histoire : Entre le XVIIe et le XVIIIe le serviteur, d'origine populaire, est presque toujours un migrant sans qualification, venu de la campagne proche pour tenter sa chance à la ville. Une fois placé, il est immergé dans l'univers des privilégiés de la naissance et de l'argent. Il manifeste alors un véritable désir d'identification. Il adopte les manières de son maître, copie ses vices et ses tics. Il suit l'évolution de la mode et s'adonne à de nouvelles

de l’illusion théâtrale ? Tout d’abord Matamore nous est présenté comme un être superficiel, personnage du paraître qui n’existe que parce qu’il raconte. De plus cette illusion est renforcée par le comportement de Clindor qui en réalité domine son Maître. I – MATAMORE, UN PERSONNAGE DU PARAÎTRE 1 Matamore fait son propre éloge énonciation : pronoms et adjectif à la 1er personne = tournure anaphorique : égocentrisme mis en avant. Champ lexical du pouvoir et de la destruction

le groupement intermédiaire à 5 pour construire mentalement les nombres de 6 à 10 * Phase de résurgence des savoirs antérieurs : L’enseignant revient sur les nombres connus, notamment à l’aide d’une comptine. * Situation-problème : Le maître montre des affiches aux élèves, sur lesquelles différents nombres entre 5 et 10 sont représentés par des points ou des dessins. Les élèves doivent à chaque fois écrire le nombre représenté sur leur ardoise. Après plusieurs essais, alternant des collections

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L’île des esclaves est une utopie qui transporte le spectateur sur une île antique où l’ordre social est renversé : les maîtres deviennent esclaves et les esclaves deviennent maîtres. Ce renversement de rang vise à amuser le spectateur mais aussi à me faire réfléchir : Les maîtres méritent-ils vraiment d’être des maîtres ? Quelle est la raison d’être des inégalités sociales ? Maîtres et esclaves peuvent-il s’aimer ? Il s’agit d’une comédie sociale qui souligne les tensions entre l’aristocratie et les

section et une classe de grande section. Mme Duplouy, mon maître de stage, est la directrice de l'école et à la fois enseignante de grande section. L'encadrement des deux autres classes est assuré par deux enseignantes, assistés dans les soins, l'hygiène et les activités pédagogiques par des Agents Territoriaux des écoles Maternelles (ATSEM). La programmation de chaque niveau est définie collectivement par l'équipe pédagogique en conseil des maîtres. Suivant les places disponibles, l'école peut accueillir

compétitions ou de formes jouées. Elle est une matière qui participe à l’épanouissement de la personnalité du jeune enfant sous plusieurs aspects qui sont le physique, l’intellectuel, le moral, le civique, l’affectif… Que représente « le corps » pour le maître ? Il aurait tendance à le voir immédiatement au centre de ses préoccupations pendant ses séances d’éducation physiques. Mais, pouvons-nous dire que l’éducation physique peut et doit se fonder sur le concept du corps ? L’éducation physique est indissociable