Le Malin Génie Descartes

être bien est bien, tout ce que je sens être mal est mal : le meilleur de tous les casuistes est la conscience »[6].(Emile IV) ° Pluralité des représentions de la valeur II) CONSCIENCE ET ETRE AU MONDE A) Subjectivité cartésienne ( Descartes : « la philo que j’ai apprise, c’est le moyen de parler vraisemblablement de toute chose et de passer pour savant aux yeux des sots » Discours de la méthode « Le cogito est je point de départ de toute recherche » 1) Echec de l’anticillarisation(=philo

des intuitions justes relatives au Bien peuvent guider efficacement l’éducation ou l’action en leur fixant pour but la satisfaction d’intérêts conforme aux exigences de la réflexion et non à la soumission aux apparences ou aux plaisirs immédiats. Descartes montre aussi dans la morale provisoire que l’on peut suivre des « opinions modérés » qui ne sont pas dépourvu de bon sens, c'est-à-dire de motifs rationnels. De plus, dans certains domaines, notamment la religion, on atteint les limites de la raison

exigence de notre esprit. La science appauvrit l’être dans un but utilitaire presque unique, et prétend permettre de connaitre le monde malgré son immense complexité, car l’homme « veut la conquérir, s’en rendre maître et possesseur », expliquait Descartes. La science est donc croyance en la vérité et surtout en la recherche des connaissances du réel. Finalement, si la science est d’une certaine manière remise en cause par son caractère proche à la croyance, sur quoi l’homme peut il vraiment

à moi de me connaître -> devoir envers moi Todorov -> Eloge de l’individu Robert Campin Rambrandt II) La conscience et le Corps - le moment cartésien Descartes (1596-1650) Pour Descartes -> l’existence du sujet conscient est la première vérité sûre et indubitable -> on peut l’affirmer avec certitude -> la pensée subjective Descartes va utiliser le doute pour établir la vérité indubitable il fait la distinction entre 2 points de vue -> Pour les moeurs (la vie utile) = l’incertain est admis

sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan, par ce mépris des détails, qui est la grandeur même. Cette vue est elle-même généreuse ; elle va à pardonner l'erreur , et il est

moi-même ? La démarche de Descartes. Cf. Magnard, 30, textes 1 & 2. Nous avons été exposés à l’erreur, avant de sortir de plusieurs d’entre elles : « parce que nous avons été enfants avant que d’être hommes ». Mais qui dit que nos croyances actuelles ne sont pas des illusions ? Comment trouver un critère de vérité, ou tout au moins une certitude absolue ? Cf. texte 1 : - le doute méthodique : expérience de pensée (≠ vrai doute) ; - le doute hyperbolique (le malin génie) : le soupçon le + ténu

L’autre avait bien une dimension « humaine » bien qu’elle ne soit jamais celle de l’individu isolé.    Le solipsisme et sa critique                C’est avec Descartes qu’est formulé pour la première fois le problème de l’existence d’autrui à partir de la constitution fondamentale du sujet, du « je pense ». Répétons-le, Descartes, dans l’épreuve du doute, met en question l’existence de toute chose dans la mesure où ceci pourrait n’être qu’illusion. Mais il y a quelque chose qui résiste au doute

L'HOMME Pour commencer, nous allons étudier la pensée en elle-même et en quoi elle fait partie de nous. « L'homme est un animal doué de pensée » exprimait ARISTOTE. On peut dire que la pensée humaine est la seule chose qui soit certaine. 1/ DESCARTES, dans Les Méditations Métaphysiques, affirme que la première chose à faire c’est douter : Il faut Douter d’abord de la vérité des sens. Très utiles dans la vie de tous les jours mais on ne peut s'y fier car ils sont trompeurs. Ils nous font parvenir

se voit exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par le miroir qu'est la conscience. o Développt : le monde extérieur est douteux mais moi, je suis certain de me connaître tel que je suis grâce à ma conscience; cf. malin génie. o La connaissance de soi sécurise. Elle délimite nos pas sur un chemin non balisé, fait d’incertitude. L’avenir, même si des personne le considèrent comme écrit, ne nous ait en effet jamais révélé. Mais l’homme n’est pas

René Descartes est né le 31 mars 1596 à La Haye en Touraine (aujourd'hui rebaptisée "Descartes"), sa mère ayant quitté la ville de Rennes où s'était déclarée une épidémie de peste. Aussi il est le troisième enfant de Joachim Descartes, conseiller au parlement de Rennes et de Jeanne Brochard, fille du maire de Nantes ; sa mère meurt le 13 mai 1597, c’est-à-dire 13 mois et demi après la naissance du philosophe [3], et Descartes est élevé par sa grand-mère, son père et sa nourrice. Son père l'appelle