Le Malin Génie

présent comme décadent, Nietzsche envisage la culture de l’avenir qui porte un nom : le surhumain ou le surhomme. L’homme doit être dépassé pour Nietzsche, jusqu’à dépasser le surhumain. Questions sur le texte de Nietzsche, Le gai savoir « Du génie de l’espèce ». Question 1 : Quelle est la thèse tu texte ? Dans ce texte, Nietzsche soutient que la conscience nait sous l’effet de la communication entre les hommes. Je ne peux prendre conscience de moi-même et des choses en général que sous

je ne puis être sûr qu'elles correspondent à quelque chose. NB : Le caractère artificiel de ce doute est bien indiqué par l'expression "je voulus supposer". Peut-être résumer un peu plus en détail ce qui se passe dans les Méditations avec le malin génie. c3) Le doute peut aussi porter sur le raisonnement Descartes montre en effet que si on s'est trompé une fois en raisonnant, alors, on peut penser qu'on se trompe toujours. Dans la vie pratique, la possibilité de mal raisonner conduit simplement

y compris de mon propre corps. L’argument des sens trompeurs et du rêve. Pas de critère décisif permettant de distinguer le réel de l’imaginaire. Solipsisme. • Remise en cause des évidences mathématiques. L’argument du Dieu trompeur. • Le malin génie • Le COGITO (La proposition « Je suis, j’existe » est nécessairement vraie chaque fois que je la prononce ou la conçois en mon esprit. ») Le « je pense donc je suis » est à la fois une certitude subjective et une vérité objective. • Cette vérité

doute méthodique pour détruire le doute sceptique → principe indubitable recherché. Les sens sont tout d’abord révoqué ; les connaissances acquises ; l’existence d’un monde antérieur et d’autrui + doute sur la raison humaine et hypothèse d’un malin génie. COGITO ergo sum→ « je doute, je pense que tout est faux mais si je pense c’est que je suis » → Il vient de détruire le doute sceptique. Donc l’existence ne peut pas être remise en doute. Syllogisme de raisonnement : Majeur : Pour penser il

a déjà trompé, on ne peut plus lui faire confiance » : il fait référence à ses cinq sens « Je suis, j’existe » « Cogito ergo sum » : J’existe donc je suis Je pense et je suis conscient de ce que je pense, donc j’existe. DESCARTES pense que le malin-génie ne peut pas lui faire croire qu’il existe, il peut lui souffler des idées fausses mais lui, il sent des idées en lui. Le doute triomphe des mathématiques. DESCARTES ne veut suivre que sa raison : Je suis, j’existe. Je pense donc je suis. Qui suis-je 

4e maxime : revue des principes. Conclusion. Paragraphe 12 : Naissance du malin génie. Il a le pouvoir de combattre les habitudes de pensée et le vraisemblable, qui sont de redoutables ennemis. Il peut suspendre mon jugement ! Doute méthodique. 2e méditation : prouve que l’on peut mieux savoir le fonctionnement de l’esprit humain que le fonctionnement du corps. Paragraphe 1 : C’est le triomphe du malin génie. Notion de certitude positive ou négative. Paragraphe 2 : Référence à Archimède :

ARTHUR RIMBAUD, un génie de la poésie à 15 ans En août 1870, alors qu’il n’a pas encore 16 ans mais déjà possesseur d’un grand nombre de prix littéraires, Arthur Rimbaud décide d’abandonner le foyer familial, marqué par l’absence d’un père et la sévérité d’une mère austère. Il prend alors son envol pour Paris puis fera un court passage à la prison de Mazas, pour être recueilli à Douai par son ancien professeur de rhétorique, Georges Izambard. Un mois plus tard, Rimbaud fugue à nouveau puis revient

source de contradiction. Ensuite il réfute l'argument de la folie, qui fait référence au rêve qui semble réel jusqu'à ce qu'on se réveille, par l'argument suivant: <<Que je rêve ou que je dorme 2+2=4>>.Mais il doute en imaginant qu'un malin génie fait en sorte qu'il se trompe chaque fois qu'il fait 2+2=4.C'est à ce moment qu'il en Vient à sa plus grand idée:<<Mais moi qui doute de touts objets, je pense, car douter c'est penser, je ne peut douter que je ne doute ou que je pense. Je

êtres capables de réflexion. Grâce à notre conscience, nous savons que nous existons. La première vérité de Descartes est le « cogito ergo sum». Descartes se met à douter de tout ce qui n’est pas certain. Il invente également le personnage du malin génie qui nous met des idées fausses dans la tête. Au paroxysme du doute, Descartes est certain d’une chose : il pense, donc il existe. La conscience est ce qui constitue la grandeur de l’homme selon Pascal. Dans les Pensées, il affirme que bien que

l’hypothèse de l’inconscient ne s’impose pas pour nous avec la même certitude que la conscience de soi, comme le souligne Descartes, le cogito est la seule chose qui résiste à l’épreuve du doute hyperbolique et même à l’hypothèse du Dieu Trompeur , du malin génie. Même si l’homme n’est pas une conscience de soi omnisciente et omnipotente, ni transparente, l’homme se caractérise par cet effort pour s’élever et se perfectionner qui passe par un renforcement de la conscience de soi et une conquête sur son