Le Mans

comprenait des versions quattro adaptées à chaque modèle. La participation d'Audi aux 24 Heures du Mans en 2000 fut un immense succès. Installées aux trois premières places sur la grille de départ, les R8 offrirent un palmarès exceptionnel pour les trois voitures : pole position, record de vitesse du tour et les trois voitures en tête quasiment du début à la fin de la course. Pour l'édition des 24 Heures du Mans 2001, Audi prouvera encore sa supériorité en remportant à nouveau l'épreuve. En 2004, Audi

La Pléiade (1550-1560) A la Renaissance, sept poètes français se regroupèrent sous le même nom. En outre le « meneur», Pierre de Ronsard, la Pléiade est donc constituée de Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Etienne Jodelle. Le grand principe sur lequel repose la théorie littéraire que les membres de la Pléiade s’efforcent à mettre en place est « l’imitation » des lettres antiques. En effet, selon les 7 poètes, il faut lutter contre « la

d'investisseurs en 1926, formant «Aston Martin Motors Ltd. L'entreprise fut bientôt sur ​​une base solide, avec une gamme compétitive de voitures de sport et d'une réputation croissante. Cette progression conduit à la première entrée d'une Aston Martin en Le Mans 24 heures de course en 1928 Dans la même année, l'Aston Martin V8 est entré en production Les années 1980 ont vu Aston Martin changent de propriétaire à nouveau , avec Victor Gauntlett et Pace Petroleum acheter l'entreprise en 1981 . Aston Martin

quand il a 10 ans. De santé fragile[3], il est élevé par son frère aîné qui le néglige. Vers 1546, il part faire ses études de droit à l'université de Poitiers où il rencontre Salmon Macrin[3]. En 1547 il fait la connaissance de Jacques Peletier du Mans et de Pierre de Ronsard. Il rejoint ce-dernier au collège de Coqueret à Paris. Dans cet établissement, sous l'influence du professeur de grec Jean Dorat, les deux hommes décident de former un groupe de poètes appelé d'abord la Brigade. Leur objectif

faire ses études de droit à Poitiers où il y rencontre Salmon Macrin3. En 1547, il fait connaissance avec Jacques Peletier du Mans et Pierre de Ronsard, qu'il rejoint au collège de Coqueret, à Paris. C'est là, sous l'influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu'ils décident de former un groupe de poètes appelé d'abord la Brigade, puis la Pléiade. Jacques Peletier du Mans les accompagne dans leur choix du français. Du Bellay publie alors en 1549 un manifeste : Défense et illustration de la langue

1532 quand il a 10 ans. De santé fragile3, il est élevé par son frère aîné qui le néglige. Vers 1546, il part faire ses études de droit à l'université de Poitiers où il rencontre Salmon Macrin3. En 1547 il fait la connaissance de Jacques Peletier du Mans et de Pierre de Ronsard. Il rejoint ce-dernier au collège de Coqueret à Paris. Dans cet établissement, sous l'influence du professeur de grec Jean Dorat, les deux hommes décident de former un groupe de poètes appelé d'abord la Brigade. Leur objectif

(Ronsard, du Baïf). Mais, sous l’influence de Dolet, Rabelais et Marot, elle innovera en abandonnant la langue latine au profit du français : «J’écris en langue maternelle / Et tâche à la mettre en valeur / Afin de la rendre éternelle» (J. Pelletier du Mans). * La Pléiade est avant tout un mythe organisé et orchestré par un groupe de jeunes poètes (surtout Ronsard) désireux de se présenter comme l'avenir de la poésie dans une France dépourvue de tradition littéraire. Mythe au demeurant fragile

septembre 1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme. Il étudie au Collège de Navarre à Paris en 1533, puis entre au service de la cour royale en 1536 et devient le page de Charles d'Orléans. Il reçoit les ordres mineurs de l'évêque du Mans en 1543, mais n'est pas ordonné prêtre. En avril 1545, lorsqu’il avait 20 ans, Ronsard rencontre dans une fête à la cour de Blois, Cassandre Salviati, fille d'un banquier italien. Deux jours après, la cour quitte Blois. On cite : «  Il n'eut moyen

cette constellation pour se distinguer. À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Outre Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors : Joachim du Bellay, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Pelletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe. Cette appellation sera adoptée par la postérité[2]. Les idées

de Ronsard, Joachim du Bellay, Étienne Jodelle, Pontus de Tyard, Jacques Peletier du Mans (remplacé après sa mort en 1582 par Jean Dorat), Jean Bastier de La Péruse (remplacé après sa mort en 1554 par Rémy Belleau) et Jean-Antoine de Baïf. Ronsard : Recueil Les Amours de 1552 à 1578. Du Bellay : Les Regrets en 1558. Jodelle : L’Eugène en 1553. De Tyard : Les Erreurs amoureuses de 1549 à 1555. Peletier du Mans : La Savoye en 1572. De La Péruse : La Médée, tragédie et autres diverses poésies en