Le Marché De La Monnaie Chez Les Classiques

: L’intervention de l’Etat Les instruments de l’intervention étatique CH 1 La politique monétaire I. La monnaie A. Les formes de la monnaie 1. Définition : La monnaie est constituée de l’ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques pour régler leurs transactions. C’est un bien d’échange généralement accepté par une communauté de paiement. 2. La monnaie est créée pour faire face aux inconvénients du troc: - Problème de stockage des biens et leur détérioration

micro-économique Les néo-classiques I/ Introduction L’analyse micro-économique, c’est ce qui structure le cerveau d’un économiste. A/ Des classiques aux Néo-Classiques Ils vont reprendre à leurs comptes des « méthodes » des classiques. Egalement des principes de tous les économistes : - La main invisible - La prépondérance de l’offre - Ils se réfèrent à la neutralité de la monnaie Ce sont des principes très débattus chez les classiques. Donc ils reprennent

ÉCONOMIE MONÉTAIRE. CHAPITRE 1 : IDENTIFICATION ET DEFINITION DE LA MONNAIE 1. La monnaie dans l’échange : de l’économie autarcique à l’économie monétaire. La monnaie n’est pas là pour elle même, elle ne peut que se comprendre dans l’échange, l’idée de monnaie est à rattacher à l’échange entre agents. A. L’économie sans monnaie. a) Autarcie et économie de troc L’autarcie signifie que l’agent ne va consommer, investir que ce qu’il produit lui même (Exemple de Robinson Crusoé)

que la monnaie ? 1. Les fonctions de la monnaie 1.1. Moyen de paiement 1.2. Réserve de valeur 1.3. Unité de compte 2. Les formes de la monnaie 3. Les fondements de la monnaie Titre 2. La demande de monnaie 1. Les fondements de la demande de monnaie 1.1. Motif de transaction 1.2. Motif de précaution 1.3. Motif de spéculation 2. L’interprétation de la demande de monnaie selon la théorie keynésienne 2.1. La demande de monnaie pour motif de transaction 2.2. La demande de monnaie pour motif

économique. Ici, Fourçans nous familiarise avec les principaux courants fondateurs de la pensée économique dits « classique » et « néoclassique ». L'économie est née avec la pensée philosophique individualiste et libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de l' existence économique. Chapitre 4 : Malgré le fait que le marché soit une idée abstraite de part ses diverses formes, il n'en reste pas moi une chose concrète, dont les « pulsions

 Nous nous arrêterons donc principalement sur les théories de Marx, ainsi que de Smith et Ricardo que l'on regroupe dans l'école classique. Adam Smith (1723,1790) influencé par le courant de la physiocratie de François Quesnay(1694, 1794), qui analysait l'économie du royaume agricole qu'était la France, dont il retint la croyance en un ordre naturel, fonda l'école classique (certains économistes y classent aussi Quesnay), dont l'apogée fut atteinte au début du XIXème siècle avec David Ricardo (1772

 7  copies  en  dessous  de  10  -­‐  notes  de  8  à  17     !1)  La  monnaie  (ou  l’argent)  n’est-­‐elle  qu’un  outil  économique  ?  (3  points)   -­‐  Rappeler  de  façon  explicite  les  3  fonctions  économiques  de  la  monnaie  (/1)   -­‐  Indiquer  les  autres  dimensions  de  la  monnaie  en  les  explicitant  /  illustrant  (§AEI)  :  autonomie/émancipation,  domination

2° Les néoclassiques et l'économie de marché: Cambridge *Alfred Marshall(1842-1924) *2 fonctions: l'offre qui est une fonction croissante du prix et la demande qui est une fonction décroisante du prix. * L'Analyse de Marshall fut considérée comme partielle : il utilisait la comparaison du café et du thé qui se substitue l'un l'autre. Et le lien café et sucre car ils sont complémentaire. * Walras : il existe de nombreuses connexions entre différents marchés (ex: whisky/ coca; whisky/ vodka) produits

0189 Sylvie Diatkine, les fondements de la théorie bancaire – des textes classiques aux débats contemporains Paris, Dunod, coll. théories par Dominique LACOUE-LABARTHE | Éditions L’Harmattan | Cahiers d’économie politique 2005/1 - n° 48 ISSN 0154-8344 | ISBN 2-7475-8143-8 | pages 189 à 194 Pour citer cet article : — Lacoue-Labarthe D., Sylvie Diatkine, les fondements de la théorie bancaire – des textes classiques aux débats contemporains Paris, Dunod, coll. théories économiques, 2002 191

d'or. La période mercantiliste a duré deux siècles environ ; à la fin du 18ème ces idées vont être combattues par les économistes classiques. Selon ces derniers, la richesse ne provient pas de l'or mais provient du travail. Un bien vaut tel prix car il faut tant de travail pour le fabriquer. L'état ne doit pas intervenir, il doit laisser jouer les mécanismes du marché. C'est le libre échange qui doit régler les mouvements de marchandises, il n'y a plus de guerre commerciale, l'échange est avantageux