Le Mariage du Ciel et de l'Enfer

impitoyable entre le classicisme et le baroque. Tel Prométhée, il se libère par la mort, en entrant dans la (dé)mesure triomphante. Un personnage transgressif Dom Juan, c'est la transgression des mœurs parce qu'il est séducteur il ne respecte pas le mariage. Il séduit les femmes, y compris celles qui sont promises (voir la scène avec Charlotte et Pierrot). Dom Juan est le maître du jeu. Il transgresse les règles sociales, il vit à l'écart, il est constamment en fuite (notamment face aux frères de

conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec la Statue du Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans les flammes de l'enfer. Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception [modifier] [pic] [pic] Frontispice des Œuvres de Molière (éd. de 1734) Cette pièce de

Raphaël a poursuivi (et qui a épuisé son énergie vitale), c’est sa passion amoureuse pour Fœdora, qui ne l’aimait pas en retour, mais se servait de lui ; en effet, l’oncle de Raphaël avait suffisamment de relation pour faire reconnaître en France le mariage de Fœdora avec un comte russe. Nous voyons en outre une oppositions entre les aspirations du jeune homme (d’ordre intellectuel) et les exigences « bassement matérielles » de son corps. La même opposition se retrouve chez Baudelaire, notamment dans

recueil de poèmes fut condamné et censuré à sa sortie, car trop choquant pour la morale bourgeoise, avant de passer à la postérité. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. Un refus de l’autorité Né à Paris le 9 avril 1821, Charles Baudelaire n’a que six ans lorsque son père meurt. Sa mère se remarie un an plus tard avec le général Aupick. Il refuse cette union et sera toujours en opposition avec ce militaire

l'élément déclencheur est le "chant" des cloches en hiver.L'âme du poète ressent le sentiment "religieux" mais aussit son propre sentiment de faiblesse et d'impuissance.Comment ce poème traduit-il le Spleen du poète qui le mène à la fois vers le ciel et vers l'enfer structurant les Fleurs du Mal ?Nous étudierons dans une première partie le côté rêveur du poète, puis l’impression de ce côté "religieux" produit par le chant des cloches et enfin pour finir le passage d’un sentiment de faiblesse à une vision

un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a épousé ta maîtresse: crois qu'il aurait plus fait pour sa passion, et qu'avec elle il aurait encore épousé toi, son chien et son chat. Un mariage ne lui coûte rien à contracter; il ne se sert point

fête - 5 énumérations : (deux phrases) hyperboles (idem) croyances de Dom Juan -> Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs, etc. - Sganarelle se donne de l’importance en utilisation quelques termes -> pédant

À Mathurine ) et “Elle [...] voudrait bien que je l’épousasse, mais je lui dis que c’est vous que je veux” (À Charlotte). Dom Juan ment aux deux paysannes afin de pouvoir les séduire toutes les deux. Pour cela il leur promet le mariage. Mais il collectionne d’autres défauts, en commençant par le libertinage “je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit”, (III, 1) défaut partagé par Octave. L’inconstance “j’ai une pente naturelle à me laisser

honnête Engagement, déclaration d'amour, passion/emportement Sincérité du personnage Question rhétorique « moi, j'aurais l'âme assez méchante pour abuser une personne comme vous ? » Référence à Dieu > prend à témoin pour cautionner ses dire ; « le Ciel » (r27-.40) Question rhétorique « moi, me railler de vous ? » (r.17) Verbe aimer « je vous aime » (r.32), « je vous dis vrai » (r.32), « ne pas mettre en doute la sincérité de ma foi » (r.34) Sganarelle témoin de complice de Dom Juan - Confirme les

d’aigle se mérite. Ses ailes déployées évoquent les éclairs, la foudre et par la même l’aspect inexorable que foudroyant de l’illumination spirituelle, mais aussi le décret implacable du ciel. Il évoque aussi son aspect fertilisant et fécondant.Il est dit antagoniste du serpent exprimant par-là l’antagonisme entre le ciel et la terre, entre les aspects sombres et les aspects lumineux de l’être.Sa forme stylisée devient la croix.L’aigle nous prévient aussi, qu’il nous prendre garde à notre volonté de puissance