Le Marxisme

ENCADRE PAR : Mr DINAR INTRODUCTION Le marxisme est une doctrine politique, économique et sociale adopté par les principes de l’économiste et philosophe socialiste du XIXème siècle KARL Marx et dans une moindre mesure ceux de Engels. Elle voit dans la lutte des travailleurs une progression des forces historiques qui procède d’une lutte

est issu de l'école classique mais aussi la surpasse. On arrive donc à un embranchement avec un chemin orthodoxe de l'école classique, le libéralisme dans sa diversité et un chemin hétérodoxe de l'école classique initié par Marx, le marxisme scientifique. Le marxisme scientifique est homologue à l'école classique tout comme le libéralisme classique. Marx est donc un représentant de l'école classique Le libéralisme, bien qu'influent, n'est pas la seule doctrine politique à marquer les XIXe et XXe

dois parler de l’existentialisme, on comprendra que je le tienne pour une idéologie, c’est un système parasitaire qui vit en marge du Savoir, qui s’y est opposé d’abord et qui aujourd’hui tente de s’y intégrer.». Le Savoir : le marxisme. P29 « loin d’etre épuisé, le marxisme est tout jeune encore, presque ne enfance : c’est à peine s’il a commencé à se développer. Il reste donc la philosophie de notre temps : il est indépassable parce que les circonstances qui l’ont engendré ne sont pas encore dépassées »

un bilan critique en en montrant les limites d’un point de vue sociologique. Dans un premier temps, j’essaierai de montrer que l’originalité de la pensée de Castoriadis trouve sa source dans une rupture avec le déterminisme historique du marxisme et, plus largement, avec les théories fonctionnalistes du social. Rupture qui lui permettra de construire l’originalité de sa pensée en opposant au fonctionnalisme une théorie de l’autonomie et de l’imaginaire radical. J’aborderai ainsi, dans un

internet 3. La table des matières 4. La piste biographique 5. La biographie de Karl Marx 6. Une brève description de la biographie de Friedrich Engels et de leur rencontre 7. Les idées de Marx ( explication du marxisme et du communisme 8. Un document trace tiré de l’ouvrage: « Le manifeste du parti communiste » avec un commentaire 9. Une carte géographique (1980) 10. Une synthèse de l’exposé Piste biographique

présentent de manière particulièrement didactique les quatre principales approches modernes de l’éthique économique et sociale. Avec chacune une vision de la société juste et du progrès humain, ces quatre approches, l’utilitarisme, le libertarisme, le marxisme et l’égalitarisme, campent les « points cardinaux » des réflexions et des discussions politiques, mais aussi, pouvons-nous ajouter, des discussions de café (qui ne sont pas moins importantes). Avec des bases historiques puissantes et des traductions

individuelle qui est concue comme un droit, comme un prolongement de la personne (le seul endroit où la personne ne peut pas être entravée par l'État). Cela va être à la source de la montée en puissance de la Justice administrative. C'est là que le marxisme va s'écarter totalement du libéralisme. Le libéralisme est enfin une revendication démocratique particulière. On va dire que c'est une revendication démocratique qui se rapproche de la démocratie antique dans la mesure où elle est élitiste : la

et détournement du marxisme , attaques contre la classe ouvrière et son organisation politique, attaques contre les lois sociales de 1936 et 1947. Tout ce qui attaque Staline est ainsi repris par la propagande anticommuniste de droite comme de gauche : calomnies et injures servent de démonstration, et c'est par une décontextualisation acharnée que Staline est accablé de tous les crimes, notamment dans les programmes scolaires. Mais à travers Staline, c'est bien le marxisme, le léninisme et l'expérience

travail considéré comme un devoir qui possède, aux yeux de l’Église, une valeur supérieure à celle du capital comme facteur de production. La position de l'Église face aux deux systèmes : le libéralisme et le marxisme Le fait que l’Église rejette à la fois le libéralisme et le marxisme (Quadragesimo anno de Pie XI en 1931), laisse penser que le Vatican recherche une troisième voix : « la démocratie chrétienne ». Ainsi, la « morale économique » ne serait qu’une application des principes de la

l’entrepreneur, la propriété privée et la concurrence est, pour lui, condamnée à terme, car elle produit un ensemble de conséquences sociales qui ne peuvent que mettre à bas le système. On constate, également que toute l’économie est gérée par l’état. Le marxisme, tel qu’il est formulé par son auteur, constitue une doctrine sociale qui a vocation à s’édifier sur les ruines du système capitaliste. Marx y ajoute en outre une vision philosophique, dans la mesure où son projet social s’inscrit dans une perspective