Le Masque Lorenzaccio

personnage : Sir Maurice incarne, par sa place de chancelier des Huits, le pouvoir judiciaire de Florence. Il est l’un des proches du Duc, soutient son régime, et sera l’un de ceux qui le soutiendront et qui essaieront de le mettre en garde contre Lorenzaccio qui planifie de le tuer. Il sera également responsable tout comme ses confrères de l’éléction de Côme de Médicis, remplaçant du défunt Alexandre. -citation 6) Valori -Apparitions : acte I, scène 4 acte II

acteur (le deutéragoniste) et enfin, avec Sophocle, un troisième acteur (le tritagoniste). Avec l’évolution du théâtre, la part lyrique a diminué, au profit du dialogue. A cette époque, seulement les hommes pouvaient monter sur scène et portaient des masques : les nuances de l’émotion passent donc par le ton de la voix et les gestes, et le visage de l’acteur n’exprime pas un psychologie nuancée. Les acteurs se revêtent de tuniques colorées qui permettent d’aider les spectateurs à reconnaître les différents

théâtre, texte et représentation Séquence 1 : Le drame romantique ; révolution du théâtre ou théâtre de la Révolution ? Etude de Lorenzaccio (1834) d’Alfred de MUSSET Texte n°1 : l’originalité de la scène d’exposition Texte n°2 : le meurtre du duc Alexandre Texte n°3 : la tirade de Lorenzo Texte n°4 : le dénouement de la pièce Synthèse sur Lorenzaccio de MUSSET Séquence 2 : Représentations théâtrales de tyrans célèbres ou la représentation du pouvoir au théâtre Texte n°1 : Britannicus

Lorenzo vient d'acheter la vertu à sa propre mère afin de l'amener dans le lit du duc. Emporté par son désir, le duc s'approche du pavillon où se trouve la jeune fille. Scène 2 Dans la rue, au lever du jour. Plusieurs commerçants et bourgeois masqués sortent d'une maison illuminée. Ils commentent la situation politique de la ville. Il y a le père Mondella, un orfèvre qui déplore la décadence régnant dans la cité et qui critique Alexandre de Médicis, un bâtard dépravé et cruel dont les proches

dramaturge un créateur conscient de son art. De son côté, l'acteur (exclusivement masculin) acquiert un statut spécial, mais élevé, dans l'échelle sociale ; il n'a pourtant guère l'occasion de donner une impulsion personnelle à ce qu'il joue : il porte un masque à l'expression figée dans une grimace de douleur ou de rire, tandis que ses cothurnes, ses vêtements aux rembourrages voyants et une coiffure très en hauteur sont censés évoquer le gigantisme des dieux et des héros qu'il incarne. Il semble pourtant

et son fils Néron, et raconte que Néron a enlevé Junie. L'exposition "in medias res" (au milieu des choses) consiste à introduire le spectateur en plein sujet, directement dans l'action, sans préambule (voir exemple in Bordas 1°, p. 503 : Lorenzaccio) L'intrigue (ou 1'action) . L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de Cinna (1640) de Corneille : Emilie, fille adoptive de

et son fils Néron, et raconte que Néron a enlevé Junie.      L'exposition ​ "in medias res"​  (au milieu des choses) consiste à introduire le spectateur en plein  sujet, directement dans l'action, sans préambule (voir exemple in Bordas 1°, p. 503 : ​ Lorenzaccio​ )    L' intrigue ( ou 1'action) .  L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans  une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de ​ Cinna​  (1640) de Corneille :  Emilie, fille adoptive de l'empereur Auguste

Agrippine et son fils Néron, et raconte que Néron a enlevé Junie. L'exposition "in medias res" (au milieu des choses) consiste à introduire le spectateur en plein sujet, directement dans l'action, sans préambule (voir exemple in Bordas 1°, p. 503 : Lorenzaccio) L' intrigue ( ou 1'action) . L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de Cinna (1640) de Corneille : Emilie, fille adoptive de l'empereur

Jean d’Aragon décide d’honorer sa parole. Afin de cacher le trouble que son épouse a remarqué, il tente de l’en détourner en l’envoyant chercher un fiole qui devrait le soulager. Hernani est laissé à son désespoir et Ruy Gomez se révéle derrière le masque noir : il laisse au jeune époux le choix de son supplice : la lame ou le poison. Le condamné choisit le poison mais Dona Sol les surprend, s’empare de la fiole, en boit la moitié. Hernani consomme le reste et, enfin réunis dans un funeste accomplissement

personnage (les personnages comiques étaient repris d’une pièce à l’autre), l’épée en arrière, l’habit militaire rouge et bouffant, très voyant, le képi emplumé… ; dans les mises en scène modernes il est souvent habillé de manière plus ridicule : un grand masque, du roseau joue, des talonnettes, même une fois un tutu rose… Chaque époque se sert de ses codes pour faire apparaître le rôle d’un personnage. Quant au décor, il a été plus ou moins utilisé au cours des siècles. Le XVIIème siècle ne l’utilisait guère