Le Masque Lorenzaccio

l’Histoire de l’Art -, reposant sur le romantisme alors naissant, dont nous nous permettons au passage de rappeler qu’outre les thèmes qui sont chers à ce courant, tels l’Âme, la Nature, l’orientalisme, le mystère, il y a l’Histoire ( rappelons-nous Lorenzaccio d’Alfred de Musset, pièce maîtresse du romantisme aussi pour la dimension accordée à l’Histoire et non seulement aux tourments de son héros. En outre il s’agit d’un « drame historique »). La forte passion du roi et les désillusions en la matière

comiques du cinéma, à l’époque de Max Linder et de Charles Chaplin. De pièce en pièce, on retrouve certains personnages, avec les mêmes noms, les mêmes silhouettes, les mêmes tics ; pour mieux marquer ce caractère « typique », ils portent souvent un masque qu’ils conservent de pièce en pièce, comme faisaient d’ailleurs Arlequin, Trivelin et leurs camarades. Tous ces traits se retrouvent dans la farce des Précieuses  : pièce en un acte, mauvais tour joué à deux sottes ; personnages typiques : Gorgibus

estampillées La Pléiade, telles que l'Album, l'Agenda, l'Encyclopédie alors que l'usage fait que, parmétonymie, on parle d'une Pléiade pour désigner un ouvrage issu de cette collection. Quelques tomes de la Bibliothèque de la Pléiade. Sommaire   [masquer]  1 Histoire 1.1 Directeurs littéraires 2 La Pléiade en chiffres 2.1 Les dix titres les plus vendus 2.2 Domaines d'exploration 2.3 Albums de la Pléiade 3 Esthétique de la collection 3.1 Charte intérieure 3.2 Aspect extérieur des livres 3

demande aux élèves de lister les éléments du décor et accessoires relatifs au monde en ruine (fleurs coupées, bâtiment enfoncé dans le sol et bancal, ensevelissement, couleurs, bois…), et ceux relatifs à la fête (piano, chaises, costumes flamboyants, masques, ballons, cotillons…). On propose aux élèves de réfléchir à ces oppositions et à la rédaction d’un article explicitant ces choix de mise en scène. En quoi ce décor est-il révélateur de la fin d’un monde, d’une époque, d’une jeunesse ? Pourquoi la

seulement une fois cette équipe formée, que la question de la distribution des rôles s'est posée. Et comme il y a plus de rôles que d'interprètes, nous savions d'emblée qu'il faudrait jouer avec le théâtre, les marionnettes, ou les ombres, ou les masques… Il semble dès à présent que tous les personnages n'auront pas exactement la même existence, ou du moins la même consistance. C'est d'ailleurs le texte lui-même qui joue des différences de statut théâtral des personnages, selon leur degré de réalité

Sol) – lieu intime, intérieur II- Saragosse – patio du palais de Silva / fenêtre à balcon. Décor extérieur III- Montagne d’Aragon, château de Silva – décor grandiose IV- Tombeau de Charlemagne, Aix V – Palais d’Aragon (mise en abîme du théâtre, le masque) La multiplicité des décors montrent une action instable ; on passe de l’ancienne (Les Silva) à la nouvelle génération (Aragon) de l’opposant (Don Ruy Gomez) au héros (Hernani) ; on se rapproche progressivement de l’intimité du héros jusqu’au palais

les motifs qui illustrent un monde en perpétuelle transformation, l'inconstance des sentiments, l'impossible accord entre l'être et le paraître : la métamorphose, le labyrinthe, la bulle, l'oiseau, le vent, le nuage, l'eau miroitante, le miroir, le masque, le déguisement. L'image de Théatrum mundi décrit le monde comme une scène sur laquelle jouent des acteurs. Elle est reprise dans de nombreuses pièces comme L'Illusion comique (1636) de Pierre Corneille, Hamlet (1603) de William Shakespeare ou La

l’aveu d’un drame, d’une souffrance à laquelle Aragon ne nous a guère habitués (ce n’est pas très bien vu, la plainte individuelle, dans le communisme où s’est inséré Aragon : cela fait très petit bourgeois), ou alors avec beaucoup de réticences et de masques. À partir de 1956, Aragon, ça va être l’aveu (y compris de son homosexualité). Encore un peu d’histoire : L’élégie n’est plus véritablement une forme, mais l’entité élégie est quelque chose de très vivant, dans la poésie moderne. Pacifico

sens, les contes philosophiques de Voltaire illustrent bien des débats du siècle des Lumières et sont représentatifs des multiples combats menés par l’auteur, notamment pour le respect des droits, la tolérance, la liberté, etc. Et comme tous les masques sont possibles dans le conte (merveilleux, appel à un narrateur fictif, exagération, mensonge…), ce genre lui permet d’exprimer des idées contestataires (Voltaire dénonce la justice, le pouvoir, les abus…) en échappant à la censure. Voltaire a donc

|Un « théâtre de la parole » ? (L – juin 2005) |Question : Après avoir identifié la forme commune des trois textes du corpus, vous direz quelles sont les spécificités de chacun de ces | |- Musset, Lorenzaccio, IV,9 |extraits. | |- Giraudoux, Electre, Lamento du