Le Maître De Cérémonie En Maçonnerie

 degré     «  Je  suis  un  Compagnon  et  je  le  dis»         Par  William  L.               Ecrite  9  avril  2011   Lu  le  6  février  2012   1     Vénérable  Maitre  de  loge,  et  vous  tous  mes  Sœurs  et  mes  Frères  en  vos  rangs,  grades   et  qualité.     Je  suis  un  Compagnon,  comme  vous  tous  au  minimum  ici  ce  soir.  Mais  savons-­‐nous

la chrétienté comme étant tout ce qui tourne ou qui est en relation ou qui se rapporte au Christ. Parmi nos frères, beaucoup sont chrétiens et nous le sommes au R.E.R. Par exemple lors de la réception d’un candidat, il est demandé par le vénérable maître et les frères surveillants au frère introducteur le nom de baptême du candidat. Cela implique qu’il y ait eu baptême au préalable. C’était le cas de Jean Baptite Willermoz, le baron de Turkheim ou Martines De Pasqualli, ils étaient tous chrétiens

Vingt ans de Maçonnerie ou la profession de foi d’un Maçon ordinaire 29 mai 1989. C’est la date exacte, il y a vingt ans, où je recevais la Lumière. Vingt ans d’un chemin tout à la fois très personnel et marqué par la rencontre avec plusieurs organisations maçonniques et de nombreuses personnalités. Un chemin moins linéaire et moins codifié qu’on ne me l’avait laissé entrevoir ou que même je ne l’avais imaginé au départ. Les motivations Après vingt ans les motivations ont-elles changées 

« PERIT UT VIVAT » Venerable Maitre et mes BAF, bonsoir, je remercie le Venerable Maitre pour m’avoir donner  Theme pour mon travail de passage PERIT UT VIVAT qui veut dire Mourir pour Renaitre. Ce que je comprends par PERIT UT VIVAT c’est de mourir comme un profane et renaitre comme un Apprenti Macon d’abord pour devenir un Macon par la suite. Mourir, c’est comme mettre fin à un attachement. Qu’est-ce qui est continu tout au long de la vie? On oppose la mort à la vie. On dit

pose également, par rapport à la Franc-Maçonnerie, la question de savoir s’il faut être membre pour en communiquer les valeurs, et dans le cas contraire, s’il n’est pas préférable de ne pas en être pour pouvoir librement partager des valeurs auxquels nous pour- rions adhérer sans être perclus par l’affiliation à un groupe dont le serment contredit l’objectif poursuivi ? Ne pas en être n’est pas un obstacle pour en parler car la discrétion de la Franc- Maçonnerie n’est pas à la hauteur du secret qu’elle

professions. On distingue le maître qui a le droit de vendre au public et qui est rémunéré par le prix de vente et le compagnon qui ne doit pas être payé pour sa production mais pour son temps de travail. A cela s’ajoute des apprentis placés par leurs parents sur la base d'un contrat souvent passé devant notaire, et dont le statut, très précis pour chaque métier, définit la durée, les travaux qu'il peut faire en fonction de son âge, le nombre d'apprentis qu'un maître peut prendre en même temps,…

Vénérable Maître Surveillant Dignitaires à l’Orient Et vous tous, mes Frères et Sœurs en vos grades et qualités… INTRODUCTION S’intéresser au nombre 3 et s’interroger sur ses différentes significations m’a conduit à l’étudier dans diverses cultures. J’ai découvert alors la richesse de ce symbole et l’immense variété des domaines où nous pouvons le rencontrer. Aussi, après avoir tenté de « survoler » ses nombreux champs d’application, j’aborderai sa symbolique en franc-maçonnerie et ce qu’il

racine venant du latin "catena" signifiant cadenas servant à garder un secret bien gardé, fermé et inviolable. Car la chaine d'union est une tradition que l'on retrouve aussi bien dans le compagnonnage que dans la maçonnerie. Son origine remonterait au Moyen-âge et à la maçonnerie opérative. Cette chaine symbole très fort de fraternité unissait les compagnons bâtisseurs qui édifiaient des monuments dans toute l'Europe. Leur permettant de rester en contact les uns avec les autres. Notre chaine

profession m’amène à cette réflexion pleine de bon sens : porter à l’extérieur l’œuvre commencée dans le Temple. Plus de 30 ans après avoir exercé ce « beau métier » d’infirmière, l’autre réflexion qui titille mon esprit est : a-t-on besoin de la Maçonnerie pour œuvrer à l’extérieur ? Ne porte-t-on pas en soi cette générosité du cœur qui permet de donner à l’autre ? Et si l’on vient fréquenter ces lieux de recherche intérieure, n’est-ce pas pour prendre ce que la société n’est pas capable de

Egalité Fraternité 6) L’apprenti 7) Le compagnon 8) Le maître 9) Les hauts-grades 10) Foi Espérance et Charité 11) Vie maçonnique 12) L’engagement dans une fausse liberté 13) Le vocabulaire à revoir 14) Pour une Franc-maçonnerie moderne 3 2 Prologue Une bonne petite claque pour commencer : Ce n’est pas parce que des gens intelligents croient à des sottises que cela rend la sottise moins sotte. Jean Rostand. Il y a une première franc-maçonnerie. Celle des travailleurs, des constructeurs. Celle