Le Meilleur Gouvernement Est Il Celui Qui Gouverne Le Moins

DEMOCRATIE FRANCAISE I) Du gouvernement représentatif à la démocratie représentative : Bernard Manin : « comment pouvons nous ne pas pratiquer le tirage au sort nous qui nous proclamons démocrates ? » En s’interrogeant sur cette citation il est ambitionner de s’interroger sur le processus qui a tendu a naturaliser le système représentatif et sur celui qui en contrepartie a tendu a décrédibiliser les autres. C’est que le tirage au sort ne procède pas seulement ‘une technique mais est

c'est le cas des Barbares ; le cadre de la vie politique qu'est la polis est le mieux à même de développer l'âme humaine : il y a une téléologie de la vie politique ; un bon gouvernant est celui qui sait aussi être commandé ; les trois éléments à l'œuvre dans la Cité sont l'Un, le "petit nombre" (les meilleurs [aristoi]) et le "grand nombre" (la plupart [oi polloi]). L'intérêt de l'ouvrage d'Aristote est de révéler le rôle de chacun de ces éléments, en faisant varier le curseur de l'un à l'autre

souveraineté du peuple. Seul le peuple décide et vote les lois. Il est le seul à détenir le pouvoir législatif. Le peuple est une unité de volonté qui se constitue par une unité sociale. Il n’est qu’un. Le pouvoir exécutif qui se traduit par un gouvernement peut prendre plusieurs formes spécifiques à chaque peuple. Il semble que la phrase suivante résume assez bien l’idée de Rousseau : « Il ne faut plus se demander à qui il appartient de faire des lois, puisqu’elles sont des actes de la volonté générale

Chapitre Chapitre Chapitre 3.1 : 3.2 : 3.3 : 3.4 : 3.5 : 3.6 : 3.7 : 3.8 : 3.9 : 3.10 : 3.11 : Du gouvernement en général Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement Division des gouvernements De la démocratie De l'aristocratie De la monarchie Des gouvernements mixtes Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout pays Des signes d'un bon gouvernement De l'abus du gouvernement et de sa pente à dégénérer De la mort du corps politique Jean-Jacques Rousseau (1762), Du contrat

Deuxième condition : communauté des femmes et des enfants (457c-473b) 3. Troisième condition : le Philosophe-Roi (473b-541b) 3. 1. Qu’est-ce qu’un philosophe ? (473b-488a) 3. 2. La mauvaise réputation des philosophes (488a-497a) 3. 3. Possibilité du gouvernement des philosophes (497a-502c) 3. 4. L’éducations des Gouvernants (502c-541b) 3. 4. 1. Théorie du Bien et de ses trois images (502c-521b) 3. 4. 2. Les cinq sciences propédeutiques (521b-531c) 3. 4. 3. La dialectique (531c-541b) 3. 5. Conclusion :

monde la mieux partagée". Nous sommes donc spontanément choqués par la thèse précédemment citée de Platon (« Aux uns, il convient par nature de goûter la philosophie et de commander dans la cité, aux autres de ne pas y toucher et de se soumettre à celui qui commande » -République, IV). Et si nous étions victimes d'un préjugé ? Ainsi, croire que la politique est accessible à tous, n'est-ce pas avoir une fausse conception de ce qu'est la politique ? N'est-ce pas confondre société et Etat ? La politique

z z z z z z CHAPITRE I: Du gouvernement en général CHAPITRE II: Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement CHAPITRE III: Division des gouvernements CHAPITRE IV: De la démocratie CHAPITRE V: De l'aristocratie CHAPITRE VI: De la monarchie CHAPITRE VII: Des gouvernements mixtes CHAPITRE VIII: Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout CHAPITRE IX: Des signes d'un bon gouvernement CHAPITRE X: De l'abus du gouvernement et de sa pente à dégénérer CHAPITRE

6 : Chapitre 3.7 : Chapitre 3.8 : Chapitre 3.9 : Chapitre 3.10 : Chapitre 3.11 : Du gouvernement en général Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement Division des gouvernements De la démocratie De l'aristocratie De la monarchie Des gouvernements mixtes Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout pays Des signes d'un bon gouvernement De l'abus du gouvernement et de sa pente à dégénérer De la mort du corps politique 4 Jean-Jacques Rousseau (1762)

CHAPITRE XII: Division des lois CHAPITRE I: Du gouvernement en général CHAPITRE II: Du principe qui constitue les diverses formes de gouvernement CHAPITRE III: Division des gouvernements CHAPITRE IV: De la démocratie CHAPITRE V: De l'aristocratie CHAPITRE VI: De la monarchie CHAPITRE VII: Des gouvernements mixtes CHAPITRE VIII: Que toute forme de gouvernement n'est pas propre à tout CHAPITRE IX: Des signes d'un bon gouvernement CHAPITRE X: De l'abus du gouvernement et de sa pente à dégénérer CHAPITRE XI:

« Le meilleur gouvernement est celui qui gouverne le moins ». Cette pensée qui ouvre le livre de Thoreau est celle qui le résume le mieux en terme de contenu et d’idéologie. Son écrit antiétatique et anti-gouvernemental est conduit du début à la fin par une volonté de défendre le concept de l’anarchie mais toujours en insistant sur le respect de ce qui est établi. Il ne faut pas détruire pour détruire, il faut savoir garder ce qui est bon et juste. Il s’emploie, au fil des pages, à dénoncer le gouvernement