Le Minimalisme

mise toute sa communication sur leurs vitrines. Renouvelées tous les 8 jours chez la marque ibérique, elle donne un avant goût de se que la consommatrice pourra trouver dans la boutique. Son agencement reflète l'esprit de la marque. Zara pense minimalisme, pas de fioritures, ni de couleurs trop vive: tout est lumière. La vision des vitrines de la marque apaise, et donne envie de rentrer dans l'enceinte de la boutique pour se faire plaisir. Ainsi, chez Zara, les vitrines sont largement utilisées

étroit entre lumière et silence. La force de son œuvre consiste à amener des formes nues à rayonner de manière paisible mais éloquente, créant le sentiment d’un vide « habité ». Il réduit les bâtiments à leur essence pour enchanter l’espace. Le minimalisme atteint par Kahn avec le béton nu a été poussé plus loin dans les années 70 par Tadao Ando, qui démontre que l’atmosphère d’un bâtiment s’exprime puissamment avec des moyens modestes et la présence de l’absence. Les architectes d’aujourd’hui qui

utilise des couleurs propres à la charte graphique de la marque (voir dictionnaire des couleurs) ● le graphisme → on doit retrouver toute l’identité de la marque, permet de valoriser le positionnement de la marque ● les tendances → simplicité et minimalisme, couleur V - La marque INPI : Institut National de la Propriété Intellectuelle La marque est au coeur de la stratégie marketing, c’est un capital pour une marque (une marque se vend) A) Définition de la marque C’est un mot, un nom, un slogan, un

Painting), Mark Rothko (Color Field Painting) et en Europe Dubuffet avec l’abstraction lyrique. A partir des années 1960, de nouveaux styles d’art voient le jour, notamment l’art cinétique, l’art optique, le Land art, l’Art pauvre, le Pop’Art, le Minimalisme, Performance art,… Conclusion La fin du XIXème siècle est « décadente », la fin du XXème est « postmoderne ». La première moitié du XXème siècle a été vécue en fonction des secondes guerres mondiales. Pendant ces périodes de guerre, les intellectuels

C’est la raison pour laquelle elle a décidé de placer au centre de l’es- pace la salle vidéo dans un monolithe noir, environné de cimaises blanches détachées des murs, ménageant des cadrages à échappées visuelles. Cette scénographie, d’un grand minimalisme, devait en effet répondre à la philosophie de l’artiste, pour se confondre avec elle. La scénographe a considéré qu’il fallait, en outre, mini- miser l’impact visuel des cartels. C’est la raison pour laquelle, elle opte la plupart du temps pour

plus tangibles. Sans aucune fonction particulière, ils opèrent comme des cadres dans lesquels une occupation indéterminée peut être menée par les usagers, dépendante du temps, de l’humeur, des besoins. Ce projet trouve sa résonance à travers son minimalisme mais surtout dans la redéfinition des éléments qui le composent: un ‘patio’ et un ‘jardin’ prennent ici une valeur particulière. Cela nous amène à aborder l’importance de la représentation au sein du travail d’OFFICE. L’aura2 qui semble se dégager

35 )© S ociété R om an 20-50 | T éléchargé le 28/02/2023 sur w w w .cairn.info (IP : 77.130.124.35)�� BRUNO BLANCKEMAN Dans villa amalia, elle se veut, à la semblance du style de la musicienne, détectrice et productrice d’« harmonie minimale». Minimalisme n’est pas ascèse, mais élimination des vanités. Cette recherche commande de façon équivalente les plans de la fiction et de l’écriture. La première propose une typologie sélective d’expériences qualifiantes. Elle énonce ainsi, bien plus qu’un

des études de communication, et je suis à la recherche d'un premier emploi dans le secteur de la publicité. Les dernières campagnes pour L.... B....et E......, que vous avez gérées, m'ont frappé par leur style résolument moderne et un certain minimalisme auquel je suis sensible, dans un secteur parfois exposé à la vulgarité. Pour cette raison, et dans l'idée de compléter ma formation en travaillant au contact des plus grands, je désire intégrer votre agence, ne serait-ce qu'en qualité de simple

formalismes du XXe siècle. A consulter sur YouTube, Water walk, performance sonore de John Cage, 1960 4’33’’ Première publication de ce texte dans Code Couleur n°6, janvier-mars 2010 UNE FIN (UN ACCOMPLISSEMENT)… 4’33’’ c’est bien sûr le minimalisme absolu en musique. Le silence ! Or, il y a là l’aboutissement d’une recherche collective, propre à une certaine modernité de la première moitié du XXe siècle, mais pas n’importe laquelle. Il s’agit de cet esprit d’avant-garde particulier (à l’opposé

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