Le Miracle de l'amour

Pangloss en réchappent par miracle. Dès leur arrivée à Lisbonne, se produit un épouvantable tremblement de terre. Candide et Pangloss participent eux opérations de sauvetage sont arrêtés pour propos subversifs et déférés à l'Inquisition. Pangloss est pendu et Candide flagellé. Une vieille dame le soigne et le mène de nuit dans une maison isolée. Il est présenté à une superbe femme : Cunégonde. Elle lui confirme qu'elle a été violée et éventrée, et que c'est par miracle qu'elle est encore en vie

exprimée en terme de mouvement, dans la forme , autant que dans les thèmes. Les artistes ont joué des contrastes, des éclairages, des effets de masse.L'iconographie religieuse a pris une teinte mystique à travers des scènes de martyre, d'extase et de miracle. la peinture baroque partage avec la sculpture la description outrée des personnages dont les gestes et les expressions exagérées, traduisent les passions humaines. Ce sont ces distinctions particulieres de l'époque que nous retrouvons dans cette

page 291 lorsque Prascovie pense « Prascovie ne reconnaissait pas dans les yeux d’octave-Labinski l’expression ordinaire des yeux d’Olaf celle d’un amour pur, clame, égal, éternel comme l’amour des anges». Nous pouvons voir que la comtesse remarque que quelque chose ne va pas, un sentiment étrange la tourmente. L’amour sincère et éternel qui unissent la comtesse et Olaf Labinski ne se voit pas dans le regard du faux comte et donc cela lui fera se poser beaucoup de question jusqu’à même douter de l’identité

triste", avec cette allitération de la dentale "t", la répétition comme un martèlement de ce son, Eluard insiste sur la période noire qu'il vient de traverser après la mort de Nusch. Cette rencontre, il y adhère tout de suite par un "oui", celui de l'amour comme celui que l'on doit prononcer pour se marier. Mais elle est jeune, très jeune, c'est une "petite fille" qui avec 19 ans d'écart pourrait être sa fille, il l'aime donc comme "un garçon ne peut aimer que son enfance" avec les yeux étonnés de l'enfance

sentiment religieux qui habitait le primitif, le philosophe grec, le guerrier gaulois, le prêtre égyptien, le bâtisseur de cathédrales, l’homme du XVIII° siècle est le même que celui qui anime l’homme du 3° millénaire. Le sentiment religieux − avec l’Amour − était au commencement, chevillé au cœur de l’homme, « cet ange déchu qui se souvient des cieux ». « À l’origine, dit Lucrèce, c’est la crainte qui fut la première mère des dieux » ; la crainte des hommes en face d’une nature hostile, qui commandait

Hugo où l’atmosphère dramatique croît au fur et à mesure que la nuit s’assombrit. D’abord baignée par le « clair de lune » (page 562), elle devient « fort obscure » (page 565) et accompagne la violence et les combats. La lune se voile ; la Cour des Miracles devient « obscure », sans aucune lumière ; les « ténèbres » l’emportent (page 564). Dans L’énigme des Blancs-Manteaux de Jean-François Parot, c’est une nuit qui est éclairée uniquement par la lune. La lumière est « livide » (page 11). Elle peut

une femme que l’intrépidité d’un homme qu’elle aime.”“C’est un fond excellent de revenu pour les petits, que la sottise des riches et des grands.”“On ne ferait pas une divinité de l’amour s’il n’opérait souvent des miracles.”“Combien trouve-t-on de déserteurs de la sévère vertu et combien en trouverez-vous peu de l’amour?”“Otez-la moi, cette vie odieuse et insupportable, car, dans le désespoiroù vous me jetez, la mort sera une faveur pour moi.”Points de vue narratifs:2 situations d’énonciation:point

entraîné en enfer comme châtiment de ses fautes et de son refus de se repentir. Mais les Cronicas de Sevilla et les archives des familles Tenorio et Ulloa sont muettes. Les noms des personnages ne sont pas fictifs mais pas de disparition suspecte ni miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché. → Succès de la pièce L'Abuseur de Séville du moine espagnol frère Gabriel (Tirso de la Molina, 1630) : mise en scène d'un personnage de jeune débauché avide de jouissance, personnage assez

puissant Atrée, Vous possédez des Grecs la plus riche contrée. Du sang de Jupiter issu de tous côtés, L'hymen vous lie encore aux dieux dont vous sortez : Le jeune Achille enfin, vanté par tant d'oracles, Achille, à qui le ciel promet tant de miracles, Recherche votre fille, et d'un hymen si beau Veut dans Troie embrasée allumer le flambeau. Quelle gloire, Seigneur, quels triomphes égalent Le spectacle pompeux que ces bords vous étalent, Tous ces mille vaisseaux qui, chargés de vingt rois

public... On l'ignore mais c’est original pour l’époque. Toujours au 10-11ème, il y a certains clercs qui vont s’amuser à reprendre les connaissances antiques, à actualiser les pièces de théâtre avec des thématiques médiévales voire profanes comme l’amour courtois. Nous avons comme exemple : Lidia, Miles gloriosus, Vital de Blois réadapte l’auteur Plaute avec la pièce Aulularia. Ces pièces restent des productions indépendantes, marginales, qui sont à part et n’auront pas d’impact direct sur la création