Le Mondain Ironie

champ lexical du religieux ? Il y a ironie dans la mesure où la servante utilise le vocabulaire du maître, mais pour le détourner : elle feint de prendre à son compte un discours qui n’est pas le sien, tout en marquant le caractère irrecevable de celui-ci. Ainsi, l’ironie vise ici à faire prendre conscience de l’absurdité de la situation et de la réaction d’Orgon. 4)Tartuffe : toujours absent de l’espace scènique Le parasite : le motif de l’imposture mondaine Le parasite Quelle image de Tartuffe

de sa mort prochaine. Il en a une telle hantise qu'il éprouve la nécessité de se détourner, de fuir cette image misérable de lui-même par le biais des divertissements. Tous les moyens lui sont utiles : jeux, conversations, plaisirs liés à la vie mondaine, charges, guerres, etc. Cependant, le bonheur qu'il peut en retirer n'est pas véritable, puisqu'il repose sur la vacuité. Si l'homme est malheureux c'est parce qu'il est en fait privé de Dieu; ainsi celui qui consacrera sa vie à dieu sera pleinement

du péjoratif « Galeux » + démonstratif III. Satire de la cour où la parole est pouvoir a) Hypocrisie du roi ou la parole pouvoir * Situation peinte : Grave. Mais Lion adopte ton tql presque léger : * « Mes chers amis » adresse mondaine mais hypocrite aux vues des évènmts * Modalisateurs « je crois », « p-e » Désinvolture = Fruit de son assurance * Décisions qu’il prend = Non discutables * Recours au subj « que le plus coupable de nous(…) (v.18) * Les impératifs

(Tartuffe n’entre en scène que très tard). Ici, Molière a choisi de faire parler d’emblée son personnage pour qu’éclate au grand jour son caractère d’atrabilaire, d’autant mieux « typé » qu’il entre en contraste (d’où un effet comique) avec celui du mondain Philinte. 2. La satire de caractère Le caractère du Misanthrope est ambivalent. D’une part on peut y voir un idéaliste, un défenseur acharné de la vertu propre à s’attirer l’admiration de tous. Son rigorisme moral se manifeste dans l’usage de verbes

Chapitre XVI I. L’argumentation A) Une succession d’arguments - « ne dites jamais mon amant ; il y a quelque chose de mondain qui pourrait offenser Dieu » : dans l’intérêt de Dieu, du Bien, de la religion = met Mlle de St Yves en confiance. - N’est « votre époux » qu’ « en idée » : pas un péché, pas un adultère = raisonnement basé sur une contradiction, arguments par syllogisme. - Bonnes intentions = essentiel : « l’intention est pure ». - Rien à se reprocher : « tout ce qui était en elle

autosatisfaction > il ressent physiquement son succèsSoleil : victoire totale, image radieuse de son avenirII. Ironie du texte Les sentiments du personnage(l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe- presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10)G.D retrouve vite ses esprits lorsqu'il voit Mme de Marelle - capable de prononcer des paroles mondaines (l. 29) chargées de non-dit - "gaiement" : le personnage reprend le dessus - Maîtrise absolue.

décédée lorsqu'il était encore très jeune, à l'âge de 7 ans, il fait des études, il devient alors écrivain, poète et philosophe. Il tente également des expériences agronomiques et sociales. Il fréquente les personnes riches et cultivées, c'est un poète mondain. Voltaire critique la guerre, l'économie et le régime politique français qui est basé sur le droit divin. Contraint à l’exil, il se déplace donc en Europe : en Angleterre et en Lorraine. Là, Voltaire a connu une liberté qui n’était pas du tout concevable

Dame fourmi trouva le ciron trop petit / Se croyant, pour elle, un colosse •conclusion en un raccourci saisissant v. 25-26 Jupin les renvoya s’étant censurés tous, / Du reste, contents d’eux.
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 AXE III  L’ŒUVRE D’UN MORALISTE IRONIE La Fontaine dénonce avec ironie la vanité de tous ces jugements Mise en valeur du caractère péremptoire et de la virulence des dénigrements 13 Jamais, s’il veut me croire, il ne se fera peindre ; v. 18 c’était une masse informe et sans beauté        b)   Leur

de Mme de Beauséant). l.21 « les charmes d’un brillant débuts » mots forts, tendance à l’exagération l.23 « jusque ces vieux jours » exagération -> le narrateur veut rompre le charme et ramener R. à la réalité. -(l.24) Le sourire sardonique ->ironie volontairement méchante de Vautrain. Effet de redondance sur le jugement que le narrateur vient d’exprimer. -R. se met en spectacle (l.23), il raconte ses succès au père Goriot et aux pensionnaires (=public). Il est tjs sous le charme de sa soirée

ressent physiquement son succès Soleil : victoire totale, image radieuse de son avenir II. Ironie du texte * Les sentiments du personnage (l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe - presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10) G.D retrouve vite ses esprits lorsqu'il voit Mme de Marelle - capable de prononcer des paroles mondaines (l. 29) chargées de non-dit - "gaiement" : le personnage reprend le dessus - Maîtrise absolue.