Le Mondain Ironie

s’interroger sur les pouvoirs de la parole. La rhétorique faussée des puissants est dénoncée sans cesse par l’ironie du narrateur, qui en révèle les réelles motivations. Le ton tranquille et presque léger du lion, sensible dans l’adresse un peu mondaine : « mes chers amis », tranche déjà avec la gravité de la situation, singulièrement atténuée par les euphémismes royaux : « cette infortune » « de tels accidents ». Des modalisations nuancées comme « je crois que », « peut-être » indiquent qu’il parle

noce. Pdv de l’extérieur vers l’int. Motif littéraire important ds le roman. - 1er ensemble : arrivée voitures et convives. Point focal = Bertaux, « on » regarde. Mélange de foca externe + omnisciente. Regard critique, moqueur du narrateur car ironie, caractérisation, ridicule. - 2ème ensemble : cortège de la noce. Ellipse narrative de la cérémonie. Mentions des pers ppaux du cortège coloré, paraît gai. Entouré par ménétrier (présence symb), Emma enlève chardons (symb de paysannerie), Charles

l’opposition entre les ongles aristocratiques et la main elle-même, que Charles ne trouve pas belle : les ongles essayent d’imposer un paraître aristocratique, la main renvoie aux tâches ménagères : manque de pâleur (pâleur : beauté et oisiveté mondaine opposée au hâle du travailleur), sécheresse, absence de mollesse (encore un signe de travail, et ici de travail de ferme). Tout ceci est nettement renforcé par l’accumulation d’adverbes souvent dépréciatifs (« pourtant », « point », « un peu », « trop »)

nous entraines dans une prise de parole où Montesquieu se met alors à la place de l'esclavagiste .Celui-ci, faisant l'objet d'une machine de production est considérablement juger. Montesquieu l'aura compris , ses arguments détournés avec ironie . Le noir n'est pas une couleur à la mode de l'époque et pourtant très convoité. Il devient alors une main d'oeuvre exploité et qui ne coûte rien il est donc une marchandise, qu'on se débarasse soutenant que sa race est mauvaise. Le nègre

l’incompréhension du « je ». Acis est le représentant d’un groupe de personnes (les mondains) : « vous et à vos semblables » + périphrase « les diseurs de Phoebus » désigne les personnes qui usent de formes d’expression tellement complexes, artificielles et affectées qu’elles en deviennent obscures. Critique de la vanité de ces personnes par le comparatif de supériorité : « avoir plus [d’esprit] que les autres. » + ironie acerbe. Ils servent de contre-modèle, ils sont à l’inverse de l’honnête homme

sens digne » .rousseau revient sur cette proclamation peut-être imprudente : est-il bien certain d’avoir toujours placé sa vie sous l’impératif inconditionnel de la vérité ? Un ami, l’abbé Rozier, s’était une fois adressé à lui, non sans souriante ironie : vitam vero impendenti, « à celui qui a entrepris de placer sa vie sous le signe de la vérité »… Un tel titre ne serait-il pas usurpé ? « Pourquoi ce sarcasme ? Quel sujet y pouvais-je avoir donné ? » Pour être assuré qu’on ne ment pas, il faut

différentes scènes (pages 7-16) Bonne lecture ! Résumé On est au XVIIe siècle dans le salon du bourgeois Orgon. Madame Pernelle, sa mère, s'apprête à quitter la maison et reproche à sa belle-fille et à ses petits-enfants leurs habitudes mondaines, alors qu'Orgon a accueilli chez lui un dévot personnage du nom de Tartuffe, dont, prétend-elle, tous feraient bien de suivre l'exemple. Chacun s'indigne de ces propos : Tartuffe est un hypocrite, un misérable aventurier, qui, sous prétexte de religion

Montesquieu de dénoncer de différentes manières l'esclavage : la mauvaise foi, détournement de la religion, la présentation comme sûr d'éléments douteux, l'égoïsme et le cynisme. On le voit ce texte est brillant dans sa forme et ingénieux dans son ironie. C'est une véritable dénonciation de l'esclavage. Mais cependant, il faudra attendre 1848 pour que l'esclavage soit complètement aboli en France. | CommentaireintroductionCe passage est un extrait de De l'Esprit des Lois, traité de sociologie politique

n’y a plus rien à dire ni à souhaiter ». Opposition à la conception classique et à l’idéal de l’amour unique du Moyen-Age B- Impossibilité de résister à l’excitation de l’inconnu, au désir du désir D-J raille le sacrement du mariage, ligne 3 à 6=ironie de l’antiphrase « la belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle »=adjectif « faux » qui souligne l’ironie Personnage esthète qui jouit de toutes les situations de séduction, « la beauté me ravit partout », auxquelles il est

« L’Éducation sentimentale (de 1867). Son baccalauréat obtenu, le jeune homme commence, sans aucun enthousiasme, des études de Droit à Paris. Il fréquente les milieux artistiques (le salon du sculpteur Pradier) et se lie d’amitié avec des hommes de lettres mondains. Tout cela, pourtant, lui demeure extérieur : son idéalisme de jeunesse est blessé par ce monde superficiel et il se transforme dans un dégoût de la vie, dans un refus de l’action, dans une dérision générale du réel, que seul l’Art peut « racheter »