Le Mondain Ironie

Les américains étaient aussi plus ironiques, plus impersonnels, et plus mondaines, ils critiquaient la société non pas plus ouvertement, mais plutôt d’une façon plus directe, plus agressive, avec des images plus faciles qui transmettent un message plus clair mais tout aussi intelligentes. D’une autre côté, les britanniques étaient plus académiques et représentaient la société américaine à travers les paradoxes, plus qu’avec ironie et plus d’humeur, ceci est du en partie parce que les britanniques avaient

préface, sous couvert de modestie, qu'il ne reprend pas le même procédé que Théophraste, répété de caractère en caractère : partir d'une définition du vice à traiter puis énumérer les comportements qui le manifestent. On rappellera que le public mondain se plaisait, dans les salons, au jeu des portraits : on pourra lire la fameuse scène du Misanthrope (II, 4) ou Célimène croque et exécute en quelques phrases certains courtisans de sa connaissance. Un écrivain qui se mêle de faire des portraits

(l 11). Elle souligne ainsi son inaptitude au rôle « mondain »(l 12) par différentes affirmations (l13). Elle considère que l’étude est essentielle à la vie (elle est définie comme « ma vie même » l 24) Le programme de ses études semble même, particulièrement chargé(l 20/21). Elle ne prête pas attention aux conversations (« les choses dont on parlait autour de moi ne m’intéressait pas »), elle se considère inapte aux « conversations mondaines » et préfère la réflexion et l’analyse ( l 26/27) L’idée

roman des invertis qu’on appelait des « jésus », et du petit peuple de Paris. Romans-feuilletons La littérature, très populaire, des romans-feuilletons est volontiers cocardière, gouailleuse, et ses héros, apprentis détectives, malfaiteurs mondains ou sublimes vengeurs, bafouent une société corrompue et défient la police. Arsène Lupin comme Fantomas ne s’en prennent qu’aux riches. Gaston Leroux (1868-1927) est un pionnier du roman policier insoluble ou fantastique (1907, « Le Mystère de la

s'inspirant de la structure d'un conte, dans le but de contourner la censure, tout en restant compréhensible. Effectivement, sous le voile de la fiction se trouve la plume de l'auteur, constituant la pensée de ce dernier. Pour s'adresser à des lecteurs mondain et influent, il est nécessaire de piquer leur curiosité pour leur ouvrir les yeux sur les réalités sociales ou culturelles qu'ils ne savent ou ne veulent pas discerner. Étant également une manière pour les philosophes de défendre leurs idées, ce genre

de brillante étude au collège jésuite Louis-le-Grand suivit d'étude de droit mais il opte finalement pour une carrière littéraire . L'abbé de Châteauneuf l'introduit dans le milieux de la haute société il fréquentent alors les salons libertins et mondains .Au début de sa carrière il créer des écrits satirique contre 1 Régent ce qui lui vaudra 11 mois de prison à la bastille(1717). Il s’exile en Angleterre à la suite de son emprisonnement du à une querelle avec le chevalier de Rohan , c'est là bas

est alors considéré comme le plus grand poète de son temps, ce qui confirme l'eclatant succès de la tragédie Zaiire (1732). En 1734, ses Lettres philosophiques enfin achevées connaissent un succès de scandale, de même que le poème provocateur le Mondain (1736). Il est rappelé à Paris où il est nommé historiographe du roi en 1745. Parallèlement à son travail d’historien, il commence à rédiger des contes satiriques, Zadig (1748) et Micromégas (1752). Il accepte l’invitation de Frédéric II de Prusse

philosophe aguerri comme le démontre la sagesse de ses écrits Rica : Jeune homme très gai et vif d’esprit, il s’attaque aux institutions les plus respectées telles que les allusions sur le paradis, le pape et même le roi de France. Il est plus mondain et fréquente souvent les salons parisiens, il est tendre et doux avec les femmes. Rhédi : c’est le plus philosophe des correspondants d’Usbek et c’est lui qui l’interroge sur l’utilité des sciences, sur la dépopulation de la Terre et bien d’autres

“Prenez-y garde”, “Ne vous en étonnez-pas”. Les questions oratoires, elles aussi, jouent ce rôle, pour souligner des paradoxes : “D'où vient que …”, “Qu'est-ce autre chose que… “. Pascal retrouve par là le jeu des énigmes, pratiqué dans les salons mondains. === Il se crée un lecteur à sa mesure, curieux mais un peu naïf, dans la mesure où il pourrait croire en la grandeur de l'homme, lecteur auquel il prend plaisir à ouvrir les yeux. Il évite ainsi le risque propre à l'essai philosophique, d'être

ingrédients (« pain », « pommes de terre », « chou » (l. 19-20)) et auxquels la viande manque au point de provoquer « une fête » (l. 22) quand elle est présente. Les deux familles présentent des symétries que le narrateur se plait à souligner avec ironie (tout semble aller par paire : « deux » est récurrent ; la composition des progénitures s’inverse : « trois filles et un garçon » pour les Tuvache, « une fille et trois garçons  pour les Vallin). L’ironie est » aussi lisible dans le lexique (« produits