Le Mondain Ironie

donc accumuler en un minimum de temps différents arguments décisifs. Ex : entre l'argument 6 et 7 : d'un raisonnement par analogie basé sur une perception gratuite des Egyptiens, on passe à une réflexion qui paraît venir d'une conversation entre mondains (l.18-21), ce qui permet à Montesquieu d'égratigner au passage la passion des nations civilisées pour l'or et de rappeler que, dans la traite des nègres, le troc se fait contre de la verroterie, et donc constitue un vol. 3. Des traits de bouffonnerie

qui firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au xviiie siècle, sont aujourd’hui largement négligées ou ignorées. La réputation de Voltaire tient aussi à son style, marqué par l'élégance et la précision, et souvent au service d'une ironie mordante. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir qui l'embastille et le contraint à l'exil en Angleterre ou

L’écriture de Voltaire a souvent été l’expression de son ironie et des méfaits des théories providentialistes en vogue au XVIIIe siècle, tel qu’on peut le voir dans : Lettres philosophiques, ouvrage polémique publié en 1734, Le Mondain ou l'Apologie du luxe publié en 1736, Essai sur les mœurs et l'esprit des nations de 1756 et même Candide ou l'Optimisme publié en 1759 qui fera l’objet de notre étude. Dans ce petit roman fantaisiste et conte philosophique, l’auteur narre en trente chapitres l’histoire

Sabatier, rencontrée en 1852 et que Baudelaire a adorée muettement cinq ans durant, jusqu'en 1857, lui adressant des poèmes anonymes remplis d'une ferveur mystique et sensuelle. Madame Sabatier a fait de sa part l'objet d'une idéalisation. C'était une mondaine, richement entretenue, amie des Arts et des Lettres, qui s'est offerte une seule fois à Baudelaire, pour le récompenser de son adoration. Le lendemain, Baudelaire lui adresse une lettre de rupture. Les poèmes inspirés par Madame Sabatier forment

repoussent si vivement que les deux amants rejetés et humiliés, cherchent à se venger. Ils envoient leurs valets, Mascarille et Jodelet, déguisés en marquis avec des manières précieuses pour séduire les filles par leur « bel esprit ». Leur cour est si mondaine et leur comportement si affecté qu ils charment les Précieuses jusqu à ce qu elles découvrent finalement qu elles ont été scandaleusement abusées. 2.- Des caractéristiques de l'époque et de l'oeuvre Tout d'abord l'époque: il s'agit du XVIIè

temps différents arguments décisifs de la thèse exposé dans le texte. Ex : entre l'argument 6 et 7 : d'un raisonnement par analogie basé sur une perception gratuite des Égyptiens, on passe à une réflexion qui paraît venir d'une conversation entre mondains (l.18-21), ce qui permet à Montesquieu d'égratigner au passage la passion des nations civilisées pour l'or et de rappeler que, dans la traite des nègres, le troc se fait contre de la verroterie, et donc constitue un vol. Ce qui permet à Montesquieu

« pianiste célèbre » dit-il et n’a qu’un auteur de variétés. La situation se voit renversée et l’est notamment à cause de Vincent car il n’a pas « l’habitude de la pauvreté ». Ce renversement des relations est décrit par le narrateur avec humour et ironie en créant un décalage entre la réalité et l’intériorité du personnage, par des paroles illusoires telles que « mon choix personnel » qui n’est en réalité que l’illustration du bon vouloir de sa femme. Il devient un jouet, un petit toutou, un « grand

qu’il dit p. 44. il serait un être d’exception, un Hercule moderne ? Chap. III : Passe-temps de Mouret : épier son nouveau locataire. Individu curieux, aux manières étranges. C’est un amusement pour lui, qui le tire de la monotonie quotidienne. Ironie de Zola : « le premier prêtre qui tombait dans son existence l’intéressait à un point extraordinaire. » (même mot que p. 43 !). Mouret se vexe vite : les Faujas ne sont pas assez actifs pour qu’il y ait matière à focaliser son attention sur eux. Il

d’aristocrates, qui, selon les valeurs traditionnelles de la noblesse, sont censés être initiés à l’art du combat à l’épée. De plus, cette réception révèle l’égoïsme et la pingrerie des mondains. D’une part, l’assaut est censé être organisé au profit des orphelins du sixième arrondissement, mais le narrateur souligne avec ironie à la fin de l’épisode que les bénéfices sont bien minces : « Les dames patronnesses avaient recueilli plus de trois mille francs. Il resta, tous frais payés, deux cent vingt francs

refuse ce mot en « se levant brusquement » (v.9), il lui « déclare net [qu’il ne l’est] plus » (v.12) refusant de l’ »excuser » (v.16), reprochant à son ami Philinte de se livrer à la flatterie. Ici Alceste condamne les faux-semblants de la société mondaine. Il refuse l’esprit de conciliation invoqué par Philinte, et déclare tous les hommes haïssables à travers sa tirade. De plus ici une action nous est révélée. Pour cela, Molière s'exprime à l’aide de vers, des alexandrins, parmi lesquels on