Le Monde Sauvage

l’éducation « sauvage », proche de la nature, dont a eu droit l'Huron en grandissant immergé dans une culture amérindienne. Le narrateur rattache l'évolution rapide de l'esprit du sauvage à son éducation naturelle : « développement rapide de son esprit était du à son éducation sauvage. ». Le narrateur contraste cette éducation avec celle reçu dans le monde « civilisé » d'occident : « il n'avait point appris de préjugés ». En effet le narrateur met en lumière les préjugés qui règnent le monde social, et

Relations exclusives s’éternisant mal vues. « Chacun appartient à tous les autres ». Lenina avoue qu’elle commence à se lasser de Henry + attirée par Bernard Marx. Pourtant Bernard mauvaise réputation: solitaire Il invite Lenina visiter réserve sauvages. Fanny trouve Bernard laid pour Alpha-Plus. Son air plait à Lenina. Henry s’étonne qu’un collègue ne soit pas sorti avec « pneumatique » Lenina. Conseille de l’essayer. Bernard entend conversation, écœuré parler Lenina comme morceau de viande.

l'auteur s'interroge sur le regard que l'Europe porte sur les indigènes du Nouveau Monde, souvent qualifiés de "sauvages" ou de "barbares". Sans avoir voyagé mais instruit par son secrétaire qui, lui, avait participé à une expédition vers ces nouvelles terres, et par ses lectures, Montaigne remet en cause cette vision européenne de l'Autre. Nous montrerons ainsi ce que met en jeu l'interrogation sur le Nouveau Monde. Après avoir analysé comment il prend en compte l'Autre, nous montrerons que la forme

« Sauvage » est un mot que la plupart des gens emploient pour parler d’un peuple vivant hors de la civilisation. Le corpus proposé rassemble quatre documents de genres différents (roman, étude, peinture, couverture de livre) ayant pour thème « le sauvage ». À travers une analyse littéraire de ces différents supports, nous tenterons de montrer comment les auteurs expriment l’image de ce dernier. Le premier élément qui ressort de ces documents est la notion de partage, d’hospitalité. On retrouve aussi

conversations des uns et des autres s'enchaînent,, se croisent jusqu'à la fin de chapitre. Lénina entre dans l'ascenseur dans lequel de nombreux hommes qu'elle a fréquentés se trouvent. Elle se dirige vers Bernard Marx et lui demande devant tout le monde si leur projet de voyage ensemble au Nouveau-Mexique tient toujours. L'homme est très gêné et elle sort avant qu'il n'ait le temps de lui répondre. Elle rejoint Henry qui l'emmène en hélicoptère faire un tour de Golf-Obstacles. Bernard est un homme

du XVIIIème siècle. Ce texte se rapproche des dialogues traditionnels avec le sauvage, dont l’origine peut se trouver chez Jean de Léry, auteur du XVIème siècle, et qui seront également exploités par Voltaire dans L’Ingénu. En effet, Diderot fait dialoguer et débattre un sauvage et le représentant emblématique de la pensée européenne : l’aumônier. Cependant, à la différence du texte original, le Voyage autour du monde de Bougainville, ou du conte philosophique écrit par Voltaire, le débat ne porte

du mot sauvage en comparant les hommes du Nouveau Monde aux fruits2ème mouvement : Art#natureRetournement de situation la culture étant supérieur devient inférieur à la nature On appuie notre propos avec les termes négatifs =altérer, détourner, corrompuL’homme civilisé a détruit la nature # sauvage ,l’homme originel qui vit en harmonie avec cette nature, le fruit sauvage est considéré meilleur qu’un fruit de l’agricultureLigne 8-9: L’analogie entre l’homme sauvage et le fruit

culture. Les colons n'ont vu aucun point positif qui aurait pu être susceptibles d'améliorer la culture Européenne. Ils se sont bornés à traités les Indiens comme sauvage et à se dire qu'ils étaient supérieurs à eux. On peut prendre un exemple de Jean-Claude Carrière dans la Controverse de Valladolid. Sépulvéda dit : « les habitants du Nouveau Monde sont des esclaves par nature. En tout point conformes à la description d'Aristote ». Il emploie même un argument d'autorité pour renforcer son idée qu'il veut

et leur place dans la société très différentes. D'ailleurs c'est en partant avec elle sur une réserve de sauvages, où l'insalubrité, la religion et la viviparité subsistent comme au début de l'humanité, qu'il découvre qu'un sauvage tout aussi exclu que lui. Il le ramène donc dans son monde et cela lui permettra de trouver une place reconnaissante dans sa société. Mais, lorsque le sauvage ne voudra plus recevoir de mondes , il reviendra à sa place et perdra le respect et la célébrité. A la fin

important, comment l’autre est-il perçu ? Développement : I- Le portrait élogieux des cannibales 1- Des qualités de civilité : * Il ya le savoir vivre, la politesse, connaître les règles de la vie en société. => Paradoxe entre « sauvage » ( =Qui vient de la forêt) et « civilité » * Au début du texte, nous retrouvons une énumération (lignes 7 et 8) ; Ligne 6, ils font preuve de Patience : «  Le roi parla à eux longtemps .» Ligne 7, « Après cela » Lignes 8 e t9, « Demanda leur