Le Monologue Dialogue Déguisé

fonction du déguisement du bouffon, le bouffon a faillit étrangler le roi. Expressionnisme : pantomime très évocatrice. La reine a mesuré l’inanité du personnage du bouffon. Le roi n’est qu’un bouffon malgré ses habits de roi ( : le bouffon était déguisé en roi). Réécriture de la farce, sous le jeu, le roi exprime sa colère contre le bouffon qui a réussi à obtenir l’amour de la reine. Fernando Arrabal, Guernica, 1959 : connu pour son théâtre politique Fascisme représenté par le taureau. Personnage

Analyse linéaire du texte 5 : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Acte V, scène 3 : le monologue Scène qui représente le dénouement de la pièce. Ce monologue est un des plus longs de la scène française (ici nous n’en étudions qu’un extrait). Il permet de créer une pause dans l’action : le personnage, porte-parole de l’auteur s’adresse directement au public et l’action ne progresse pas : c’est un moment statique pendant lequel Figaro attend le développement de la « crise » engagée et l’arrivée

plusieurs fois. En lisant, notez vos premières impressions et les thèmes du texte au brouillon. La construction du plan vient après, une fois que vous aurez classé tous les aspects du texte. La première chose à identifier est le genre du texte (poème, dialogue théâtral, extrait de roman...) |Ce qu'il faut repérer |Les commentaires possibles | |- Le lexique |un ou deux des champs lexicaux

Utilisation dans la comédie C’est le type d’échange le plus souvent employé. Il permet les explications mais aussi les conflits. Exemples La première scène du Médecin malgré lui. Effets comiques Le dialogue peut entraîner un quiproquo amusant. Dialogue Stichomythie C’est un dialogue Conflit entre deux composé de répliques personnages. Urgence extrêmement brèves d’une situation. (parfois une monosyllabe) qui s’enchaînent très rapidement. Il s’agit d’une réplique longue et développée

Théâtre, Nathan, 1995. – Daniel Couty et Alain rey, Le Théâtre, Bordas, 1980. – André Dégaine, Histoire du théâtre dessinée, Nizet, 1992. – Bernard D ort , Théâtre/Public, Le Seuil, 1967 ; La Représentation émancipée, Actes-Sud, 1988 ; Le Spectateur en dialogue, POL, 1995. – Marie-Claude huBert, Le Théâtre, A. Colin, 1988. – Yannis kokkos, Le Scénographe et le héron, Actes Sud, 1989. – Tadeusz kowzan, Sémiologie du théâtre, Nathan, 1992. – Pierre Larthomas, Le Langage dramatique, PUF, 1972, rééd. 1990.

11. Pendant cette scène, des inscriptions illustrant ce qu'il dit apparaissent en surimpression sur l'image. 12. Couchés sur le capot de la BMW, Hassan et Mounir attendent de livrer la voiture au suivant ; alors que Malika sort d'un commerce, un dialogue muet entre elle et Hassan s'inscrit directement sur l'image comme s'ils s'envoyaient des sms (ou textos). 13. Les tentures de la chambre de Hassan se transforment en rideaux de théâtre ; toute la pièce se retrouve sur une scène de théâtre, face à

prédéterminées. Types de paroles Dialogue Stichomythie Tirade Monologue Caractéristiques Il est composé de répliques plus ou moins longues entre deux personnages au minimum. Utilisation dans la comédie C’est le type d’échange le plus souvent employé. Exemples Effets comiques La première scène du Médecin malgré lui. Le dialogue peut entraîner un quiproquo amusant. Il permet les explications mais aussi les conflits. C’est un dialogue Conflit entre deux composé

ailleurs, le déroulement de certaines scènes des deux tragi-comédies présente de nombreuses rencontres de détail sur le plan de l'organisation et de la formulation : - dans le premier acte (Dorimon, sc. 3/Villiers sc. 3), Dom Juan fait, dans un monologue, l'exposé de sa conception de l'amour : Je ne connus jamais un amour violent, Et ne veux d'Amarille être que le galant, En poursuivant ce bien jamais la jalousie N'arrêtera le cours de ma galanterie. Je me ris de l'espoir d'un langoureux

(cf. Héraclès, Ion, Les Troyennes) que le prologue raconte une tout autre histoire que celle qui va advenir et le prologue est loin d’exclure les surprises. Dans le prologue d’Andromaque, pas de dieu mais un monologue d’Andromaque puis un dialogue avec la servante puis à nouveau un monologue et une lamentation élégiaque, inhabituelle dans ce genre de structure. Les éléments de la tragédie sont posés, les personnages évoqués à l’exception d’Oreste, exception signifiante, qui réserve donc une surprise

répliques. 2. Le dialogue se limite à deux répliques de « Jean ! » à « salade », cernées de deux monologues. Le premier justifie les accessoires saugrenus. Le second dévoile les ambitions et les angoisses du personnage. Labiche recourt au monologue pour souligner la solitude du personnage, forcé de dissimuler une tare qui doit rester secrète : quand on ne connaît pas l’orthographe, on est bien seul ! 3. L’aparté que Jean marmonne en sortant de scène (l. 14-15) se rapproche du monologue dans la mesure