Le Mort qu'il faut

sans titrePhédon, PLATON I/ Résumé Socrate, condamné à mort, vit son dernier jour sereinement. Ses disciples qui lui rendent visite sont étonnés de son calme. S’engage alors un dialogue sur la mort et le devenir de l’âme. Il tente de démontrer à ses disciples deux postulats : l’âme est séparée du corps, et elle est immortelle. En effet, il s’inscrit dans une conception dualiste : l’âme est distincte du corps, et elle s’en sépare dans la mort. Le corps serait du domaine du perceptible, du changeant

trois personnes discutent de la mort. Les trois types de discours que vous avez étudiés dans la leçon 1 sont présents dans cette discussion. Associez d’abord chaque personnage à un type de discours, puis justifiez votre choix. Qu’est-ce qui vous permet de lier un personnage à un type de discours ? Donnez deux caractéristiques pour chaque type de discours. Mise en situation : Au salon funéraire Gisèle.— Comme c’est malheureux ! Il était encore jeune pourtant. La mort vient si vite ! On ne s’y attend

et homme d’Etat romain (-4 à 65 ap. J.-C.).Sénèque s’est suicidé sous l’ordre de Néron en s’ouvrant les veines.De plus étant trop vieux son sang est devenu trop dense et ne coulait pas assez vite ; alors on le mit dans une étuve pour accélérer sa mort. Lucilius, un jeune homme ami de Sénèque est prêt à faire son entrée dans le monde philosophique. Sénèque le guide dans les « Lettres à Lucilius » pour de venir un bon philosophe et il lui transmet sa sagesse, son expérience. ( Sénèque est épicurien

vivre comme les morts. Un seul désir suffit pour peupler tout un monde. L’enfance est un voyage oublié. L’éternité c’est long, surtout vers la fin. Une conclusion, c’est quand vous en avez assez de penser. Dès qu’il y a des gens qui bougent, les immobiles disent qu’ils fuient. La vie est une succession de paragraphes qui finissent tous par un point d’interrogation. Les passionnés soulèvent le monde, et les sceptiques le laissent retomber. Albert Guinon. Nous sommes tous les romanciers

prenons du plaisir et n'avons plus peur de l'inconnu. Cette angoisse nous fait appréhender ce qui va suivre notre passage sur terre. Dans cette citation, l'auteur nous explique que le théâtre nous ferait prendre conscience que la mort n'est pas une fin en soi et qu'il faut avoir compris cela pour vivre pleinement. Mais le spectateur peut aussi ne pas saisir le sens de la pièce et sa vie ne changera donc point. Meyerhold est un metteur en scène russe. Son but est de modifier les pensées des spectateurs

Il faut donc connaitre la matière pour pouvoir être serein. Ainsi dans cette lettre Epicure souhaite convaincre Ménécée d’adopter son mode de vie et donc qu’il change. Le bonheur est possible sur terre à condition qu’on élimine les sources de crainte et que l’on soit raisonnable. Plan : - L’intro : début->Bien vivre/ Philosophie = chemin vers le bonheur * 1ère partie : Commence-> s’en écarte/ Il ne faut pas craindre les dieux * 2ème partie : Prends l’habitude->qu’il dut ne

La mort, au sens biologique du terme est la cessassions complète et définitive de la vie. Elle n'est donc pas propre qu’aux hommes, mais a chaque être vivant. Pourtant, l'homme qui est le plus évolué des êtres vivants est le seul parmi les animaux à être doté de raison et de conscience. En effet l'homme pense, sait et agit, c'est ce qu'on appelé être conscient. Mais il sait qu'il pense, qu'il sait ou qu'il agit, que l'on appellera "prendre conscience et qui est le passage de l'un a l'autre. Mais

sait alors qui sont les témoins, et dans le dialogue, on apprendra l'attitude de Socrate face à la mort. Le thème générale est la question de l'âme, ce qui arrive à l'âme après la mort par exemple, si elle est immortelle. Platon est idéaliste, pour lui l'âme survit au corps, il se détache donc des philosophes précédents, qui eux pensaient souvent que l'âme et le corps ne formaient qu'un. « Et être mort consiste bien en ceci : le corps isolé, une fois séparé de l'âme, est devenu lui-même, tel qu'en

(notamment pour Johnny Hallyday). Il a écrit son récit autobiographique, La Traversée, en 1996 suite à son séjour en service de réanimation qui l’a conduit à « une expérience de mort approché ». Il y décrit ses émotions, et notamment sa peur de mourir, son combat pour rester en vie, sa traversée du tunnel et sa vie qu’il se remémore, sa reconnaissance envers le personnel soignant, ainsi que sa sensation de 2nde naissance. La chronologie de ce livre est faite sous la forme d’un schéma narratif

absolue et la soumission à la loi. En effet, l’autonomie a consisté dans le fait de se soumettre à la loi que j’ai volontairement choisi comme étant la mienne. Grâce à l’autonomie, il semblerait que l’homme puisse vivre en société tout en faisant ce qu’il veut. Mais cette autonomie requiert tout de même un travail sur soi car il est délicat d’enlever en l’homme toute dimension passionnelle et proprement désirante de la volonté. Au sens large du terme, faire ce que je veux semble donc manifester plus