Le Mort qu'il faut

car le personnage est affecté par la mort de son père et ce décès prématuré a créé une grande interrogation chez le personnage. De plus, à la fin de chaque chapitre, Alexandre témoigne des marques qu'a laissées la perte de son père, de ses impressions et de ses sentiments par rapport à sa mort. Il y a souvent une suite de questionnements à la fin des chapitres. Le Zubial lui a aussi appris sa façon d'aimer la vie et les femmes. Son père lui a montré qu'il faut aimer naturellement sans refouler ses

ANALYSE DU CRITON par Carole Proulx, Cégep de Trois-Rivières Autre titre du Criton: DU DEVOIR Auteur: Platon CLIN D’OEIL Schultz PRÉAMBULE • Socrate – Présentation – Rappel du procès • Contexte du Criton – Socrate condamné à mort – L’attente de l’exécution     Socrate (470-399) • Le « Père de la philosophie » • Le «  martyr » le plus célèbre de la philosophie • Il n’a laissé aucune œuvre écrite     PLATON (427-348/347) • Disciple de Socrate • 1ère source de connaissance sur Socrate

1940. Quand on est jeune, il ne faut pas hésiter à s’adonner à la philosophie, et quand on est vieux il ne faut pas se lasser d’en poursuivre l’étude. Car personne ne peut soutenir qu’il est trop jeune ou trop vieux pour acquérir la santé de l’âme. Celui qui prétendrait que l’heure de philosopher n’est pas encore venue ou qu’elle est déjà passée, ressemblerait à celui qui dirait que l’heure n’est pas encore arrivée d’être heureux ou qu’elle est déjà passée. Il faut donc que le jeune homme aussi

commence à connaître le succès au Palais-Royal en décembre 1665. En 1667, sa nouvelle tragédie : Andromaque, remporte un éclatant succès. L'héroïne est incarnée par la Du Parc, une actrice que Racine a enlevée à la troupe de Molière dès 1667, et qu'il a secrètement épousé. En 1668, pour rivaliser avec Molière, il risque une comédie : Les Plaideurs, qui est sa seule comédie en vers sur le monde de la justice. C'est un échec. En décembre, la Du Parc meurt empoisonnée dans des circonstances mystérieuses

LETTRE A MÉNÉCÉE Quand on est jeune, il ne faut pas hésiter à philosopher et quand on est vieux, on ne doit pas se lasser de la philosophie car personne n'est trop jeune ni trop vieux pour prendre soin de son âme. Dire qu'il est trop tôt ou trop tard pour faire de la philosophie, cela revient à dire que l'heure d'être heureux n'est pas venue encore ou qu'elle a déjà passé. Ainsi et le jeune homme et l'homme âgé doivent philosopher. Celui-ci afin de rajeunir au contact du bien, en rappelant à lui

et de confiance en soi ; puis nous montrerons que non, d'autres questions peuvent être prioritaires sur celle-ci, ou bien qu'il n'y a pas à s'en soucier avec l'amour, le recul nécessaire pour se rendre compte de sa vie et les existentialistes. Ensuite, nous passerons à la synthèse où on rappellera qu'est-ce qui nous fait nous questionner là dessus, avec la fatalité de la mort, puis ce qu'apportent les religions et on verra que la vérité se trouve à un juste milieu, notamment avec l'exemple du bouddhisme

se sont les questions creuses et fausses dont l’âme est troublée (peur des Dieux, de la mort et de la douleur). EPICURE considère qu’être heureux c’est retrouver la santé, être capable de résister aux perturbations et pour lui la philosophie nous aide, elle supprime les angoisses et plus généralement les douleurs. Voila pourquoi il parle de remède. EPICURE s’oppose également à la paideia c’est-à-dire l’idée qu’il faille un long entrainement avant de pouvoir philosopher. Il s’oppose à cela car il n’y

fabulistes nous apportent leurs propres visions de la mort. Par exemple, dans « La mort et le mourant », Jean de La Fontaine insiste sur l'importance du fait que la mort est proche de nous et qu'à tout moment de la vie elle puisse nous prendre, ceci étant une fatalité que peu d'entre nous acceptent. Il traite aussi de nos relations même face à la disparition, dans « La mort et le bûcheron » ( qui fonctionne exactement de la même manière que « La mort et le malheureux » sauf qu'à la place du bûcheron

=> Remise en question. Pour guérir, il faut apprendre à penser et s’opposer aux préjugés. LES CONDITIONS DU BONHEUR •NE PAS CRAINDRE LES DIEUX Epicure dénonce le rapport Hommes/Dieux. Les Grecs sont polythéistes et ils pensent que les Dieux dirigent leur vie. Ils doivent leur faire des offrandes pour améliorer leur existence. Il s’oppose à ces croyances. Pour lui, on ne peut pas être heureux si on pense que quelqu’un nous veut du mal et qu’il dirige notre vie, c’est se priver de liberté

L’exemple, le bon exemple donné par la peine de mort, nous le connaissons. Il a eu plusieurs noms. Chacun de ces noms exprime tout un ordre de faits et d’idées. L’exemple s’est appelé Montfaucon, il s’est appelé la place de Grève, il s’appelle aujourd’hui la barrière Saint-Jacques. Examinez les trois termes de cette progression décroissante : Montfaucon, l’exemple terrible et permanent ; la place de Grève, l’exemple qui est encore terrible, mais qui n’est plus permanent ; la barrière Saint-Jacques