Le Mort qu'il faut

année 11, Allée Camille Soula Philosophie Ancienne 31000 Toulouse Mme Mouze Philosopher, est-ce apprendre à mourir ? Il est extrêmement difficile de définir exactement ce que représente l’acte de philosopher, surtout qu’il existe de nombreuses opinions sur ce sujet, souvent très différentes ou même contradictoires. Cependant, une affirmation se retrouve chez plusieurs philosophes ou auteurs appartenant à des civilisations complètement différentes, dont Platon, Cicéron

jours qui suivent l’accouchement. Il ne suffit pas de naître pour devenir un sujet de droit, il faut naitre vivant et viable. En effet l’enfant mort-né n’a jamais été une personne juridique. Pour le droit il n’aura jamais été un sujet. De même l’enfant non viable, c’est-à-dire l’enfant qui ne dispose pas des aptitudes suffisantes pour survivre à sa naissance en raison d’une malformation ou parce qu’il est né trop tôt ne sera jamais un sujet de droit.ggggUn individu accède à la personnalité juridique

eudémoniste », mais pour l’atteindre il faut agir. Pour Epicure, il y quatre remèdes pour « prendre soin de son âme » et expose aussitôt ces quatre remèdes. Le premier est de ne pas craindre les dieux, le second est de ne pas avoir peur de la mort et enfin le troisième et le quatrième remède est de se dire que le bonheur est facile à obtenir et la douleur facile à fuir en faisant un tri parmi ces désirs. Ce texte traite donc du but de la philosophie, de la mort, de la croyance au dieu et du tri des

C H A P I T R E VI D’où procèdent les frayeurs de la mort omme un sage et prudent médecin examine soigneusement les causes de la maladie avant que d’ordonner le remède, et qu’un chirurgien expert sonde la plaie avant que d’y verser du baume, j’estime qu’il est fort à propos de rechercher par le menu d’où procèdent les frayeurs de la mort avant que d’entrer dans le détail des consolations que nous espérons de donner à l’âme fidèle. Car ayant reconnu les causes

Criton essaie de convaincre Socrate de s'échapper de la prison où il attend la mort suite à sa condamnation, rapportée dans l’Apologie de Socrate. Socrate refuse, imaginant ce que lui diraient les lois, sans qui il ne serait rien, s'il les violait en s'échappant. Il conclut que l'évasion constituerait une ingratitude envers les lois qui ont fait se rencontrer ses parents, qui l'ont éduqué et l'ont façonné tel qu'il est. Ce texte est très révélateur de l'importance de l'existence de lois et de la

délivre de la peur. De la définition des dieux il déduit qu'il est impossible de leur attribuer des faiblesses (comme le désir, la colère, la violence...) qui les rendraient dangereux pour l'homme. 3eme texte : Jusqu’à «  qu’il dût ne pas être » (L.88) : Dans ce texte il déploie une argumentation serrée pour nous délivrer de cette terreur de la mort qui, à chaque instant menace la tranquillité de l'âme. Argumentation pour établir que la mort n'est rien pour nous. 4eme texte : Jusqu’à «  comme un

et surtout qu’il ne faut pas avoir peur de la mort. Dans l’extrait étudier on parle du faite d’avoir peur de la mort et de craindre sont arrivé or Epicure nous dit que « la mort n’est rien ». Ce texte est composé en de trois parties, premièrement il expose ce que représente la mort pour lui, dans un second temps il explique pourquoi il ne faut pas avoir pur de la mort et enfin dans un troisième temps il finit par conclure son idée. Pour commencer il explique ce qu’est la mort pour lui

introduit de l’alcool dans le centre de formation alors que le règlement de l’établissement l’interdisait. Cet étudiant a ensuite profité d’une absence temporaire du professeur pour quitter l’établissement avant l’heure de fin des cours et a trouvé la mort dans un accident de la circulation. Les parents de l’étudiant ont fait citer le professeur devant le tribunal correctionnel pour homicide involontaire. Le professeur est condamné pour homicide

Dissertation dialectique sur la peine de mort. Faut-il réhabiliter la peine de mort ou la guillotiner ? Qu’en pensez- vous ? Depuis petite, j’entends qu’il faut remettre en route ce bon vieux mécanisme qu’est la peine de mort. Mais j’entends aussi l’inverse que le peine de mort est une affreuse chose qu’il ne faut surtout pas remettre à l’ordre du jour. Alors, moi, jeune filles de 16 ans, je me demande : « est-ce que la peine de mort c’est bien ? » Dans un premier temps, pour répondre

vite d’une chose, d’une différence fondamentale. Contrairement à l’animal, l’homme est conscient de sa mort future. L’animal est certes doué d’un instinct de survie mais il n’a pas réellement conscience qu’un jour il va mourir. L’homme oui. Dans la vie courante, beaucoup de nos actions, de nos agissements, de nos envies, de nos pulsions et de nos désirs, sont déterminés au fond par la peur de la mort. Cette fin inéluctable qui souvent nous terrorise et nous terrifie est en effet notre seule certitude