Le Mythe D Eros

les forces du « Cà »se disciplinent, il se produit un déplacement et une transfo de la libido ds un sens moral/social (tt ce que l’homme produirait par son W =>passage de Nature à Culture. La vie en sté exige modification des pulsions primaires (Eros/Thanatos), l’existence communautaire implique l’intervention d’une discipline collective notamment au niveau sexualité/agressivité. Ce renoncement ne sera pas vain, finalité positive : la Kultur. Satisfaction totale/immédiate des pulsions sans restriction=

dirige le vouloir) et hétéronomie (la volonté est désirante, pathologiquement déterminée par le sensible) Désir, plaisir – Passions – Démesure, accumulation – tempérance – désir et volonté. 2) Les deux faces du désir. Voir Le Banquet, de Platon, mythe de la naissance d’Eros. A la naissance de Vénus, il y eut chez les dieux un grand festin où se trouvait entre autres Poros [opulence] , fils de Métis [Intelligence, ruse] . Après le repas, Pénia [Indigence] s’en vint mendier quelques restes et se

corps ds un posture animal et sexuelle Le narratr expose le perso ds son environnemt, seul ds la nature, en dehors de la civilisation Le corps de J épouse la T, c°s’l lui faisait l’amr, posture primitive, connotat° sexuelle qui fait référence au mythe grec cosmogoniq : le Ciel Ouranos se maintient sur le ventre de sa mère Gais la Terre Mère nourricière, qu’il ne cesse de féconder La terre une force protectrice La nature empêche J de commettre un crime = adjvuvant La naure protège J de lui-même

maternel, romantique, fraternel, amical, etc. - sont des expressions différentes d'une même émotion fondamentale ou si chacune traduit un sentiment spécifique. Les philosophes grecs avaient pris soin de distinguer cinq ou six sentiments différents : Eros, divinité de l'amour, possédait un versant physique et vulgaire (Aphrodite) et un versant céleste (l'amour « platonique »). Aux côtés d'Eros proprement dit, il y avait aussi la philia (l'amitié), la storge (l'affection), l'agapè (l'amour de son prochain)

pénurie et pauvreté ; aux antipodes de la plénitude, il est au contraire incomplétude et détresse.Dans le Banquet, Platon développe un mythe afin de justifier sa position. Ce mythe est celui de la naissance d'Eros (l'amour, qui est également l'incarnation de désir), dont le père était Poros, l'abondance, et la mère Pénia, la Pénurie. Héréditairement marqué, Eros oscille ainsi dans cesse entre la pauvreté et la richesse. Il est un entre-deux, un mixte. Mais, bien souvent, il crie misère et est en

humaine ? Les religieux Les philosophes La question de l’âme… 3 sortes d’âme (végétative, sensitive et intellectuelle) XVIIème siècle = Descartes évoque la conscience Les religions et les mythes ont proposé des réponses aux grandes énigmes de la vie. Mythe ? = parole. Il remplit une fonction socio-religieuse. Il sert d’explication du monde. Ils expriment les aspirations de l’inconscient. De la théorie à la pratique : Insertion des SH dans la société La pédagogie Le marketing Le recrutement Le management

L’allegorie n’a rien d’original, c’est pourquoi le fabuliste se content de la suggestion progressive, comme le montre l’usage des parenthèse dans « (c’est un dieu) », qui joue avec la culture classique du lecteur. De meme, et comme dans le mythe, le petit Eros est aveugle : « il perdit la lumiere ». La majuscule a « Amour » et « Folie » prouve que ces entité sont allegorisées. II. La fable comme divertissement sérieux Comique et burlesque La fable, genre moral, use ici comme souvent du

JOSE CAMPANELLA EL SECRETO DE SUS OJOS Directeur de mémoire : Lionel Souquet Année : 2010-2011 SOMMAIRE Introduction ................................................................................................................. 4 I° Eros ............................................................................................................................. 6 A) Définition d’Eros ..................................................................................................

mythologiques Amour et Phébus, et deux figures historiques, Lusignan et Biron. Ces quatre personnages sont des figures d’amants, ce qui renforce la place centrale de l’amour dans le poème. · « Amour » évoque la divinité de l’amour, Eros qui est une figure de l’amour malheureux dans le mythe de Psyché et de la puissance créatrice, ce qui semble représenter le poète, puisque c’est à travers l’amour qu’il retrouve son envie de vivre, et son envie d’écrire.On retrouve le soleil dans l’évocation de Phébus, qui est

ministère de Jésus. L’analyse de l’amour et du Dieu amour qui y est présentée nous renvoie ainsi aux visages de l’amour que l’on trouve dans l’Évangile : i. L’amour en tant que service social de la charité. Cet amour va au-delà du simple désir (eros); il est axé sur l’autre, comme l’amitié (philia) et comme l’amour agapè, qui amène au don de soi et à la communion. ii. La justice exigée par l’amour. Selon la justice (distributive, sociale), chacun reçoit son dû. L’encyclique fait allusion à