Le Mécanisme Cartésien Le Corps Machine

. . . . . . . . . . . . . . . CHAPITRE 5 • STATIQUE DES SOLIDES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.1 Principe fondamental de la statique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2 Analyse des mécanismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Solutions des exercices . . . . . . . . . . .

par une mon- tée en puissance de la technologie dans tous les secteurs de la vie sociale. Bien plus, ce phénomène va largement au-delà de la simple maîtrise technologique. Sur le plan conceptuel, ce sont les rapports au cosmos, à la nature, au corps, qui se voient profondément modifiés. Les théo- ries scientifiques induisent des modifications profondes des systèmes de significations qui caractérisent les diverses cultures de notre monde. Enfin, ce phénomène connaît une dimension planétaire.

des rapports de domination dans les conditions données ». Si on admet qu'une des façons de poser la question sur les sciences politiques c'est de se poser la question sur comment les rapports de pouvoir (le pouvoir) s'inscrit dans le social (le corps social). C'est une question énorme qui préoccupe et qui traverse les sciences sociales dans leur ensemble. Sans pouvoir la traiter dans cette ampleur on doit se limiter à quelques aspects qu'on peut réunir sous le titre des études des traces par lesquelles

laquelle les dirigeants décident d’augmenter l’efficience de leurs usines en réduisant la marge de manœuvre des ouvriers dominés par leurs machines et surveillés par des contremaîtres. La mentalité de Taylor se base sur “ l’organisation scientifique du travail” ou de direction scientifique de l’entreprise. Parmi les principes encore suivis, les esprits cartésiens sont encore suivis: * déterminer les perfectionnements possibles au niveau des accessoires, outillages nécessaires à une tâche donnée

L’observation scientifique exige la confrontation des faits avec les lois établies. Ensuite la quantification, l’observation scientifique tend à la quantification qui est le recule condition de l’objectivité et de la généralité. La chaleur sentie par le corps ne devient pas un fait scientifique que lorsqu’elle est perçue comme nombre sur un thermomètre. En plus l’observation scientifique est une technique de construction : Les faits scientifiques sont élaborés et transformés au niveau de la raison. Le réel

richesses s'accumulant, les machines se multipliant, les vitesses s'accélérant ; mais les hommes n'ayant plus le temps de penser par eux-mêmes, de se cultiver intérieurement, de reconquérir une personnalité digne de ce nom. [6] Il est à noter que cet effort est entravé, non pas seulement par les conditions matérielles, mais par les conditions intellectuelles du progrès. L'ennemi, ce n'est pas seulement le mécanisme, c'est le spécialisme sous toutes ses formes. Le mécanisme, cela va de soi, on lui en

creuse cette séparation de l’homme et de la nature.[3] La nature humaine serait à distinguer de la nature en l’homme. Il faudrait distinguer d’un côté le corps, simple portion de matière de l’âme comme siège immatériel de la pensée et du libre-arbitre. Le dualisme[4] homme/nature passerait au cœur même de l’homme. Il faudrait distinguer le corps périssable, corruptible siège des passions, de l’âme principe de la vie et de la pensée. La capacité de penser ainsi que le libre-arbitre seraient les preuves

observations et celles de Lyell pour conclure que : l'homme vient d'une évolution lente, sans rupture, à partir d'une même souche, induit par une adaptation à l'environnement. Deuxième idée de Darwin : il se pose comme question « Quel est le mécanisme à l’œuvre au sein de l’évolution ? » Lamarck a fait une théorie du besoin qui crée une fonction (ex : girafe a un coup long pour pouvoir manger en haut des arbres -> la fonction est crée grâce à un besoin) Cette transformation est transmise de

rationnelle, méthodique et objective d’un domaine d’objets. L’une requiert la foi, l’autre ne reconnaît que la validité de la preuve mathématique ou empirique. L’une se distingue par le caractère foisonnant des croyances, chaque religion ayant son corps de dogmes et souvent des plus contradictoires, l’autre élabore des propositions susceptibles de faire l’accord de « tous les travailleurs de la preuve » c’est-à-dire de tous les membres de la cité scientifique, quelles que soient leurs appartenances

Lipovetski a appelé « L’ère du vide », qui se caractérise par une indifférence généralisée aux grands problèmes du monde, un sentiment d’impuissance sur les possibilités d’action, un sentiment de « no future », un repli sur soi égotiste, changer son corps, se changer soi même plutôt qu’intervenir sur l’ordre du monde, un refuge dans l’irrationnel, un cynisme généralisé, la déliquescence des valeurs morales. Dans ce contexte, le seul critère éventuel qui subsiste pour approcher une conception de la vérité