Le Mérite Vaut Bien La Naissance

à demeurer toute ma vie, Mademoiselle, Le plus fidèle et le plus passionné de vos serviteurs, CORNEILLE. - 4 -Examen Je dirai peu de chose de cette pièce: c'est une galanterie extravagante qui a tant d'irrégularités, qu'elle ne vaut pas la peine de la considérer, bien que la nouveauté de ce caprice en ait rendu le succès assez favorable pour ne me repentir pas d'y avoir perdu quelque temps. Le premier acte ne semble qu'un prologue; les trois suivants forment une pièce, que je ne sais comment nommer:

sait que je n'ai jamais murmuré la moindre prière. Tout le monde sait aussi que je n'ai jamais essayé de dissimuler mes défauts. J'ignore s'il existe une Justice et une Miséricorde... Cependant, j'ai confiance, car j'ai toujours été sincère. II Que vaut-il mieux ? S'asseoir dans une taverne, puis faire son examen de conscience, ou se prosterner dans une mosquée, l'âme close ? Je ne me préoccupe pas de savoir si nous avons un Maître et ce qu'il fera de moi, le cas échéant III Considère avec indulgence

du rapport de force qui s'établit à la fin de la guerre entre les deux grands vainqueurs (Etats-Unis et URSS). L'Europe n'est plus prédominante : affaiblie, ruinée et divisée, elle devient l'enjeu de la rivalité qui naît entre les deux grands. La naissance d'un nouvel organisme international, l'O.N.U. (Organisation des Nations unies) en 1945 suscite un grand espoir de paix. Problématique générale du chapitre : En quoi cette guerre marque-t-elle la plus grande rupture du XXème siècle ?

sont partout, et on les rencontre tout au long de notre existence. Par exemple, il dit que les citoyens naissent dans une organisation : c’est la maternité. Donc les organisations comprennent aussi bien les entreprises privées que les établissements publics. Puis il continue sur l’école, aussi bien public que privé (celles sous contrat de l’Etat et celles qui le sont pas). Quel que soit le statut, l’école est une organisation. Un établissement d’études supérieur est une organisation. L’entreprise

profit des failles des lois au détriment des autres ; ou encore qu’on ne pourrait pas déclarer injustes ceux qui, en obéissant à des lois, ont commis les crimes que ces lois autorisaient. Suffit-il donc d’obéir aux lois établies pour être juste ou bien existe-t-il d’autres critères que la loi en vigueur à respecter ? Existe-t-il d’autres lois, d’autres droits à observer ? Lesquels ? Plus que d’obéissance, la justice n’est-elle pas aussi affaire de discernement et d’équité ? Telles sont les questions

méthode. Section 1 : La primauté de la règle de droit Il existe deux manières pour trancher un litige, abstraction faite sur ce que les lois disent ou bien les juges en parler lors du jugement en équité, on donne raison à celui qui en conscience parait le mériter, c’est un système écrit qui peut avoir des avantages et des inconvénients et avait mérité de la souplesse, la solution est davantage ressentie que raisonnée. La part de subjectivité est si grande que la solution qui variait d’un juge à l’autre

d'apprendre d'abord à poser des pierres, ensuite à bâtir, que de chercher toujours des matériaux et de travailler toujours à y mettre la forme." Auteur : Nietzsche Citation 5 : "Subdiviser un homme, c'est l'exécuter, s'il a mérité la peine de mort; c'est l'assassiner s'il ne la mérite pas. La subdivision du travail est l'assassinat d'un peuple." Auteur : Engels Citation 6 : "Ce qui fait la valeur morale de la division du travail .. c'est que, par elle, l'individu reprend conscience de son état de

sociales, intellectuelles et politiques, il est riche d’une multiplicité d’œuvres qui peuvent se rattacher, en simplifiant, à deux orientations majeures : le mouvement des Lumières et ses remises en cause des bases de la société et, par ailleurs, la naissance d’une sensibilité que l’on qualifiera postérieurement de préromantique. La littérature d'idées est illustrée notamment par Montesquieu (Lettres persanes (1721), Voltaire (romans philosophiques comme Zadig, 1747 ou Candide,1759), Diderot ou Rousseau

étant entendu que le bilan a été vu au début de la partie III 2. BIBLIOGRAPHIE : Ce chapitre nécessite plus que tout autre un important travail de réactualisation des connaissances ; la bibliographie fournit dans les compléments de programme est bien choisie. On peut ajouter des publications plus récentes et faciles d’accès : · L’ Histoire n° 294, janvier 2005 · Dossiers et Documents du Monde n° 342, mai 2005. Dans cette bibliographie, certains articles sont incontournables : · Historiens

dirigeants décident alors d’augmenter la capacité de l’usine par l’achat de nouvelles lignes de production. Ainsi, en cours de projet, ils font passer la capacité de l’usine de un million à 1,5 million de jouets par an. Une telle décision influera bien évidemment sur la rentabilité globale du projet. On déduit que la rentabilité prévisionnelle d’un projet sera fonction : - de sa VAN prévisionnelle (si la VAN est le critère retenu comme nous le supposons par la suite). - mais